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###Guerre contre Gaza : le Hamas propose un cessez-le-feu de 135 jours en trois étapes avec Israël

Selon une proposition dont #MiddleEastEye a eu connaissance, le #Hamas a répondu au plan de cessez-le-feu d’Israël par une série d’exigences de grande portée, notamment la reprise des services humanitaires de l’ #UNRWA.

Photo : Ceasefire Now ! - Rallye pour la Palestine, Dunedin, NZ, samedi 4 novembre 2023 © Mark McGuire

Le Hamas a proposé mardi [6 février] un accord de #cessez-le-feu en trois phases qui durerait 135 jours, conduirait à la fin de la #guerre d’ #Israël contre #Gaza et à l’échange d’ #otages israéliens contre des prisonniers palestiniens.Selon une ébauche de la proposition vue par Middle East Eye, la contre-offre du Hamas envisage trois phases de cessez-le-feu, chacune d’une durée de 45 jours.Toutes les femmes israéliennes, les enfants de moins de 19 ans, les personnes âgées et les malades seraient libérés de Gaza au cours de la première phase de 45 jours, en échange de la #libération de toutes les #femmes #palestiniennes, des #enfants, des #malades et des personnes #âgées de plus de 50 ans des prisons israéliennes.En outre, Israël libérerait 1 500 prisonniers #palestiniens, dont 500 condamnés à perpétuité.Tous les otages israéliens de sexe #masculin, y compris les #soldats, seraient libérés au cours de la deuxième phase en échange d’un nombre de prisonniers palestiniens à déterminer ultérieurement.La première phase verrait les forces israéliennes se retirer des zones peuplées de Gaza, permettant aux Palestiniens de circuler librement dans toute la bande de Gaza, ainsi qu’aux personnes déplacées de revenir du sud vers le nord. Par ailleurs, les #NationsUnies seraient autorisées à installer des #campements de tentes.Cette phase verrait également la cessation de toute forme d’activité aérienne au-dessus de Gaza, y compris la reconnaissance, pour la durée de la période.
La proposition prévoit "une #cessation temporaire des opérations #militaires, une cessation de la reconnaissance aérienne et un repositionnement des forces israéliennes loin des zones peuplées dans l’ensemble de la bande de Gaza".
Au cours de la deuxième phase, les otages masculins restants seraient libérés et les dépouilles des captifs décédés seraient échangées au cours de la troisième phase.
À la fin de la troisième phase, le Hamas s’attend à ce que les parties soient parvenues à un accord sur la fin de la guerre.La trêve permettrait également d’accroître le flux de l’aide, notamment alimentaire, vers le territoire assiégé, où deux millions de Palestiniens sont confrontés à la faim et à de graves pénuries de produits de base.Dans l’annexe de l’ébauche, le Hamas a également demandé la fin des violences israéliennes contre la mosquée #Al-Aqsa, exigeant un retour au statut de sécurité de la mosquée tel qu’il existait avant 2002.Une autre demande concerne la "reprise de tous les services #humanitaires offerts à la population, dans toute la bande de Gaza, par les Nations unies et ses agences, en particulier l’UNRWA".
L’UNRWA est une ressource vitale pour le peuple palestinien et soutient quelque six millions de réfugiés qui vivent à l’intérieur et à l’extérieur des territoires occupés.Fondée il y a 75 ans, elle fournit une assistance directe aux Palestiniens, notamment en matière de scolarisation, de soins de santé primaires et d’autres services sociaux.Mais ces dernières semaines, les responsables israéliens ont cherché à plusieurs reprises à discréditer l’organisation et ont prétendu que 12 des plus de 13 000 employés de l’agence à Gaza étaient impliqués dans les attaques du 7 octobre contre le sud d’Israël.Des pays de premier plan, dont les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne et le Japon, ont retiré leur soutien financier à l’organisation la semaine dernière, mais selon un dossier obtenu par MEE, qui ne fait que six pages, Israël n’a fourni aucune preuve que les 12 hommes étaient membres du Hamas ou d’autres groupes armés, et n’a pas mentionné le rôle qu’ils auraient pu jouer dans les attaques du 7 octobre." Généralement positive "La proposition de mardi fait suite à un plan présenté la semaine dernière par les médiateurs qataris et égyptiens et soutenu par les États-Unis et Israël.Mardi, lors d’une conférence de presse dans la capitale qatarie, Doha, le premier ministre du Qatar, Sheikh Mohammed bin Abdulrahman bin Jassim Al Thani, a qualifié de "généralement positive" la réaction du Hamas à la proposition d’accord de trêve avec Israël, sans donner plus de détails.La guerre en cours à Gaza a commencé lorsqu’un assaut mené par le Hamas contre Israël a tué au moins 1 140 Israéliens. Israël a riposté en bombardant sans relâche l’enclave palestinienne et en lançant une invasion terrestre, tuant au moins 27 700 Palestiniens et détruisant de larges pans de l’infrastructure civile de la région.Les responsables israéliens ont déjà fait part de leur intention de poursuivre la guerre jusqu’à ce qu’ils soient en mesure de vaincre le Hamas de manière décisive, affirmant que même la Cour internationale de justice (CIJ) ne les arrêterait pas.Israël est actuellement accusé d’avoir enfreint la Convention sur le génocide devant la CIJ, en réponse à une plainte déposée par l’Afrique du Sud. Dans son arrêt, la Cour a ordonné à Israël de prendre des mesures pour prévenir les actes de génocide à Gaza et permettre l’acheminement de l’aide humanitaire.Dans une déclaration publiée mercredi, l’ #ArabieSaoudite a réfuté l’affirmation de l’administration Biden selon laquelle elle normaliserait ses relations avec Israël avant l’obtention d’un cessez-le-feu à Gaza, soulignant également son insistance sur la création d’un État palestinien indépendant.La #Chine, quant à elle, a accusé les #États-Unis d’attiser les tensions au #Moyen-Orient en raison de leur "incapacité à mettre en œuvre un cessez-le-feu" à Gaza et de leurs récentes frappes de représailles contre des groupes soutenus par l’Iran en Irak et en Syrie.
Traduction : AFPS
https://www.france-palestine.org/Guerre-contre-Gaza-le-Hamas-propose-un-cessez-le-feu-de-135-jours-en-trois

