#réflexion

bliter@diaspora-fr.org

La #liberté d'expression...seulement quand ça les arrange | #IdrissAberkane

Essai audio sur la place de la liberté d'expression dans notre #société: souvent mise de côté quand cela arrange le #récit #dominant, et au contraire brandie quant elle permet de s'acheter une image contestataire. Dans ce nouveau format je vous livre la #réflexion que m'a inspiré la récente #agression de l' #écrivain Salman Rushdie et surtout le #traitement #médiatique de cet #événement #tragique.

https://www.youtube.com/watch?v=kGorFoNJqBg
#salmanrushdie #libertédexpression #essai #politique

angeliqueandthehord@diaspora-fr.org

MA PREMIÈRE PAGE

Le jardin d'enfant était loin de la maison, il fallait marcher longtemps et ce chemin du retour commençait à me faire mal à la tête.

« Eh ben, arrête de réfléchir ! »
lança Maman.

Je voulus bien obéir mais, aussitôt, toutes les notions précédemment énoncées resurgirent en mon esprit.

« Donc, dis-je, tu reconnais que c'est pas moi qui suis sauvage, que c'est toi qui avais fait les gros yeux pour pas que je joue avec le garçon du tourniquet.
- J'ai jamais dit ça.
- Mais si ! tout à l'heure, tu l'as dit. J'en ai marre ! J'ai mal à la tête.
- Non, je ne l'ai pas dit. C'est toi qui le suppose. Moi, je t'ai seulement suggéré d'analyser le comportement de ta copine au travers de cette supposition.
- Ça veut rien dire : "supposer". C'est vrai ou c'est pas vrai. Et puis, d'abord, c'est pas ma copine. J'm'en fiche, de la fille du rocher. Moi, je voulais jouer avec le garçon du tourniquet. C'est lui, mon ami.
- Pourquoi ?
- Parce qu'il est beau.
- Ah bon ! c'est ton ami parce qu'il est beau ?
- Ben oui… et puis parce qu'il aime bien jouer au tourniquet, comme moi… et puis… t'as bien vu : dès qu'il est arrivé au jardin d'enfants, il est venu vers moi en courant. C'est qu'il voulait jouer avec moi. C'est mon vrai ami.
- Non, c'est vers le tourniquet qu'il est allé en courant. Il s'en fiche de toi, sinon, il serait venu te voir quand tu étais sur le banc. »

À ce moment-là, il y eut comme un blanc. Quand je revins à moi, j'étais debout, en plein milieu du trottoir, le visage couvert de larmes. Maman me tenait la main et me regardait d'un air inquiet. Elle me parlait, me demandait si je me sentais bien. Je lui répondis que je me sentais bien, à part que j'avais très, très mal à la tête.

En fin de compte, le malaise que je venais de faire s'appelle piquer une colère. Du coup, son inquiétude passée, Maman se mit à me gronder, genre :
« Ça suffit ! J'te dirai plus rien. Débrouille-toi… et avance !
- M'en fiche que tu m'dises pus rien. D'façon, tu m'dis que des mensonges. »

Oui parce que le garçon, il avait accouru vers le tourniquet mais il avait posé ses mains juste à côté de moi, une à ma gauche, une à ma droite… ça veut dire quelque chose… et puis… il ne pouvait pas venir me voir sur le banc parce que, à côté de moi, il y avait la méchante maman aux gros yeux qui fait peur aux garçons exprès.

« Je le sais, que c'est vrai ! »

Jusqu'au soir, tous ces éléments de réflexion revenaient dans ma tête les uns après les autres, tourbillonnaient dans tous les sens, se chevauchaient, se mélangeaient, m'échappaient, me fatiguaient… J'étais trop petite, moi !

« Au secours, Nani !
- Ce qui te paraît important, consigne-le dans un coin de ta mémoire, apprends à écrire et fais un livre ! »

me répondit-elle.

Ah oui ! au fait, je ne t'ai pas dit : je suis Angélique, la petite sœur de Caki et Nani.


