#réinformation

buzzkill@diaspora.schoenf.de

Comment Big Oil a conquis le monde entier ? Part 1/2

#Français #France #OMS #WHO #NationsUnies #UN #Pandémie #Pandemie #Vaccins #PasseVaccinal #PassedelaHonte #Pathologiespostvaccinales #Actu #3èmeDose #VAERS #Santé #Soignants #Réinformation #Résistance #Activism #SocialJustice #Justice #CivilRights #Equality #Freedom #Liberty #HumanRights #Humanitarianism #Humanitarian #Organize #Organization #Collaboration #FunctionalCollaboration #Coordination #Cooperation #Empowerment #Culture #CulturalHealth #CulturalFreedom #CulturalPluralism #CulturalDiversity #HealthyCulture #MonoCulture #SocialTheory #SocialScience #Government #Politics #PoliticalJustice #PoliticalScience #PoliSci #PublicPolicy #Policy #Democracy #MaintainingDemocracy #FunctionalDemocracy #ParticipatoryDemocracy #ParticipatoryEducation #Citizen #Citizenship #CitizenCommunications #Education #Access #Accessibility #AccessibleEducation #LiberateEducation #EducationLiberation #Socialism #Mutualism #MutualAide #SocialEcology #Anarchy #Anarchism #Anarchist #Scientism #Collectivism #Capitalism #AntiFacist #AntiFa #Civilization #Economics #EconomicJustice #Law #Journalism #News #History #FightPropaganda #Propaganda #Truth #Corruption #Lies #USA #America #Europe #Environment #Environmentalism #EnvironmentalJustice #Ecology #Ecosystems #EcoActivism #EcologyActivism #Health #Climate #ClimateJustice #ClimateActivism #ClimateActivist #ClimateChange #Carbon #AirQuality #WaterProtectors #Water #Pollution #Sustainability #ToxicCulture #ToxicConformity #Fascism #Fascist #Paternalism #Discrimination #StopDiscrimination #Oppression #Persecution #Slavery #Nazi #Nazis #NoNazis #KnowThyEnemy #Righteous #Righteousness #Vigilance #ReWild #Wild #ReWildorDie #Health #HealthCare #HealthyEating #HealthFood #Food #Nutrition #Eating #Diet #Natural #Veg #Vegetarian #Vegan #FoodJustice #FoodSecurity #FoodSupply #FoodShortage #FoodShortages #Famine #SupplyChain #Agriculture #AvianFlu #H1N5 #BioWeapon #BioSecurity #Medical #Medicine #Wellness #WellBeing #Sociology #Power #Sustainability #COVID #COVID19 #COVID-19 #Coronavirus #Pandemic #Pandémie #Pandemie #Quarantine #Lockdown #Lockdowns #Vaccine #Vaccins #InformedConsent #ClinicalTrial #Autonomy #Pfizer #BionTech #Shot #Jab #Vaxx #NoVax #VaxPass #EndAllMandates #AdverseReactions #Survival #Prepper #Prep #Preppers #SelfCare #DeColonize #DeAssimilate #InformationJustice #KnowledgeDistribution #InfoDistribution #EducationJustice #EducationalJustice #InfoShare #GrassrootsEducation #KnowledgeIsPower #Luddite #Union #Science #BioTech #CBDC #DigitalCurrency #Currency #Democrat #Republican #Progressive #Weather #WEF #Eugenics #Genocide #BioTerror #Resistance #Transportation #PublicTransportation #Electric #Streetcar #Cars #ElectricCars #Rockefeller #Oil #BillGates #Bus #Buses

buzzkill@diaspora.schoenf.de

Première lettre ouverte sur le traité de l’OMS sur les pandémies

À: l’attention des gens du monde entier. Aux Gouvernements, présidents, ministres de la santé. Médias indépendants.