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#UniversalSoldier 1992 : #VanDamme vs. #Lungren #épique ! - #RE-VU

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Le #soldat Luc Deveraux et son sergent sadique, Andrew Scott, ont été tués au #Vietnam. L'armée se sert de leurs corps pour un #projet #secret - réanimer les #soldats morts sous forme de #cyborgs obéissants. Sauf qu'ils n'ont pas tout oublié.

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#Liverpool /vs #Darmanin le #Menteur

#Gouvernement, #FDO #Police #violences-Policières #Sport #répression #banderole

⚽ «Menteurs» : les supporters de Liverpool accusent les ministres français

Le match a eu lieu hier, le 21 février 2023. Il opposait le club de #Liverpool à celui du #Real-Madrid, pour la 8ème de finale aller de la Ligue des champions. Du côté de Liverpool, la répression subie par la police française l’année dernière ne passe pas. Les supporters ont déployé dans leur stade une banderole montrant la ministre française des sports #Amélie-Oudéa-Castéra et le ministre de l’Intérieur #GéraldèDarmanin en #pinocchio, avec la mention «menteurs», en français.

Les faits remontent au 28 mai dernier, en pleine période électorale, lors de la finale de la Ligue des Champions au Stade de France. La police française avait bloqué sans raison pendant des heures des milliers de supporters de Liverpool. Puis avait chargé et gazé tout le monde, enfants compris, provoquant des moments de panique et de détresse.

Une répression aveugle, répétée, #absurde et #violente. La #police-française avait même chargé d’autres supporters anglais plus tard dans la soirée, dans le centre de Paris. Les images avaient provoqué un scandale mondial et même une crise diplomatique. Gérald Darmanin, le ministre de l’Intérieur, avait menti à plusieurs reprises, inventant notamment «40.000 faux billets» chez les supporters. Cet homme est hors du commun : il avait réussi à réconcilier les anglais et les français, un événement qui n’arrive qu’une fois par siècle en moyenne.