SEX AND DESTROY un nouveau son rock ?
1ère partie : DATE ET LIEU DE NAISSANCE
Chapitre 4 : Les garçons de la maternelle
section 7 sur 10


#réflexion #colère #enfance #copain #mémoires

millotte@diaspora-fr.org

J’ai commencé la lecture de “L’enjeu du salaire” de Bernard Friot ces jours-ci. Cela m’a inspiré cette réflexion…

Sur la base de la déclaration des droits de l’Homme, il devrait être interdit - et cela devrait faire explicitement parti de la Constitution du pays - il devrait être interdit de faire du profit financier sur le travail d’autrui. Ainsi, une entreprise qui ferait un ou deux millions de bénéfice sur une année devrait être obligé par la loi de répartir ce bénéfice à part égal ou proportionnel (aux responsabilités, aux risques) entre tout les salariés étant donné que ce bénéfice est le fruit de leur travail, ce fruit leur revient donc de droit.

Blog = https://livresetidees.blogspot.com/2022/04/lenjeu-du-salaire-1.html

#société #politique #salaire #réflexion #justice #égalité

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #humeur #salaire #emplois #qualifications #C-dans-l’air #changement #réflexion #étude #foutage-de-gueule #mywork

N’importe quoi
Pour gagner plus d’argent… il faut que les salariés à faibles salaires et faibles qualifications….. changent d’emplois…. dixit Nicolas Bouzou Directeur du cabinet de conseil Asterès ..…traverser la rue.. peut-être ? On voit tout de suite qu’il a fait des études secondaires et surtout qu’il a beaucoup réfléchi !!!! Ah oui ! alors non seulement ils sont mal payés mais ils font en plus des travaux inutiles. Si non, s’ils changent de métier leurs anciens jobs seront occupés encore par des gens qui à leur tour gagneront moins, « mais c’est pas grave pour un an ou deux » ……
Mais bien sûr !!!! Et pourquoi ne pas payer directement et correctement ces salariés « non qualifiés » mais aux travaux indispensables à la vie de tous les jours ?….… (C dans l’air 8 janvier 2022) Mireille MOUTTE

angeliqueandthehord@joindiaspora.com

LA CORRECTION

Je ne voulais pas aller à l'école. J'avais fait le cours préparatoire jusqu'au bout. Ma maîtresse du cours préparatoire avait été très bien mais je n'étais absolument pas prête à m'engager dans une nouvelle année à l'école et si je faisais cette nouvelle rentrée scolaire, c'est exclusivement parce que j'y étais contrainte.

Alors, tout naturellement, à la question : « pourquoi on vient à l'école », j'ai répondu :
« Parce que c'est obligé. »

La maîtresse aurait pu en parler avec moi, me donner des raisons d'adulte pour justifier de cette obligation. J'étais tout à fait ouverte à la discussion, la preuve : moi, la première, j'ai levé la main dans cette nouvelle salle de classe, alors que la maîtresse venait de nous appeler à la réflexion.

À la place, elle m'a rabrouée, rabaissée comme si je venais de dire la pire des âneries. Passons !

D'autres élèves se sont hasardées à lever la main pour présenter à la maîtresse des réponses plus nuancées : on aime bien l'école, on n'aime pas toujours très bien mais on en espère ci, on voudrait y apprendre ça…

Ça m'interpelait quelque part. Retourner à l'école pour acquérir de nouvelles connaissances ? Certainement, l'idée était alléchante mais pas tout de suite. Je n'avais pas encore digéré tout ce dont j'avais été gavée au cours préparatoire. Je voulais bien, éventuellement, retourner à l'école plus tard ; je voulais bien élaborer un futur projet d'école mais, dans l'immédiat, j'avais besoin de temps pour me reconstruire et faire miennes les connaissances que j'avais reçues au cours préparatoire. Sans cela, apprendre ne présente aucune utilité et c'est la raison majeure pour laquelle je n'acceptais pas cette nouvelle année d'école. Je savais que je ne pouvais qu'y perdre un temps précieux que j'avais à cœur de consacrer à des choses importantes.

Rien à faire ! la maîtresse a réfuté négligemment comme de mièvres réponses toutes celles qui lui ont été présentées pour ensuite porter aux nues celle qui récita :
« On vient à l'école pour préparer notre avenir ? »

Quelle brillante élève que celle qui, au lieu de répondre avec franchise, a préféré biaiser en répétant, sans l'enrichir le moins du monde de sa pensée personnelle, un truc qu'elle avait entendu dire ! C'était une réponse de maîtresse, ça. Il fallait la laisser à la maîtresse et chercher des arguments qui nous étaient propres. C'est ça, réfléchir.

