Les alliés cachés de notre organisme - Les fascias - Regarder le documentaire complet | ARTE
https://www.arte.tv/fr/videos/070788-000-A/les-allies-caches-de-notre-organisme-les-fascias/
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C'est un procès fondamental pour la liberté d'expression qui s'est tenu jeudi dernier à Strasbourg. Il était intenté par les médecins anthroposophes contre Grégoire Perra, principal pourfendeur de cette doctrine. L'enjeu nous concerne tous : c'est le droit à critiquer des médecines ésotériques sans être traîné en justice.
Ce n’est pas un procès très médiatisé. À part #Charlie, aucun média national présent pour en témoigner, et dans la salle, pas plus d’une dizaine de personnes. À droite, les accusateurs : le Conseil national professionnel des médecins à expertise particulière – section #médecine #anthroposophique. Un nom ultrapompeux qui ne représente – comme le soulignera l’avocat de la défense – qu’une simple association et non un organisme officiel, comme on pourrait le croire. Au premier rang, en guise de soutien, trois de ses membres ayant dépassé le cap de la retraite, dont le Dr Robert Kempenich, qui enseigne la médecine anthroposophique à l’université de Strasbourg.
Celui qu’on va juger s’appelle #GrégoirePerra. Ce quinquagénaire est aujourd’hui prof de philo en lycée. Il est attaqué en diffamation pour avoir publié sur son blog, le 7 octobre 2018, un texte intitulé « Mon expérience de la médecine anthroposophique ». Et il sait de quoi il parle, puisqu’il a été placé par ses parents dans une #écoleSteiner étant gosse, et qu’il a lui-même enseigné l’anthroposophie, avant de prendre ses distances avec cette doctrine, dont il est, depuis, l’un des plus ardents pourfendeurs. Une poignée de sympathisants sont venus le soutenir, dont des membres de l’Association pour la science et la transmission de l’esprit critique.
Il n’est pas exagéré de dire que Grégoire Perra est victime d’un acharnement judiciaire : ce simple texte publié sur son blog lui a valu pas moins de trois #procès, intentés par différentes associations anthroposophiques. Il a gagné les deux premiers, et attend le verdict en appel pour le troisième. Aujourd’hui, donc, va pour le quatrième. L’enjeu n’est pas de dire si la médecine anthroposophique est efficace ou pas, car les magistrats ne sont ni scientifiques ni médecins, mais si les critiques de Grégoire Perra relèvent ou non de la diffamation. En fait, la manœuvre est très subtile, car bien qu’il ne s’agisse pas d’un procès à proprement parler scientifique, les enjeux scientifiques sont partout en filigrane.
En pratique, ce procès se limitera à une joute d’avocats. Les hostilités sont déclenchées par l’accusation, avec Me Grégory Thuan dit Dieudonné. Il commence par dénoncer le manque de mesure de Grégoire Perra, dont le « texte truffé d’injures publiques » qualifie la médecine anthroposophique de « tromperie » et d’« aliénation mentale », et ses « praticiens » d’« êtres immoraux » qui « pratiquent le vampirisme spirituel ». Même si ce ne sont pas forcément les mots exacts de l’ex-anthroposophe, il faut admettre que l’esprit n’en est pas très éloigné. L’avocat est donc catégorique : les « propos méprisants et dégradants » de Grégoire Perra sont exempts de bonne foi et seulement animés par la « haine tenace qu’il a contre l’anthroposophie ».
La seconde partie de la plaidoirie vise à démontrer que la médecine anthroposophique est « un courant médical particulièrement sérieux ». Mais sur quoi s’appuie l’avocat ? Eh bien, uniquement des arguments d’autorité. À savoir que « cette #médecine fait l’objet d’une recherche médicale extrêmement poussée en milieu hospitalier et universitaire, à Berne, Berlin ou Fribourg », et que « c’est uniquement en France que la médecine anthroposophique est critiquée, et à chaque fois, il y a un certain Grégoire Perra ». D’où l’urgence de condamner ce dernier « pour faire respecter la réputation » de ses clients.