Un rapport indépendant est paru le 17 octobre dernier en Angleterre, rédigé par le professeur de Droit de la Queen’s University à Belfast, Phil Scraton, qui avait déjà dirigé une enquête après la catastrophe d’Hillsborough en 1989, qui avait coûté la vie à 97 supporters de Liverpool après des mouvements de foule. Il estime que la façon dont la police française a traité les supporters relève d’une « #agression-criminelle», et que la gestion désastreuse de la police française aurait pu provoquer de nombreux morts.

Début février 2023, un autre rapport indépendant commandé par l’UEFA, instance européenne de foot, démentait à nouveau la version de Gérald Darmanin. Le ministre a menti, ouvertement, pour couvrir la répression sauvage contre des supporters venus assister à un match à Paris. Il n’a jamais été sanctionné pour cela.

Ça promet pour les #JO-2024 et autres grands événements sportifs ! La police française, #ultra-violente, la plus #armée d’ #Europe, ne sait même pas gérer un événement sans tabasser les gens. Les flics français ont pris l’ #habitude de violenter tout le monde, gratuitement et sans aucune conséquence. Mais chez les anglais, les vidéos d’agents cagoulés et armés qui gazent des enfants pour rien, ça choque énormément. Les «bobbys» anglais n’ont pas d’arme, sont identifiables, et ne ressemblent pas à des #soldats en #guerre. En #France, nous nous sommes #habitués à des scènes inimaginables chez nos voisins.

Ici, l’épisode du Stade de France n’est malheureusement qu’une goutte d’eau dans le palmarès de la police française Ces dernières années nous avons vu une main arrachée lors d’une fête de la musique, une grand-mère piétinée alors qu’elle tenait un drapeau synonyme de paix dans une manif, un jeune homme noyé dans la Loire, du sang sur les trottoirs le long des manifestations, des soignant-es frappé-es et des yeux arrachés. Nous avons vu un père de famille mourir sous le poids de policiers, et Darmanin qui ose déclarer juste après : «quand j’entends le mot violences policières je m’étouffe». Et cela n’est qu’un minuscule échantillon de l’horreur quotidienne que nous imposent le Ministère de l’Intérieur et ses agents. Si les faits du stade de France sont bien une «agression criminelle» et si Darmanin est effectivement un «menteur», comment qualifier tout le reste ?

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

#'GUERRE EN #UKRAINE

Qui sont les soldats du régiment Azov, accusés d’être les « #néonazis » de l’armée ukrainienne ?
Des photos des membres de ce groupe militaire sont très partagées dans le but de montrer que l’ #arméeukrainienne est « infestée de néonazis ». Ils sont pourtant peu représentatifs des forces armées du pays.

Par #RomainGeoffroy

C’est devenu un argument majeur des prorusses pour défendre la guerre en Ukraine : l’armée de #Kiev serait infestée de néonazis. Alors que le président russe, Vladimir #Poutine, a justifié son invasion par une volonté de « dénazification » de l’Ukraine, de nombreux internautes partagent ces dernières semaines des photos de soldats ukrainiens avec des symboles nazis : ceux du #régimentAzov. Ils affirment que, en soutenant l’Ukraine militairement, les pays occidentaux armeraient ainsi des ultranationalistes.

Quelles sont les origines de ce régiment Azov qui se bat aujourd’hui contre l’invasion russe dans plusieurs villes du pays ? Quels sont ses liens avec le reste des forces armées ukrainiennes ? Les soldats qui le composent doivent-ils tous êtres étiquetés « néonazis » ?

A l’origine, un bataillon de volontaires néonazis pour combattre les #prorusses du Donbass
Quand la guerre éclate dans le #Donbass en avril 2014, l’armée ukrainienne est désorganisée et le gouvernement craint de perdre le contrôle de ce territoire au profit de la #Russie, comme ce fut le cas le mois précédent en Crimée. Pour contrer les séparatistes prorusses, le gouvernement autorise des bataillons de volontaires indépendants de l’armée à combattre. Plusieurs formations armées d’ #extrêmedroite apparaissent.