Enfin bref…

Mon avenir, c'était mon instinct de survie, ma responsabilité. Mon avenir, c'était mon jeu de construction à moi. Il restait à la maison. Jamais je ne l'aurais apporté à l'école, de peur qu'on me l'abîmât.

Quant à l'avenir de l'école, c'est sa responsabilité, pas la mienne. Qu'elle reçoive, selon toute justice, le bien et le mal qu'elle répand ! Je n'avais pas, envers elle, le devoir de venir y perdre mon temps au nom de son avenir. Mon devoir était de m'enfermer dans ma chambre, y faire grandir dans le bonheur et la tranquillité le germe de connaissance qu'elle venait de me transmettre, de sorte à lui en offrir le fruit le jour où il serait mûr.

En conséquence de quoi « on vient à l'école pour préparer son avenir » est une réponse fausse dans les deux sens proposés et mérite un zéro.

Qu'on en prenne son parti ou non, c'est parce qu'on y est obligé qu'on va à l'école. En plus, c'est très courageux de regarder cette vérité en face au lieu de faire la politique de l'autruche, quand on a sept ans et qu'on a le moral détruit par le fait qu'on se retrouve enfermé dans une nouvelle classe dans laquelle on se sait condamné à devoir rester assis sans bouger ni parler pour une durée équivalente au septième de l'âge qu'on a atteint. La maîtresse me doit des excuses pour m'avoir rabaissée au lieu de me féliciter. J'ai répondu avec justesse.


SEX AND DESTROY un nouveau son rock ?
2ème partie : LA PRINCESSE DANS LE DONJON
Chapitre 15 : Mon choix
section 6 sur 26


#école #avenir #responsabilité #vérité #réflexion

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #réflexion #crise #sanitaire #économie #politique #élection #réaction #opposition

Comment expliquer que malgré tout, Macron sera réélu ou son sosie au prochaine élection. Certes ils ont avec eux les moyens de persuasion : la finance, les journaux, TV, radio, et tous les bénéficiaires du système. De l’autre côté pour les « masses laborieuses » l’éducation, l’instruction et les possibilités d’info se sont sensiblement améliorées avec internet entres autres. Pourtant, Les laissés pour compte sont inaudibles, grâce en grande partie au matraquage au sens propre et au sens figuré et à la course effrénée au fric pour survivre. Mais **La France est en vacances.** Même la classe moyenne « commence » elle aussi à être affectée par la crise économique et pourtant rien ne change. Le virus nous occupe à temps plein, une bénédiction. Il faut croire qu’une « majorité silencieuse » ou pas est malgré tout contente de son sort. La peur/La sécurité voilà un couple de choc….. Peut-on faire le bonheur des gens malgré eux ? Mireille MOUTTE

« Vivre de mort, mourir de vie »Héraclite

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #écriture #réflexion #société #capitalistes #Hommes #vie #mort #monde #interêts #communauté #compétition #mywork #mytext

Qu’est-ce qui est le plus grave, le plus urgent, le plus inquiétant, le plus, plus, plus …..Les pollutions atmosphériques et terrestres ? Les pillages et l’exploitation sans réserve des ressources naturelles, forêts, eau, terre, des matières premières, des Hommes ? Les milliers de morts des guerres impérialistes, colonialistes, hégémoniques et/ou suprémacistes ? La faim qui sévit toujours dans le monde malgré les richesses amassées ? Les déchets imputrescibles accumulés par nos sociétés productivistes ? Le capitalisme mondial qui tel moloch dévore la planète et ses habitants ? ….. le coronavirus ?…. La liste est malheureusement non exhaustive. J’ai le tournis devant un tel déferlement de destruction, de désastre et de saccage qu’il nous faudrait éradiquer pour le bien être des «futures générations» à qui nous laisserons, avec la «fameuse dette », une planète dévastée et invivable. Il faut en permanence résister aux chants des sirènes pour ne pas tomber de Charybde en Scylla. Éviter les pièges d’un « progrès »  à tout prix jumelé à l’exigence d’une croissance économique infinie qui nous enlisent. Arrêter la prépondérance de la finance sur la vie. Freiner notre addiction excessive à la technologie. Résister aux provocations incessantes du pouvoir pour nous distraire de l’essentiel. Notre société n’est plus basée sur les bienfaits d’une communauté d’intérêts, de solidarité, de partage, de protection des plus faibles, d’échanges de savoir-faire, de connaissances, d’informations pour le bien-être et l’épanouissement de tous. (Il faut croire à l’histoire ancienne), mais une mise en compétition et une concurrence acharnées de tous les individus de la naissance à la mort, avec en primauté l’intérêt personnel sur celui du groupe. Nous ne courrons pas à la catastrophe nous y sommes.