Mais ce que Me Grégory Thuan dit Dieudonné passe consciencieusement sous silence, ce sont les fondements de la #médecineanthroposophique. Petite parenthèse, donc, pour combler ce manque. L’ #Anthroposophie est une doctrine ésotérique élaborée par l’Autrichien Rudolf Steiner au début du XXe siècle. Dans ce cadre, la maladie serait le fruit d’un #karma destiné à améliorer votre « être spirituel », et il ne faut surtout pas l’empêcher de s’exprimer, car vous risqueriez des problèmes encore plus graves dans une vie future. La théorie se fonde sur tout un bazar de notions ésotériques, comme « état éthérique », « état astral », « forces formatrices »… La médecine anthroposophique s’acharne à être perçue comme une discipline « scientifique », mais ses concepts sont bien plus proches de la pensée magique, voire de la #sorcellerie. Le site de l’université de Strasbourg se contente de la présenter comme « un élargissement de la médecine #universitaire sur laquelle elle se fonde, en intégrant dans sa démarche les niveaux biologiques, psychologiques et spirituels de l’homme ». Séduisante définition pour le grand public… mais dont la seule référence à la #spiritualité signe l’exclusion du champ scientifique.
Concrètement, les médecins anthroposophes utilisent toutes sortes de remèdes : massage des pieds à l’huile #Weleda (entreprise anthroposophe) pour supprimer les grincements de dents nocturnes, oignons frits dans l’oreille pour guérir l’otite, décoctions de gui contre le cancer… Élisa, jeune femme spécialement venue du sud de l’Alsace pour soutenir Grégoire Perra, nous confie son expérience : « Quand j’étais enfant, mes parents me faisaient soigner par des médecins anthroposophes. À l’âge de 5 ans, je me suis blessée et le médecin m’a recousue à vif car l’anesthésie est fortement déconseillée en anthroposophie. Il faisait aussi des certificats de contre-indication à la #vaccination qui n’étaient basés sur rien, de sorte que je n’ai jamais été vaccinée. »
Cette parenthèse étant refermée, venons-en à la plaidoirie de Me Marc François, défenseur de Grégoire Perra. Il commence par rappeler cette donnée essentielle : « De quoi parle-t-on ? D’une des déclinaisons de la pensée de Rudolf #Steiner – qui n’était pas médecin –, appliquée à la médecine […]. Je ne sais pas si l’anthroposophie, c’est bien ou pas, mais je peux vous dire que ce n’est pas scientifique. »
L’avocat parvient même à faire sourire les magistrats (et vu les têtes moroses des médecins anthroposophes, c’était loin d’être gagné) en faisant le parallèle avec Michel Onfray, auteur d’un ouvrage particulièrement violent contre Freud : « Il y a eu des livres et des articles contre lui, notamment d’Élisabeth Roudinesco, mais il n’y a pas eu de procès des sociétés de psychanalyse contre Onfray, et on n’est pas venu encombrer les tribunaux avec ça : vous imaginez un procès Onfray-Roudinesco ? » Le défenseur rappelle aussi que « les laboratoires Boiron n’ont pas fait un procès aux journalistes qui ont critiqué l’homéopathie ». On pourrait ajouter que le conseil de l’ordre des médecins ne porte pas plainte contre les gourous en toge qui écrivent que les médicaments rendent malade et qu’il faut se soigner au yaourt, au jus de navet ou aux granules de tripes de canard. Pour Me Marc François, il est donc évident que les écrits de Grégoire Perra relèvent d’un « débat d’utilité publique » (c’est d’ailleurs la raison invoquée par les précédents tribunaux pour le relaxer), et « que ça plaise ou non, ce garçon a le droit de dire ce qu’il dit ».
