#veto

faab64@diasp.org

US to veto Palestinian request for full UN membership

The U.S. will use its veto power against a Palestinian bid to be recognized as a member state of the United Nations during a vote at the Security Council expected to take place Thursday evening.

Vedant Patel, principal deputy spokesperson for the State Department, described as premature an effort by the Palestinian Authority (PA) to gain member status at the U.N.

He said there was not unanimity among the Security Council’s 15 members that the Palestinian Authority had met the criteria for membership, with unresolved questions over the governance of the Gaza Strip, where Israel is in a war to defeat and eliminate the controlling power, #Hamas.

Two state solution my ass!

#US #UN #Politics #Veto #Hyppcrisy #Isradl #Palestine

https://news.yahoo.com/us-veto-palestinian-request-full-180422242.html

aljazeera@squeet.me

Pro-Palestine protest outside the US embassy in Chile | AJ #shorts

Police in Chile have hit pro-Palestine protesters with water cannons outside the US embassy. A crowd had gathered to condemn US support for Israel which they...#AlJazeera #AlJazeeraEnglish #Chile #Embassy #Gaza #Israel #Palestine #Protest #SecurityCouncil #UN #US #Veto #alJazeera #aljazeeraEnglish #aljazeeralive #aljazeeravideo #aljazeeraEnglish #aljazeeralatest #aljazeeralive #aljazeeralivenews #latestnews #newsheadlines
Pro-Palestine protest outside the US embassy in Chile | AJ #shorts

petitpain@diaspora.psyco.fr

Israël se perd dans le carnage de Gaza

-Éditorial

#Le-Monde

En rejetant, le 8 décembre, l’appel à un « cessez-le-feu humanitaire immédiat », les #Etats-Unis ont fait en sorte que le châtiment infligé par #Israël envers une population tout entière se prolonge.

Publié le 09 décembre 2023 à 11h30, modifié le 09 décembre 2023 à 12h36 Temps de Lecture 2 min. Read in English

Depuis plus de deux mois désormais, ce qui est devenu une macabre routine est en marche à #Gaza. Les morts s’ajoutent aux morts, les blessés aux blessés et les destructions aux destructions sans qu’on puisse en voir le terme. En opposant leur #veto, le 8 décembre, à un projet de résolution du Conseil de sécurité de l’ONU en faveur d’un « #cessez-le-feu humanitaire immédiat », les Etats-Unis, isolés, ont fait en sorte que le châtiment infligé par Israël envers une population tout entière se prolonge. Leur humanité attendra.

Après les massacres perpétrés par le Hamas contre des civils israéliens, le 7 octobre, le ministre de la défense, #Yoav-Gallant, avait estimé que l’Etat hébreu se trouvait face à des « animaux humains » et qu’il allait « agir en conséquence ». Nous y sommes plus que jamais. Le droit à se défendre est devenu celui de tout détruire.

Le bilan de la stratégie visant à éradiquer la milice islamiste à n’importe quel prix est sous les yeux de qui veut bien le voir : la mort partout, des hôpitaux à l’agonie, le dénuement et l’errance de centaines de milliers de Palestiniens poussés comme du bétail par les injonctions israéliennes d’une partie de Gaza vers une autre, puis vers une troisième. Les cris d’alarme des responsables des agences des Nations unies sur place, qui déploient, en dépit du mépris israélien, des efforts admirables pour éviter que le chaos s’ajoute à la désolation, résonnent dans le vide.

Le reflet de sa dérive

Cette stratégie a une autre conséquence dramatique : officiellement présentées comme une priorité, les libérations d’otages capturés par le Hamas le 7 octobre ont cessé dès la fin de la trêve négociée par l’entremise du Qatar, le 1er décembre. Les tonnes de bombes à nouveau déversées à une cadence effarante sur une étroite bande de terre qui en est à sa cinquième guerre en moins de quinze ans ne donnent aucune raison d’espérer.

Ce carnage sans précédent est d’autant moins justifiable que les résultats obtenus jusqu’à présent sont encore bien loin de l’objectif affiché, surtout s’agissant d’une milice régulièrement décimée sans que l’armée israélienne ne soit pour autant jamais parvenue à la réduire durablement au silence.