Parmi elles, on trouve le « Corps noir », qui prendra rapidement le nom de « bataillon Azov » en référence à la mer qui borde la #Crimée et le sud-est de l’Ukraine. Il s’agit d’une unité d’une centaine de volontaires aux idées nationalistes et néonazies, dont certains sont « issus du hooliganisme et du paramilitaire », explique #AdrienNonjon, chercheur à l’Institut national des langues et civilisations orientales ( #Inalco), spécialiste de l’extrême droite et du nationalisme ukrainien.

Originaire de #Kharkiv, le fondateur du bataillon, #AndreïBiletski, dirige alors le parti xénophobe, antisémite et raciste Assemblée sociale-nationale (SNA). Azov va utiliser la même symbolique inspirée du nazisme que celle du #SNA. Son emblème, un #wolfsangel (« crochet de loup ») inversé, rappelle beaucoup l’emblème de la 2e division allemande SS « Das Reich ». Autre symbole du mysticisme nazi, un « soleil noir » représentant un svastika arrondi à plusieurs rayons est aussi incorporé un temps sur le logo du bataillon.

Sur Internet, les références assumées au #IIIeReich par certains membres du groupe sont documentées. Des photos sont régulièrement partagées par des militants prorusses souhaitant décrédibiliser l’armée ukrainienne, comme celle – remontant au moins à 2017 – où un homme pose, Kalachnikov au bras, devant plusieurs drapeaux, dont un d’Azov et un nazi aux couleurs ukrainiennes. Une autre, remontant au moins à 2015 selon Libération, montre un groupe d’hommes en pantalon treillis autour d’un portrait d’Adolf Hitler, dont l’un est vêtu d’un tee-shirt Azov.

En juin 2014, les hommes du bataillon Azov participent au combat qui permet aux forces ukrainiennes de reprendre le contrôle de #Marioupol, la grande ville portuaire de l’oblast de Donetsk, dans l’est du pays. Cette victoire contre les séparatistes prorusses appuyés par Moscou forge d’eux une image héroïque aux yeux de la population ukrainienne.

Un régiment de la garde nationale depuis novembre 2014
L’accord de Minsk I, en septembre 2014, prévoit notamment de « procéder au retrait du territoire ukrainien des formations armées et du matériel militaire illicites, ainsi que des combattants irréguliers et des mercenaires ».

Les bataillons ont alors le choix entre rejoindre la garde nationale ukrainienne ou se dissoudre. En novembre 2014, le bataillon #Azov devient officiellement un régiment de la garde nationale, sous la tutelle du ministère de l’intérieur ukrainien.

« Cela leur a permis de se légitimer, de recruter plus largement et d’obtenir des armes modernes. C’est devenu une unité d’élite de la garde nationale », retrace Adrien Nonjon. Des #Ukrainiens sont séduits, des combattants étrangers (des Géorgiens, des Russes, des Biélorusses et même quelques Français) viennent grossir les rangs d’un #régiment qui passe d’une centaine de soldats à sa création à près de 2 500 à la fin de 2017, selon une enquête du magazine allemand Spiegel. Ses #soldats sont réputés durs, et certains crimes de guerre dans le Donbass (tortures, viols) leur ont été attribués en 2016 par des rapports des Nations unies ainsi que d’ @AmnestyInternational et #HumanRightsWatch.

De nombreux volontaires s’engagent dans le régiment Azov sans pour autant être militants d’extrême droite. « [Le] rejoindre (…) n’était qu’un moyen de se battre pour leur pays de la façon qu’ils jugeaient la plus efficace, écrivait, en 2016, #ViatcheslavLikhatchev, historien et expert en sciences politiques, dans une note de l’Institut français des relations internationales. Cependant, toutes les nouvelles recrues étaient endoctrinées aux idées d’extrême droite, souvent xénophobes. »

Pour #MichaelColborne, chercheur et journaliste pour le site d’enquête #Bellingcat et auteur d’un livre publié en 2022 (en anglais) sur « le mouvement Azov », seule une minorité des soldats du régiment sont aujourd’hui portés par des idées d’extrême droite ou néonazies. En 2015, un porte-parole de la brigade, #AndriyDiachenko, affirmait au site du quotidien américain USA Today que « seuls 10 % à 20 % des membres du groupe [étaient] #nazis ».

Cette minorité constitue le noyau du régiment et continue ses provocations à la #haineraciale, comme récemment lorsque des soldats se sont filmés enduisant de graisse de porc leurs balles destinées aux militaires tchétchènes musulmans qui aident la Russie.