Fin de la partie du jour. Reste à attendre le délibéré, qui sera rendu le 23 septembre. À la sortie du tribunal, je ne peux pas m’empêcher de penser aux nombreux procès intentés contre Charlie par toutes sortes de mouvements religieux, des cathos aux islamistes. À chaque fois, les débats n’ont jamais porté sur l’existence ou non de Dieu, mais sur le droit de dire qu’il n’existe pas et de se moquer des #croyances qui vont avec. Il en va de même pour ce procès, dont on peut affirmer qu’il s’inscrit dans un combat pour une « laïcité scientifique ». La médecine anthroposophique est une #pseudoscience qu’il est salutaire d’avoir le droit de #blasphémer pour préserver la médecine des pollutions religieuses. •
Après les cas de thromboses identifiés avec le vaccin AstraZeneca, c'est au tour du produit développé par Johnson & Johnson de susciter l'inquiétude.
L'Agence américaine du médicament a en effet mis en garde, lundi 12 juillet, contre un "risque accru" de développer le syndrome de Guillain-Barré après une injection contre le Covid-19.
Voilà Raoult, en #commission devant les #députés (et donc, sur une sellette officielle, par sur yt !). Sur ce sujet des #essais #randomisés.
Extrait 1min https://www.dailymotion.com/video/x7w809a
Selon Didier #Raoult: "Il n'y a pas de différence entre les études randomisées et les études observationnelles.
Eux, ils ont analysé 150 méta-analyses, des analyses qui regroupaient plusieurs analyses, donc plus de 4000 analyses, pour regarder s'il y avait une différence de résultat et de qualité entre les études randomisées et les études observationnelles, et la conclusion, c'est qu'il n'y a pas de différence.
Des travaux faits par d'autres que Raoult ou l' #IHU, que cite ici Raoult.
Les études randomisées sont un outil, de math, au service de la médecine, oui, mais pas le seul outil. En médecine, on peut aussi observer les #malades, au lieu de rester planqué dans son bureau face à son écran pc pour faire sérieux, où des milliers de chiffres défilent. Merci les #statisticiens, ou les #mathématiciens, mais ils ne sont pas #médecins !
(Sans compter certains qui manipulent la #statistique et qui en plus, nous aident à avancer dans ce dédale d'infos et de #propagande...)
Les blâmes de Raoult n'engagent que ceux qui les font. Ce n'est pas sérieux. Car la #diffamation n'a jamais fait avancer la #science.
Et cette étude que cite Raoult se retrouve, suffit par exemple de revenir sur l'enregistrement complet de cette commission, qui se trouve sur le Net, pour retrouver les références de cette étude.
Petit rappel, donc, pour ceux qui ont la mémoire courte, ou sélective, qui continuent de blâmer un chef d'un service comme l'IHU, d'incompétence, de #méthodologie mauvaise, et j'en passe.
Et en plus, ce sont des #méta-analyses, plus de 4000 #analyses qui le confirment, et pas Raoult, qui ne fait que citer cette méta-analyse.
Certes, les études randomisées permettent d'éviter les #biais. Mais Raoult ne s'y oppose pas, il dit simplement qu'on peut progresser aussi, par des études observationnelles. Il ne nie pas les études randomisées, donc. C'est un outil.
Ceux qui n'aiment pas Raoult, c'est leur droit, pas de souci, et je m'en fous à vrai dire.
Ce qui compte, ce n'est pas le personnage, mais le travail, le sérieux. Ce qui compte, c'est le #ServicePublic ! Et le travail d'un #Fonctionnaire, dont le salaire ne changera pas, qu'il en fasse plus, ou pas !
Ceux qui continuent de blâmer Raoult, par exemple question #méthodologie, ont manifestement subi l' #endoctrinement des #médias, de #BigPharma, car il faut absolument faire passer le #vaccin comme seul #remède, pour garantir le #business des #actionnaires !
Et ils sont nombreux, #médecins en tout genre, à avoir décidé de jouer dans ce sens, une certaine Karine Lacombe par exemple :
N°4. La Pr Karine #Lacombe de Paris - Saint Antoine. 212.209 € [de Big #Pharma], dont 28.412 € de #Gilead.