À: l’attention de l’OMS via L’Assemblée Mondiale de la Santé, Dr Tedros Adhanom Ghebreysus, Dr Soumya Swaminathan

À l’attention: des Nations Unies via Antonio Guterres, Liu Zhenmin, Elliott Harris, Maria-Francesca Spatolisano

Le Conseil mondial de la santé (WCH), une alliance de scientifiques, de médecins, d’avocats et d’organisations de défense de la société civile, s’oppose aux tentatives de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) de mettre en œuvre un coup de force sous la forme d’un accord mondial sur les pandémies, alors que l’attention du monde est détournée par la dernière crise.

L’accord proposé par l’OMS est inutile et constitue une menace pour la souveraineté et les droits inaliénables. Elle accroît le pouvoir étouffant de l’OMS de déclarer des pandémies injustifiées, d’imposer des mesures confinement déshumanisantes et d’imposer des traitements coûteux, dangereux et inefficaces contre la volonté des populations.

Le World Council for Health estime que les populations ont le droit de participer à tout accord qui affecte leur vie, leurs moyens de subsistance et leur bien-être. Cependant, l’OMS ne s’est pas engagée dans un processus de participation publique, ce qui prouve que sa priorité est de s’emparer de plus de pouvoir pour elle-même et ses entreprises complices, plutôt que de servir les intérêts de la population. Sans un processus démocratique impartial, tout accord de l’OMS, agissant par l’intermédiaire des Nations Unies, sera illégal, illégitime et non valable.

Historiquement, les dirigeants de l’OMS ont manqué à leurs engagements vis-à-vis du peuple. Parmi de nombreux exemples, elle a approuvé le vaccin nocif H1N1 (grippe porcine) pour une pandémie déclarée de manière controversée. De même, l’OMS a échoué pendant le chapitre Covid-19, car elle a encouragé les confinements, supprimé les traitements préventifs précoces et recommandé des interventions produits qui se sont avérés ni sûrs ni efficaces.

L’OMS ne doit pas être autorisée à contrôler l’agenda mondial de la santé, ni à imposer la biosurveillance. Bien qu’elle reçoive des fonds de sources publiques appartenant au peuple, elle est prise dans un conflit d’intérêts perpétuel car elle reçoit également des fonds importants d’intérêts privés qui utilisent leurs contributions pour influencer les décisions et les mandats de l’OMS et en tirer profit. Par exemple, la Fondation Gates et l’alliance GAVI pour la promotion des vaccins, financée par Gates, contribuent pour plus d’un milliard de dollars par an.

Appel à l’action

Les partenaires du World Council for Health, de l’Australie au Zimbabwe, s’opposent à cet abus de pouvoir coûteux et affirment le droit souverain des peuples à prendre leurs propres décisions, au-delà de ce que leurs représentants peuvent vouloir. Nous demandons instamment à chacun d’approcher les représentants crédibles du gouvernement, des partis politiques, les syndicats, les groupes de la société civile, les professionnels, les personnalités publiques et des médias indépendants pour :

  • Sensibiliser aux implications de l’accord mondial proposé sur les pandémies ;
  • Appeler à des campagnes nationales qui protègent le droit naturel et les constitutions démocratiques ;
  • Rejoindre des coalitions crédibles de la société civile telles que le World Council for Health.

Nous encourageons également chacun à se renseigner sur les principes, les accords, les conventions et les traités qui protègent les droits des hommes, des femmes et des enfants. Il s’agit notamment des principes de Syracuse dans le Pacte international relatif aux droits civils et politiques, qui fournissent des normes juridiques pour protéger les droits.

D’ici à la 77e Assemblée mondiale de la santé de l’OMS en 2024, où l’OMS a l’intention de confirmer un traité sur les éventuelles pandémies à venir, le World Council for Health continuera à sensibiliser l’opinion publique en faisant campagne contre cette décision antidémocratique. Pour plus d’informations sur les travaux antérieurs du World Council for Health sur cette question, suivez ces liens vers laRéunion Publique du World Council for Health sur le plan de lutte contre la pandémie, et consultez ces articles sur le sujet.

Si vous ou votre organisation souhaitez soutenir le World Council for Health (WCH) dans cette campagne cruciale :

Il existe une meilleure voie. Nous la créons ensemble, pour un monde sain, inclusif et harmonieux.