Ce carnage est d’autant plus insupportable que deux mois après le début de cette campagne militaire, le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, reste incapable d’expliquer ce que fera Israël une fois qu’il aura décidé de mettre fin aux combats pour que Gaza puisse panser ses plaies et pour que le Hamas ne renaisse pas de ses cendres.

Qu’Israël se perde dans cette guerre n’est, hélas, pas une surprise tant elle est le reflet de sa dérive. L’Etat hébreu se déchirait déjà avant le 7 octobre à propos du socle de son contrat social : la place du droit, sous les assauts d’un courant ultranationaliste et messianique qui le ronge depuis plus d’un demi-siècle. Que les Etats-Unis ne le protègent pas contre lui-même est une faute morale dont ils ne pourront pas s’épargner les effets dévastateurs.

Leur représentant à l’ONU a justifié le veto du 8 décembre en assurant qu’une telle trêve « planterait les graines d’une future guerre ». Alors que les bombes qu’il fournit à Israël continuent de labourer Gaza sans épargner les civils, Washington peut-il croire que ces semailles de fer puissent produire autre chose sur cette terre ensanglantée qu’une haine inextinguible ?

Le Monde

aljazeera@squeet.me

Calls to reform UN Security Council after US vetoes Gaza ceasefire | Al Jazeera Newsfeed

Calls are growing for the UN Security Council to be reformed after the US became the only member to use its veto power to block a Gaza ceasefire resolution, ...#AlJazeera #AlJazeeraEnglish #AntónioGuterres #BenjaminNetanyahu #Ceasefire #Gaza #Israel #Palestine #SecurityCouncil #UK #UN #USA #Veto #alJazeera #aljazeeraEnglish #aljazeeralive #aljazeeravideo #aljazeeraEnglish #aljazeeralatest #aljazeeralive #aljazeeralivenews #latestnews #newsheadlines
Calls to reform UN Security Council after US vetoes Gaza ceasefire | Al Jazeera Newsfeed

aljazeera@squeet.me

Palestinians must not have veto over Arab-Israel deals, Netanyahu tells UN

Israeli Prime Minister Benjamin Netanyahu says his government is on the verge of normalising relations with Saudi Arabia.But a potential deal still faces lon...#ArabIsraeldeals #BenjaminNetanyahu #Israeliprimeminister #Palestinians #SaudiArabia #normalisingrelationswithSaudiArabia #veto
Palestinians must not have veto over Arab-Israel deals, Netanyahu tells UN

faab64@diasp.org

Haaretz editorial board calls on the US to NOT #veto the #UN Security Council upcoming vote against the expansion of the #settlement “As a true friend the U.S. Must Abstain on Israeli Settlement Vote” - #Haaretz Editorial

But Biden has no guys to stand up against extreme right wing regime in TelAviv.
#palestine #Israel #Occupation #Apartheid #Politics
https://haaretz.com/opinion/editorial/2023-02-19/ty-article/at-un-security-council-the-u-s-must-abstain-on-israeli-settlement-vote/00000186-6617-d7e7-a59e-77df7f090000

vincentvalentine@diaspora-fr.org

« En école vétérinaire, j’ai découvert l’ampleur de la culture de la domination entre élèves »

https://www.lemonde.fr/campus/article/2022/09/25/en-ecole-veterinaire-j-ai-decouvert-l-ampleur-de-la-culture-de-la-domination-entre-eleves_6143082_4401467.html

#domination #école #veto #superieur #bizu #violence

Devenir véto, c’était mon rêve. Je venais de passer trois ans en prépa BCPST (biologie, chimie, physique, sciences de la Terre) au lycée Saint-Louis, à Paris, à préparer le concours des écoles vétérinaires. J’ai choisi sans hésitation l’école de Maisons-Alfort (Val-de-Marne), pour sa réputation et sa situation géographique. Quand je suis arrivée, j’étais donc très enthousiaste.

J’ai vite perdu mes illusions lors de la première semaine d’intégration, organisée par des étudiants de quatrième année. La mise en scène commence dès notre premier cours en amphi. Soudainement, des élèves de quatrième année, tous vêtus de noir et rouge, portant un béret, des lunettes de soleil, débarquent et interrompent le cours. Ils nous appellent par nos noms de famille précédés de « poulot » ou « poulotte », nous demandent de nous taire.