En toute bonne foi, pour ceux qui sont honnêtes avec eux-mêmes, il n'y a rien à rajouter sur le sérieux du travail de Raoult.
Ce qui n'empêche pas les revirements #scientifiques, sur l' #HCQ par exemple.
Reste maintenant à savoir, si on pourra un jour mener à bien une étude sérieuse et qui aille jusqu'au bout, pour savoir si le traitement de l'IHU, est efficace ou non, ou si c'est juste un #placebo, car on sait déjà au moins une chose : au pire, l' #HCQ ne soigne pas.
Pour cela, en amont, faudra déjà faire sauter le verrou #politique qui bloque L' #hydroxychloroquine, pour pouvoir étudier l'impact du #traitement anti #Covid : hydroxychloroquine + #azithromycine, au début, dès les premiers #symptômes #Covid-19, pour éviter les cas graves !
Raoult indique qu'il a une #publication qui a été acceptée, qui stipule que l'on ne peut se prononcer actuellement sur l'HCQ, car aucune étude n'a été menée sérieusement et jusqu'au bout. La suite est encore à venir à propos de l'HCQ, tôt ou tard.
Quant à l' #ivermectine, ça se bouge déjà, du côté de l'institut #Pasteur : https://www.nouvelobs.com/societe/20210713.OBS46503/l-ivermectine-un-traitement-prometteur-contre-le-covid.html
Bref, le #Soin ! #Soigner les gens ! Voilà ce qui compte.
Merci à l'équipe de l'IHU.
https://ducotedelascience.org/faq-vaccin-covid19-vos-questions-et-nos-reponses/
Tenez, encore de quoi répondre ou vers renvoyer pour des gens qui remettent ça et ça en doute, ou manquent d'info.
Perso j'avais déjà suivi les infos au fil des mois et j'avais lu et vu tout ça, déjà. J'ai l'impression que les dubitatifs sont ou bien ceux qui ne s'y sont jamais intéressés ou pris la peine de, et donc n'ont pas d'info, ou bien des gens qui sont Contre. Juste Contre, peu importe ce qu'on dirait, pour tout un tas de raisons qui dépassent la situation actuelle (les antivax en majeure partie, mais aussi les anticonformiste, qui, quelle que soit la norme, seront toujours à l'opposé)
#coronavirus #covid19 #vaccin #questions #médecine #science #épidémie
Petit rappel, pour ceux qui croient que tout cela roule, et roulera sans souci. Effets secondaires graves suite à ton #vaccin ? Ben d'abord prouve le lien (tu peux courir : « L'impossibilité d'établir un risque certain. » voir plus bas), puis même si c'est prouvé :
Plus de onze ans après avoir été vaccinée contre le virus de la #grippe #H1N1, Marie attend toujours son indemnisation en raison d'effets secondaires que nul ne conteste. L'Etat doit payer, car il s'était engagé bien vite auprès des firmes pharmaceutiques à indemniser les victimes.
Il y a les effets d'annonce, comme dans cet article actuel de l' #AFP (07/07/2021) : Les personnes vaccinées peuvent demander une indemnisation en cas d'effets secondaires graves...
Et la réalité, question #EffetsSecondaires, #Indemnisation #Indemnisations, #Responsabilité de #BigPharma, des #Labos et de l' #État...
...
Affaire de l'hépatite B, 17 ans d'enquête pour rien (Le Parisien 04/01/16)
https://www.leparisien.fr/faits-divers/affaire-de-l-hepatite-b-17-ans-d-enquete-pour-rien-04-01-2016-5419717.php
Le #scandale fut tel que la méfiance reste forte vingt-deux ans plus tard. En 1994, la France lance une vaste campagne de vaccination contre l'hépatite B, cette #infection du foie pouvant être mortelle. Ce programme ciblait notamment les collégiens. Au bout de quelques mois, des dizaines de cas suspects de maladies neurologiques, comme la sclérose en plaques (SEP), apparaissent, aboutissant à l'ouverture d'une enquête judiciaire d'ampleur nationale en 1998.