#Français #OMS #WHO #NationsUnies #UN #StopTheTreaty #Coronavirus #COVID #COVID19 #COVID-19 #Pandemic #Pandémie #Pandemie #Vaccine #Vaccins #Pfizer #PasseVaccinal #VaxPass #Lockdown #PassedelaHonte #Pathologiespostvaccinales #Actu #3èmeDose #VAERS #Santé #Soignants #Réinformation #Résistance #Resistance #France #Europe #AntiFacist #AntiFa #WEF #Eugenics #Science #BioTech #BioSecurity #Health #HealthCare #Activism #SocialJustice #Justice #CivilRights #Freedom #Liberty #HumanRights #Government #Law #Fascism #Privacy #Vigilance #Medicine #Quarantine #Lockdown #Lockdowns #InformedConsent #ClinicalTrial #Autonomy #BionTech #Shot #Jab #Vaxx #NoVax #EndAllMandates #AdverseReactions #Health #HealthCare #Activism #SocialJustice #Justice #CivilRights #Equality #Diversity #Pluralism #Freedom #Liberty #HumanRights #Humanitarianism #Humanitarian #Organize #Collaboration #FunctionalCollaboration #Coordination #Empowerment #Culture #MonoCulture #SocialTheory #SocialScience #Government #Politics #PoliticalJustice #PoliticalScience #PoliSci #PublicPolicy #Policy #Democracy #MaintainingDemocracy #FunctionalDemocracy #ParticipatoryDemocracy #ParticipatoryEducation #Citizen #Citizenship #CitizenCommunications #Education #AccessibleEducation #LiberateEducation #EducationLiberation #Socialism #Mutualism #MutualAide #SocialEcology #Anarchy #Anarchist #Christian #MessianicJew #Religion #Faith #Scientism #Collectivism #Capitalism #AntiFacist #AntiFa #Civilization #Economics #EconomicJustice #Law #Journalism #News #FightPropaganda #Propaganda #Truth #Corruption #Lies #USA #Canada #America #Europe
#Sustainability #ToxicCulture #ToxicConformity #WhiteSupremacist #WhiteSupremacy #Chauvinism #Chauvinist #Fascism #Fascist #Paternalism #XenoPhobia #Nationalism #Discrimination #StopDiscrimination #Oppression #Persecution #Slavery #Nazi #Nazis #NoNazis #KnowThyEnemy #Privacy #Righteous #Righteousness #Vigilance
#ReWild #Wild #ReWildorDie #Famine #SupplyChain #Agriculture #BioWeapon #BioSecurity #Medical #Medicine #Wellness #WellBeing #Psychology #Psych #Sociology #Power #Survival #Prepper #Prep #DeColonize #DeAssimilate #InformationJustice #KnowledgeDistribution #InfoDistribution #EducationJustice #EducationalJustice #InfoShare #GrassrootsEducation #KnowledgeIsPower #LegalLiteracyLiberation #LiberateLegalLiteracy #Luddite #Union #Science #BioTech #CBDC #DigitalCurrency #Currency #Progressive #WEF #Eugenics #Genocide #BioTerror #Resistance #BigPharma #Pharma #Rockefeller #BillGates