D’un côté les bataillons de « citoyens » lambdas, avec leur seule force de travail à disposition, que l’on peut exploiter à satiété, épuiser, sacrifier ad nauseam, de l’autre côté les donneurs d’ordre, les premiers de cordée, les financiers, les Grands Patrons, les vendeurs de canons, les capitaines d’industries, les capitalistes qui tuent, pillent et saccagent le bien commun pour leur profit immédiat et nous rendent complices de leurs atrocités par lâcheté, aliénation, persuasion et assimilation bon gré, mal gré de leurs valeurs essentielles : l’argent roi et la consommation à outrance, sans l’embarras des préoccupations environnementales. On peut appeler cette confrontation comme l’on veut. On peut déplorer cette sempiternelle opposition. On peut vouloir la nier où s’en accommoder, mais c’est un fait avéré de notre l’histoire, avec aujourd’hui en point de non-retour, notre survie sur la terre. Il nous restera comme dernière ressource, le recyclage des bouteilles en plastique et pour les plus fortunés, la migration sur Mars…..

Nature/Hommes, nous sommes irrémédiablement mêlés dans le tambour de la centrifugeuse et le bouton d’arrêt semble hors de portée. Nous assistons Impuissants bien que révoltés à la transformation de notre monde en une bouillie informe, un fatras dévitalisé, en décomposition, insalubre. Mireille MOUTTE
Psaume 139:17
«… Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables! Que le nombre en est grand…. » la Sainte Bible

aiglemarin@framasphere.org

#T2KellOrigine Ⓐ : Beaucoup de mes amis m'ont bloqué. Peu de mes amis mettent un pouce bleu. Très peu de mes amis partagent..

La peur ? Mais de quoi ?

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_ La peur de vous tromper ?
On ne peut pas se tromper sur 1 an..
De multiples preuves sont là.
Il faut être dans la réflexion, pas dans la croyance.
Dieu n'existe pas, la nature est notre déesse.

_ La peur de passer pour un-e complotiste ?
Les complots existent depuis la nuit des temps. Il y a toujours eu des complots au plus hauts sommets du pouvoir pour détrôner, voler des terres, manipuler les pensées pour mieux asservir. Les religions monothéistes en sont des preuves flagrantes.

_ La peur de la mort ?
Ne plus vivre pour ne pas mourir est la plus triste des solutions.
Les meRdias dominants ne vous parlent que de chiffres sans jamais donner d' autres chiffres indiscutables de comparaison.
Jamais ils ne parlent de prévention par l'hygiène de vie, l'alimentation, le renforcement immunitaire.
Ils ne vous parlent que du vaccin comme d'un miracle sans parler des risques vaccinaux pourtant nombreux ni de l'efficacité réelle.

_ La peur de passer pour des cons ?
On passe toujours pour un con vis-à-vis de certains et souvent ils sont bien plus cons que nous.. C'est d'ailleurs très jouissif par moment 😉😆

Bref, de nombreuses voix s'élèvent pour dénoncer l'utilisation de ce virus pour nous dépouiller des seules libertés durement conquises au fil des siècles.
Votre immobilisme est ravageur pour nous tous mais dramatique pour les générations futures (vos enfants)


Vous allez me demander: « mais quelle solution as-tu à nous proposer?»
Aucunes de miraculeuses..
Mais retrouver la raison (sortir de la peur et recommencer à vivre, à réfléchir pour ceux à qui il reste un bout de cervelle que la TV n'a pas bouffée.. 😉


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==> Pour ceux qui voudraient agir mais qui ne savent pas quoi faire, voila des pistes : https://bittube.tv/post/9f80eff0-8b8b-4234-822b-28c78a092d33

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#covid19 #peur #dictature #santé #réflexion #DissonnanceCognitive