Malgré cela, « ce n’est pas une milice qui peut faire tout ce qu’elle veut, rappelle Michael Colborne. Elle n’est pas indépendante et doit répondre aux ordres de l’Etat ukrainien ». Comme le souligne Adrien Nonjon, « l’objet de leur intégration au sein de la garde nationale a été justement d’empêcher que ces bataillons se retournent contre l’Etat ».

Un parti d’extrême droite fondé avec des vétérans du régiment Azov
Le fondateur du régiment, le suprémaciste blanc Andreï Biletski, tente d’exploiter la popularité d’Azov sur le terrain politique. Aux élections législatives de 2014, il décroche un siège de député.

En 2016, il fonde le parti d’extrême droite Corps national avec des vétérans du régiment. « C’est un mouvement national révolutionnaire d’extrême droite prônant une troisième voie, estimant que l’Ukraine ne doit se ranger ni du côté de l’Eurasie, ni [du côté] de l’Occident, décrit Adrien Nonjon. Il met en avant un nationalisme soldatique selon lequel la guerre est le meilleur moyen pour que la nation parachève sa solidification. »

Dans son article de 2016, l’historien ukrainien Viatcheslav Likhatchev écrivait : « Azov est l’exemple le plus éclatant de la légalisation, voire de l’héroïsation, de l’ultranationalisme dans le discours public ukrainien. »

Des vétérans du régiment Azov participent au premier congrès du parti d’extrême droite Corps national, à Kiev, le 14 octobre 2016.
Des vétérans du régiment Azov participent au premier congrès du parti d’extrême droite Corps national, à Kiev, le 14 octobre 2016. GENYA SAVILOV / AFP
En 2017, des proches de Corps national et des vétérans du régiment Azov ont également créé une « milice nationale », qui veut « lutter contre la criminalité de rue, le trafic de drogue et l’alcoolisme public, selon un article du Guardian.

Une extrême droite quasi inexistante aux élections
Mais tous ces efforts pour transformer la popularité d’un régiment en bulletins de vote semblent avoir échoué. Lors des législatives de 2019, Andreï Biletski perd son mandat de député. L’alliance entre les partis ultranationalistes Svoboda, Secteur droit et Corps national n’obtient que 2 % des voix.

« Azov a grandi trop vite pour se constituer une base solide, estime Adrien Nonjon. Le milieu nationaliste ukrainien est extrêmement divisé et Corps national n’a pas su adapter son programme aux problèmes des Ukrainiens. Du fait de la menace russe, on peut aussi considérer que tous les partis ukrainiens sont aujourd’hui nationalistes, pour la défense de leur nation. »

Lire aussi Guerre en Ukraine : parcourez les infox et les fausses images qui circulent depuis le début de l’offensive russe
Bien que la galaxie constituée autour d’Azov ait connu un échec dans les urnes, Michael Colborne souligne que des ultranationalistes comme Andreï Biletski ont réussi à s’intégrer et à être normalisés dans le paysage politique ukrainien. De par sa grande liberté de parole et sa capacité à multiplier ses branches (militaire, politique…), Azov a également bénéficié d’une forte popularité au sein des mouvements d’ultradroite occidentaux. Des néonazis américains, norvégiens et même français se sont ainsi rendus en Ukraine pour rencontrer ses membres.

Un régiment qui représente moins de 2 % des forces armées ukrainiennes
Difficile de dire précisément combien de personnes compte actuellement le régiment Azov. Michael Colborne estimait ce chiffre à 2 000 avant la guerre avec la Russie. Adrien Nonjon avance plutôt un chiffre situé entre 3 000 et 5 000 membres (avec les réservistes).

Le conflit en cours rend l’évaluation beaucoup plus difficile en raison des recrutements massifs auprès de la population. De plus, « l’Etat ukrainien et le régiment entretiennent délibérément le flou sur les effectifs exacts car il s’agit d’une information militaire hautement stratégique », rappelle le chercheur de l’Inalco.

Selon l’International Institute for Strategic Studies, l’Ukraine comptait au total, au début de cette année, 196 000 soldats et 60 000 membres de la garde nationale. Le régiment ne représenterait donc pas plus de 2 % des forces armées du pays.