buzzkill@diaspora.schoenf.de

Reiner Fuellmich – Grand Jury – Session 1 – v.2022 p. 1 de 17
Jeanne Traduction

Grand Jury – Session 1 1

5 février 2022

La procédure du Grand Jury par le Tribunal
d’opinion publique des peuples a pour but de
renforcer la conscience publique par le droit
naturel.
L’injustice faite à un seul est une injustice faite à
tous. L’allégation est que les gouvernements du
monde sont passés sous l’influence de structures
de pouvoir corrompues et criminelles. Ils se sont
concertés pour mettre en scène une pandémie
qu’ils planifiaient depuis des années. À cette fin,
ils ont délibérément créé une panique de masse
par le biais de fausses déclarations de faits et
d’une opération psychologique socialement
élaborée dont les messages ont été transmis par
les médias d’entreprises.
Le but de cette panique de masse était de
persuader la population d’accepter les soi-disant
« vaxxinations » qui, entre-temps, ne se sont
avérées ni efficaces ni sûres, mais extrêmement
dangereuses, voire mortelles. Les dommages
économiques, sociaux et sanitaires que ces crimes
contre l’humanité ont causés à la population
mondiale se mesurent en quadrillions de dollars.
Les avocats énumérés ci-dessous, avec l’aide d’un
certain nombre de scientifiques et d’experts
respectés du monde entier et sous les auspices
d’un juge du Portugal, mèneront cette enquête de
grand jury et fourniront ainsi au jury (les citoyens
du monde) une image complète de ces crimes
contre l’humanité.
L’objectif de l’enquête du
« Tribunal populaire de
l’opinion publique » est double : d’une part, il
s’agit de servir de modèle de procédure et
d’obtenir des inculpations contre certaines des
figures de proue pénalement et civilement
responsables de ces Crimes contre l’Humanité.
Et d’autre part, il s’agit, en montrant une image
complète de ce à quoi nous sommes confrontés, y
compris le contexte géopolitique et historique, de
créer une prise de conscience sur l’effondrement
réel du système actuel, détourné, et de ses
institutions.
D’avoir une prise de conscience par conséquent
de la nécessité pour les peuples eux-mêmes de
reprendre leur souveraineté et la nécessité
d’arrêter d’abord les mesures de cette pandémie
en refusant de s’y conformer ainsi que la nécessité
de lancer leur propre nouveau système de soins de
santé, d’éducation, d’économie et de justice, afin
de rétablir la démocratie et l’État de droit sur la
base de nos constitutions.
Le Juge et les Avocats
Viviane Fischer - Avocate d’Allemagne
Ana Garner - Avocate des États-Unis
Rui Fonseca e Castro - Juge du Portugal
Deana Sacks – Avocate des États-Unis
Reiner Fuellmich - Avocat des États-Unis et d’Allemagne
Dipali Ojha - Avocate d’Inde
Dexter L-J. Ryneveldt - Avocat d’Afrique du Sud
1 https://youtu.be/ELTFNkCdzjA
https://odysee.com/@laileastick:4/01-Grand-Jury-VF:00
Reiner Fuellmich – Grand Jury – Session 1 – v.2022 p. 2 de 17
00:17 Viviane Fischer
Bonjour et bienvenue au premier jour de la
procédure du grand jury. Nous sommes ici dans une
salle qui a été spécialement construite à cet effet,
pour entendre des témoins et des experts quant à ce
qui s’est passé dans la crise de corona. Nous
sommes reliés à un groupe international d’avocats.
Pour commencer, je donne la parole à l’avocate Ana
Garner des États-Unis d’Amérique.
00:46 Ana Garner
Merci Viviane. C’est un honneur et un plaisir pour
moi de participer à cette enquête du grand jury
international. Un grand jury criminel contre certains
des auteurs qui, dans une collaboration criminelle
mondiale, ont commis des crimes contre l’humanité
contre la population mondiale entière sous la forme
d’une pandémie planifiée appelée covid-19. Nous,
un groupe d’avocats internationaux et un juge,
menons une enquête criminelle sur le modèle des
procédures du Grand Jury des États-Unis. Cette
enquête du grand jury sert de modèle de procédure
légale, pour présenter à un jury composé de citoyens
du monde, toutes les preuves disponibles du crime
contre l’humanité qu’est le covid-19, à ce jour contre
les dirigeants, organisateurs, instigateurs et
complices qui ont aidé, encouragé ou participé
activement à la formulation et à l’exécution d’un plan
commun pour une pandémie.
Les crimes faisant l’objet de l’enquête comprennent
tous les actes accomplis ou omis par une personne
dans la poursuite d’un dessein commun visant à