Nous devons former un binôme avec un « ancien » qui est chargé de notre intégration dans la vie du campus et dans les soirées tout au long de l’année. Ces anciens nous avaient choisis pendant l’été, après nous avoir envoyé un questionnaire : l’étudiant de quatrième année qui m’avait choisie « voulait » une fille avec qui il avait des points communs. Pendant ce cours en amphi, les « anciens » ont passé un PowerPoint avec notre photo, suivie de trois réponses que nous avions données lors du questionnaire, des questions rigolotes – comme nos surnoms –, mais aussi des questions sur notre sexualité.

J’ai assez rapidement refusé de m’humilier
C’est lors de la première soirée que j’ai compris l’ampleur de cette culture de la domination entre élèves, et que cette situation n’allait pas du tout me plaire. Nous devions vouvoyer les anciens pour marquer leur supériorité sur nous. A chaque fois que nous étions présentés à d’autres étudiants, nous devions décliner les lettres de notre nom de famille avec des adjectifs négatifs, et décliner celui de l’ancien avec des adjectifs flatteurs. Si nous refusions, ou que nous nous trompions sur le vouvoiement, notre ancien nous demandait de nous accroupir et de faire le canard, c’est-à-dire d’imiter l’animal en battant des ailes. J’ai assez rapidement refusé de m’humilier. Toute la semaine, je me suis opposée aux rites d’intégration les plus « hard-core ». Certains de mes camarades de promotion étaient réveillés pendant la nuit et acceptaient de manger de la pâtée pour chien et autres cocktails et préparations des plus répugnantes. Beaucoup se prêtaient au jeu avec une facilité déconcertante et une adhésion totale à l’humiliation.

« Je lui ai dit que cela n’était pas normal, qu’il devait se respecter lui-même pour pouvoir respecter les autres »

Un soir, en troisième année, j’ai retrouvé un camarade de promo en train de se faire uriner dessus pendant une fête, par son ancien… Trois ans après son intégration ! Mon camarade était ivre, les autres étudiants probablement aussi, tous en accord avec cette pratique. J’ai demandé à mon camarade de se relever. Je lui ai dit que cela n’était pas normal, qu’il devait se respecter lui-même pour pouvoir respecter les autres et j’ai aussi demandé aux anciens : « Pourquoi ? La dynamique de domination et de pouvoir n’a donc pas de limite… » Bien sûr leurs réponses furent celles attendues : « C’est qui, elle ? Qui est votre ancien ? Pour qui vous vous prenez ? »

J’ai compris plus tard que les anciens qui pratiquaient les rites d’intégration les plus durs étaient aussi les plus populaires de l’école. Sans surprise, les poulots qui se font le plus humilier en première année sont ceux qui humilieront le plus en quatrième année. Cette indocilité aux rituels que je trouvais dégradants m’a coûté en termes de vie sociale. Un soir, après avoir refusé de vouvoyer mon ancien, il m’a roulée par terre et m’a forcée à faire le canard. J’ai eu peur, je ne savais pas jusqu’où ça pouvait aller. Un autre soir, il m’a ramenée jusqu’à ma chambre alors que j’avais trop bu : un autre ancien, chargé de la sécurité, lui a demandé de me laisser tranquille après avoir remarqué des comportements inappropriés. Je n’avais pas de point de repère, je ne savais pas si ces situations étaient normales ou non. Lors d’un Erasmus en Espagne je me suis rendu compte que ces « traditions » n’existaient pas ailleurs, et qu’elles étaient intimement liées au fonctionnement de nos grandes écoles.

La posture du sachant et la nôtre, toujours inférieure
Pendant mes années d’études, lors de mes stages, j’ai retrouvé partout cette culture de la domination. Il y a la posture du sachant et la nôtre, toujours inférieure, soumise et silencieuse. En quatrième année, lors de l’internat dans le CHU vétérinaire, ils nous font travailler jour et nuit, j’ai bien vu qu’il fallait baisser la tête. Nous avons aussi une semaine de permanence de soins obligatoires, l’apothéose de la fin de la quatrième année, lors de laquelle nous compensons le manque de personnel du CHU pendant les congés d’été. J’ai refusé aussi. Quand il a été question que je devienne à mon tour une « ancienne », j’ai fini par renoncer, parce que je ne me voyais pas participer à ce rituel. Je suis en désaccord avec tout.