Après dix-sept ans d'investigations et le recensement officiel d'une soixantaine de victimes, dont huit décès, le parquet de Paris a rendu l'été dernier un réquisitoire de non-lieu général, faute de lien avéré entre la prise du vaccin et le déclenchement des maladies.« L'impossibilité d'établir un #risque certain. »
#Politique #France #Macron #coronavirus #covid19 #vaccin #vaccins #vaccine #Covid-19 #santé #médecine #science #EHPAD #vaccination #Pandémie #Média #Médias #Propagande #Médicament #Médecine #Corruption
Les personnes vaccinées peuvent demander une indemnisation en cas d’effets secondaires graves
Aucune compensation n’est possible pour une personne vaccinée contre le Covid-19 ayant développé des effets secondaires graves, selon un document relayé plusieurs centaines de fois sur Facebook depuis fin juin. C’est faux : en Belgique, en Suisse et en France, les patients ne sont invités à signer aucune décharge en ce sens. Il est en outre possible de demander une indemnisation auprès des fabricants des vaccins: les contrats prévoient que ces indemnités soient ensuite remboursées par les Etats dans certains cas, ont expliqué plusieurs avocates à l’AFP.
Affirmer que les patients sont seuls responsables des potentiels effets secondaires graves des vaccins anti-covid est faux. Comme l’ont expliqué plusieurs avocates à l’AFP, les contrats européens passés avec les fabricants du vaccin prévoient que les laboratoires puissent être poursuivis, mais que les indemnisations versées soient remboursées par les Etats, sauf dans certains cas. De plus, il n’y a aucun lien entre le versement de l’assurance-vie et la vaccination.
En avril 2021, le porte-parole de la Commission européenne Stefan de Keersmaeker avait assuré que la responsabilité juridique restait du côté des laboratoires : si une entreprise pharmaceutique est jugée “responsable” d’un dommage à cause de son vaccin contre le Covid-19 “elle devra indemniser le citoyen”, avait-il déclaré, soulignant que les entreprises pouvaient par la suite demander aux Etats membres de les indemniser “dans certaines circonstances très spécifiques”.
Concrètement : une personne vaccinée, si elle souffre d’effets secondaires graves et qu’elle peut prouver le lien de causalité avec le vaccin, peut se tourner vers l’organisme national chargé des indemnisations. Celui-ci lui verse une réparation en quelques mois, puis se tourne vers le laboratoire pour obtenir un remboursement de l’indemnité. Suivant ce qui a été décidé dans les contrats européens, le laboratoire peut alors demander à l’Etat de régler cette indemnité. Seule exception : s’il est possible de prouver que le laboratoire connaissait l’existence de l’effet indésirable et a omis de le mentionner sur l’étiquette des vaccins, le laboratoire sera responsable et devra s’acquitter seul de la réparation.
Selon l’avocate du cabinet de Bandt Raluca Gherghinaru, interrogée par l’AFP le 6 juillet 2021, “les laboratoires ne peuvent pas s’exonérer de leur responsabilité totalement - ce serait contraire à la directive européenne de 1985 et à la loi belge sur la responsabilité des produits défectueux. Ici, on va rendre cette responsabilité fictive car ils seront tenus juridiquement responsables mais il n’y aura pas vraiment d’effets car ce sont les Etats membres qui vont indemniser les consommateurs avec l’argent public. On peut donc se demander si les contrats sont équilibrés”.
https://factuel.afp.com/http%253A%252F%252Fdoc.afp.com%252F9E2649-7
#couillonavirus #coronavirus #covid19 #vaccin #vaccins #vaccine #Covid-19 #santé #médecine #science #EHPAD #spike #vaccination #plandemie #nuremberg #vaxed
Réunion publique n°11 du #CSI (Conseil scientifique indépendant)
https://crowdbunker.com/v/bVt1eA7e
#france #médecine #santé #coronavirus #couillonavirus #covid-19 #vaccination
#archéologie #médecine #peste #pandémie #covid-19 #coronavirus #sars-cov-2 #humanité #maladie #société #bactérie #système-immunitaire #immunité #contagion #villes #densité-de-population
Dans son 16em rapport de pharmacovigilance concernant le vaccin de #Pfizer, l'ANSM explique avoir reçu 632 signalements de décès suite à une vaccination.