#Décodeurs #LeMonde

my_pal_jm@diasp.org

#Journaliste #français : il nous est #interdit de parler des #atrocités #nazies en #Ukraine

Французский журналист: нам запрещено говорить о зверствах нацистов на Украине

Une vidéo du meurtre brutal de soldats #russes par des nazis ukrainiens apparue sur Internet le 5 avril a choqué les internautes.

Selon la chaîne Rybar #Telegram, non seulement le lieu du crime, mais aussi l'identité des punisseurs ont été établis après enquète.

Selon la chaîne, la vidéo du #massacre a été filmée sur la route de #Dmitrovka à #Zabuchi près de #Kiev. Initialement, la vidéo était plus longue et une partie de celle-ci - des images avec du matériel de la colonne détruite - a été publiée par le portail ukrainien UNIAN sous le titre "La #Légion #géorgienne continue d'aider les Ukrainiens à nettoyer la région de Kiev des libérateurs".

La deuxième partie du plan par un opérateur inconnu est apparue plus tard. Mais il y a la même colonne. Et la même armée ukrainienne.

"Le #meurtre brutal de #soldats #russes, qui ont été #ligotés puis #égorgés, a été l'œuvre des bataillons nationaux de Kiev", écrit la chaîne #Readovka .

L'un est un représentant de la Légion géorgienne, qui combat en Ukraine depuis plus de huit ans, l'autre est un Ukrainien de Kiev.
Le crime était planifié à l'avance

Selon le correspondant militaire Alexander Kots , les Russes tués "à la caméra" ne sont pas morts à la suite de la bataille :

"Bandage blanc sur la manche, mains liées derrière le dos. Exactement comme sur les images de #Bucha, écriture similaire. Ils ne sont pas morts par balles. Sous chacun des parachutistes, il y a une grande mare de sang écarlate. Cela ne se produit pas après une blessure par balle", - il a partagé ses pensées, ajoutant que, très probablement, nos combattants ont été pris en embuscade et "la bête sous la forme ukrainienne les utilise à certaines de ses fins".

Le fait du crime a été prouvé, les suspects ont été identifiés. Où est la réaction de la communauté mondiale ?

Malgré le fait que le massacre de soldats russes soit un fait établi et que son authenticité, contrairement aux tirs de la ville de Bucha qui ont fait le tour des médias mondiaux, et ne fasse l'objet d'aucun doute, le collectif occidental pour une raison quelconque n'est pas indigné et n'exige pas que quiconque soit tenu pour responsable.

De plus, le représentant du secrétaire général de l' #ONU, Stéphane #Dujarric , a qualifié l'enregistrement de "rapport de violations des droits de l'homme", l'un des nombreux qui "devrait faire l'objet d'une enquête".

Comment? Pourquoi la communauté mondiale est-elle silencieuse ? Vrai. Ru ces questions ont été répondues par le journaliste français Dmitry de #Koshko .

Selon lui, la vidéo de Bucha est apparue comme un plan d'une guerre de l'information "comme au Kosovo, à Rakchi, au marché de Sarajevo, en Syrie avec des casques blancs et au Koweït avec une maternité".

"C'est une méthode courante de guerre de l'information. Les médias occidentaux n'autorisent rien d'autre. Vous pouvez montrer autant de vidéos russes que vous voulez, autant de terribles tortures que vous voulez, ce que font tous ces #Azov* et autres #nazis, mais cela ne sera pas montré. Nous (les journalistes occidentaux - Note . ndlr ) sommes interdits. Personne ne peut parler dans nos médias avec une opinion alternative. Une seule opinion est autorisée ici. Tout est à sens unique. La censure est sévère. Même sur YouTube et la censure de Twitter. Nous avons une chaîne Twitter "Stop à la russophobie". Il y a des articles en français, anglais, parfois un peu en russe. Nous avons déjà été bannis pour plusieurs articles. Et nous avons été prévenus qu'ils seraient carrément coupés."

  • bataillon nationaliste interdit en Russie

https://www.pravda.ru/world/1696551-ubiistvo_rossiiskikh_soldat/

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