« En dernière année, j’ai fait un tutorat dans un cabinet de vétérinaire rural. J’étais payée 500 euros par mois »

Toute cette culture commence en prépa, où on nous apprend à marcher droit. Et elle se poursuit jusque sur le marché du travail. En dernière année, j’ai fait un tutorat dans un cabinet de vétérinaire rural. J’étais payée 500 euros par mois, je faisais des prises de sang aux vaches allaitantes des troupeaux. Ces prises de sang sont normalement payées 1 euro, parce que c’est un travail dangereux et ingrat. J’en avais fait 1 200 dans le mois ; lorsque j’ai réclamé à être payée au bon tarif, le vétérinaire a été choqué.

Depuis deux ans, je cherche ma place dans le monde des vétérinaires. J’ai fait principalement des remplacements dans différents types de structures. Ceux qui sont associés doivent penser à la rentabilité pour rembourser l’achat de matériels coûteux, les consultations sont chronométrées, et on nous incite à vendre. Moi ce que j’aime, c’est la clinique, la médecine, la recherche, et je n’ai pas l’euthanasie facile. Je suis aussi sensible à la souffrance animale, je n’ai aucun problème à donner des antidouleurs à une vache après un vêlage, ce qui n’est pas la norme. C’est un « métier passion » qu’on n’a pas envie de faire sous contraintes. Il y a peu de temps, j’ai pensé à tout arrêter mais c’est difficile de renoncer à sa passion à même pas 30 ans. Et puis, finalement, est-ce que je veux abandonner ? Est-ce que je souhaite laisser la place à cette logique de la domination ?

yazumo@despora.de

HoGeSatzbau


Die Masken fallen — HoGeSatzbau

Beißende Satire, gezielte Provokation, unerwartete Mediencoups: Die „Hooligans gegen Satzbau“ sind aus der aktivistischen Anti-Rechts-Bewegung und den sozialen Netzwerken nicht wegzudenken. Doch jetzt löschen sie sich selbst. Nach acht Jahren lassen sie die Anonymität hinter sich und geben ihre Identitäten preis. Wer steckt hinter den weißen Sturmhauben und wie geht es jetzt weiter? Zu Besuch bei bekannten Unbekannten.

ca. 11 Minuten lesezeit von Melanie Skurt / 12. August 2022

HoGeSatzbau
Fotos: Benjamin Jenak


Scheiße, hoffentlich Funktioniert meine ANTIFAmily Karte dann noch. Oder wer bezahlt mich dann für meine Demo Teilnahmen. 🤔
Emoji

Vielen Dank an die beiden! Habt weiterhin so gute Ideen!


Den Artikel "Die Masken fallen — HoGeSatzbau" habe ich auf der Seite von "veto-mag.de" gefunden, geklaut und den ersten Absatz hier wieder eingestellt. Den ganzen Artikel kannst du auf der Seite Lesen.


#hogesatzbau #ende #veto

sylviaj@joindiaspora.com

Cuba ~ End the Embargo

‘If #JoeBiden or frankly any US politician #cared about the #Cuban #people, they’d push for an end to the US’s #crippling #economic sanctions on Cuba.’

‘All people have the right to #protest and to live in a #democratic #society. I call on the Cuban government to #respect opposition rights and refrain from violence. It’s also long past time to end the #unilateral #US #embargo on #Cuba, which has only #hurt, not #helped, the Cuban #people.’ …. #BernieSanders

‘It’s important to remember that before the #Cuban #Revolution, Cuba was a #colonial #piggy-bank for #American #capitalists to #exploit. The revolution stopped the United States from treating Cuba like its little plaything, which the United States has never been able to accept.’

‘The US continually punishes #Haiti & Cuba because these are nations that successfully #revolted against #white #supremacist #empires in generations past.’

‘The #whole #world has spoken against the US embargo against Cuba. In the #UN #GeneralAssembly, 184 countries voted to #condemn the #blockade. Only two, the US and #Israel, voted not to. Cuba loses $9.1 billion a year due to the blockade.’

‘Not only is the US blockading Cuba, they are claiming #veto #power over any other country which wishes to send Cuba #food and #medicine.’