Le tableau suivant vous montre le nombre de décès déclarés en fonction de la moyenne de l'âge des personnes vaccinées : Plus l'âge des personnes vaccinées diminue, plus le nombre de décès pour 100.000 vaccinations baisse, pour passer sous 1 pour 100.000 à partir de mai. Il fallait tout de même s'y attendre : c'est les personnes âgées et fragiles qui ont été vaccinées en premières. Or plus on est âgé, plus on a de risque de décéder :
Graphiquement, ça donne cela :
J'ai donc décidé de récupérer l'ensemble des Synthèses disponibles (par exemple celle du 22/04/2021) par période afin de créer un tableau avec le nombre de décès pour chaque période.
Petit problème, à partir du 08/04/2021, le nombre de décès déclarés ne se trouve plus dans la synthèse, il faut se "rabattre" sur le rapport complet que l'on peut facilement trouver en faisant une recherche du type "rapport sécurité comminarty n 13" sur google pour le rapport numéro 13 par exemple.
Pour rester dans une représentation par semaine, j'ai tout de même "triché" en répartissant sur les deux semaines le nombre de décès déclarés dans les rapports (qui sont eux sur deux semaines).
Pour le totale de doses, je me suis basé sur les synthèses de l'ANSM en prenant le nombre totale de première injection uniquement. Attention cela engendre un biais : car le nombre totale comprend tous les vaccins alors que la déclaration des décès ne concerne que le comirnaty.
J'arrive donc à obtenir un tableau qui contient, la période, le nombre de décès sur la période déclarée et le nombre de premier injection totale. J'ai donc ensuite rajouté une colonne pour calculer le nombre de décès déclarés pour 100.000 vaccinations.
Pour aller plus loin, j'ai ensuite récupéré la répartition par âge des personnes vaccinées pour calculer la moyenne de l'âge de la première vaccination chaque jour.
À l'aide d'un tableau croisé dynamique, on peut obtenir l'âge des personnes vaccinées pour en faire une moyenne chaque jour. Il me fallait alors faire la moyenne par "période" afin que cela corresponde aux rapports de l'ANSM.
Le tableau est disponible ici si vous voulez voir dans le détail. Attention : Il s'agit d'un premier "jet", je pense refaire les calculs mais cette fois en me basant uniquement sur les rapports complets de l'ANSM et pas sur les synthèses puis les rapports.
#couillonavirus #hydroxychloroquine #coronavirus #covid19 #vaccin #vaccins #vaccine #Covid-19 #santé #médecine #science #EHPAD #spike #vaccination
Que les personnes à risque qui le souhaitent se fassent vacciner aucun problème. Que les autorités incitent les personnes atteintes de comorbidité à se faire vacciner : c'est logique... Mais imposer ces vaccins à des jeunes qui ne risques rien avec le virus (vaccins qui n'empêchent pas de transmettre le virus....) c'est un scandale d'Etat. On voit bien qu'il s'est "coupé" dans sa déclaration. Ils veulent forcer les français à se faire injecter "les doses qui ont été achetées".. Ils ne veulent pas se retrouver avec des doses payées des milliards sur les bras.... et recommencer le scandale du H1N1... C'est leur seule motivation.Mais quel scandale... Que ces déclarations .... Il ne se rend même pas compte qu'il est un dictateur !!!!
Sinistre de la Santé - Déclarations sur l'obligation vaccinale déguisée
#fr #France #COVID #Vaccin #Liberté #santé #Médecine #Science