‘The choice is clear. Which side are we on? The US, which continues to #violate #international #law by decades of crippling #sanctions even in the face of a #pandemic, or Cuba, which has created five different vaccines and sent thousands of #doctors to #heal #people around the world?’

‘Nobody is charged a dime in Cuba for their #treatment. But in the US, people are denied treatment unless they have tens of thousands of dollars to pay for medical bills. Again, which side are you on?’

‘In addition, Cuba has: – #Guaranteed #salaries; – #Nationalized #BigPharma; – #Distribution of #food, #electricity, and piped #water.’

‘The US is trying to create a #self-fulfilling #prophecy with Cuba. Cripple it with #decades of sanctions, then try to initiate an #astroturf #regime #change operation. This is typical M.O. for the #PoliceState.

'Never forget the explicitly stated goal of the US government’s murderous, #illegal, 60-year blockade on Cuba: to " #weaken the economic #life of Cuba," and " #decrease #monetary and #real #wages, to bring about #hunger, #desperation and #overthrow of #government."

#EndTheEmbargo #HandsOffCuba #VivaCuba! #VivaLaRevolucion! #VivaElPuebloCubano!

https://twitter.com/BTnewsroom/status/1414955958414061574

dredmorbius@joindiaspora.com

On the Power of “No”

A friend writes: “The power to say ‘no’ is real power”, in the context of unemployment and other income alternatives giving workers the power to turn down oppressive employment conditions, see “The ‘Capitalism is Broken’ Economy”.

"No" in that context is BATNA, best alternative to negotiated agreement. Or as Humphrey Bogart piquantly put it, “fuck you money” — having sufficient saved resources to be able to turn down demeaning or objectionable work. Curiously, much of the labour-capital dynamic seems oriented at denying labour BATNA power.

“No” then is the only power, in many regards.

The concept appears as “power by veto” (literally, "I forbid"), or similar. It’s the notion that in any sufficiently complex group, power gravitates (for better or worse) to the individual or group with the power to prevent something from happening. The alternative of course being the power of individual enablement or execution --- a case where the power of "no" is internalised.

This has a number of consequences, some with positive connotations, some not.

  • It manifests in the United Nations Security Council, where any of the five permanent members (US, UK, France, (now) Russia, and China can exercise a veto. There’s some interesting political science literature on this, beginning in the 1950s or so.
  • It manifests in the US senate through various filibustering and process-halting powers.
  • In manifests in the executive in many governments as the veto power.
  • It manifests in real estate as NIMBYism. Or by approval review (a/k/a “removal-of-veto authority”).
  • It’s the “dog in the manger” trope (dog in the feed trough prevents any other animals from feeding, though the dog itself doesn’t benefit).
  • It’s the power of collective action exercised as a strike, blockade, scuttling, boycott, shunning, etc.

This is the key difference between greenfield land-development projects, in which there are no vested interests to block progress, vs. brownfield projects, with vested interests (or various forms if existing damage or harms which need to be remediated) that do. In particular, transport and infrastructure products in a greenfield occur where there are no or few counterveiling forces to oppose them, but by their own success create such forces which then tend to frustrate further or alternate development. Major transportation projects tend to occur either where significant economic development has not yet occurred, or in regions recently weakened by war or genocide. The initial industrialisation (and canal & rail transport network development) of Britain and China the first, and the high-speed rail networks development of France and Japan following World War II a case following devastation by war, and development of the American frontier of a post-genocide instance.

(Not all greenfields are free of impediments, but the ones that exist tend to be at least natural, inanimate, and nonpolitical, at root.)

Arguably, one could distinguish early-phase technological explorations where good effects either dominate over bad, or where bad effects are unknown (tying to my concept of #manifestation in the sense of known, apparent, communicable/expressable, or comprehensible), and late-phase technological developments in which costs, consequences, and risks are far more clear.

I’ve also had an idea that “no” is the word at which a child first expresses their own identity as distinct from the world, family, or tribe around them. You might argue that crying and anger are forms of “no”, and I’d grant that. But there are also linguistic and cognitive senses of “no” which become more developed with time (or at least that’s my experience).We mighti initially only reject requests or orders. With greater development, “no” applies to framings, models, social constructs, philosophies and religions, social and societal narratives, and more.

#no #veto #power #manifestation #greenfield #brownfield #infrastructure #transportation