commettre des crimes contre l’humanité et tous ces
actes criminels condamnés dans les différentes
communautés de jurés à travers le monde. Cette
enquête est menée par le peuple, pour le peuple. Elle
sera désignée sous le nom de « Tribunal de l’opinion
publique ».
N’ayant pu trouver un tribunal pour entendre les
preuves réelles dans les cours de justice du système
actuel, nous entreprenons cette procédure en dehors
du système actuel, sur la base du droit naturel. Celle-
ci, à son tour, est fondée sur la ferme conviction que
chaque personne peut facilement distinguer le bien
du mal et ce qui est bon ou mauvais. Cette
procédure pourrait être l’un des événements
extrajudiciaires les plus importants de l’année.
Nous, en tant que groupe d’avocats internationaux,
présenterons des preuves réelles provenant de vrais
experts, tels que des scientifiques, des historiens, des
médecins, ainsi que des victimes.
Il n’y a pas d’acteurs dans cette présentation,
seulement des personnes réelles qui désirent
apporter la justice au monde. Et nous avons besoin
de votre aide. La raison de la mise en place d’un
processus de grand jury est que notre monde est à
un stade critique de l’humanité, qui dépendra du
réveil de tous les peuples, afin inverser un cours qui
pourrait modifier à jamais la façon dont nous vivons
en tant qu’humains libres, nous devons inverser la
trajectoire de ce cours maintenant.
La représentation d’une enquête du grand jury est le
moyen le plus rapide que nous connaissons pour
apporter les preuves devant le tribunal public du
monde. Vous, le peuple. Aux États-Unis, seuls les
procureurs de district ou les procureurs généraux des
différents États sont autorisés à engager de telles
procédures pénales. Mais comme personne ne l’a
fait aux États-Unis, nous venons vous présenter les
preuves sous une forme calquée sur ce type de
procédure judiciaire qui est courante aux États-Unis.
Nous basons ce modèle sur le grand jury pénal
américain. En général, le grand jury détermine si les
preuves sont suffisantes pour prononcer une mise
en accusation criminelle contre un ou plusieurs
accusés. Il se déroule à huis clos. Ni l’accusé ni son
avocat ne sont présents dans ce type de procédure.
Cependant, nous effectuons ce processus sous les
yeux du tribunal de l’opinion publique. Vous, le
peuple. Le but de cette enquête est de révéler les
preuves qui pourraient être utilisées dans ce type de
procédure dans votre juridiction. Nous vous
invitons à nous rejoindre dans une transparence
ouverte en utilisant de vraies preuves, de vrais
avocats, un vrai juge et de vrais témoins experts, qui
pourraient être présentés dans une véritable
procédure de grand jury criminel devant les
tribunaux des États-Unis.
L’histoire de la réussite de ce pays a été écrite par des
personnes qui ont fait confiance à la gouvernance
constitutionnelle pour le peuple. Nos ancêtres ont
relevé les défis épiques de notre histoire sur la base
de notre Constitution. C’est cette Constitution et sa
reconnaissance des droits et libertés naturels qui ont
libéré des êtres humains libres du joug de la
Couronne britannique.
Par conséquent, reconnaissant l’urgence, nous vous
demanderons, en tant que tribunal de l’opinion
publique, d’examiner les preuves présentées, afin de
réclamer nos droits et libertés accordés à chaque
personne dans ce pays et dans le monde à la fin de
cette procédure.
Reiner Fuellmich – Grand Jury – Session 1 – v.2022 p. 3 de 17
5:34 Viviane Fischer
Merci, Mme Garner, je voudrais me tourner vers le
juge Rui Fonseca e Castro, qui préside cette
procédure. Monsieur Fonsesca, bonjour.
5:47 Rui Fonseca e Castro
La légitimité du tribunal de l’opinion publique
s’appuie sur le Droit naturel. Au cours des deux
dernières années, nous avons assisté à
l’effondrement fulgurant de l’État de droit
démocratique. Au nom d’une idée de biens
communs qui n’a jamais été entérinée, les droits et
libertés les plus fondamentaux nous ont été retirés.
Nous pouvons déjà sentir l’approche d’une
gigantesque vague de victimes. Les systèmes
judiciaires, autrefois bastions des droits et libertés
fondamentaux, ne remplissent plus leurs fonctions.
C’est-à-dire qu’il n’y a plus de juges à Berlin.
Devons-nous attendre sans rien faire que nous
soyons complètement anéantis ? Ou plutôt, assumer
nos responsabilités en tant que membres de nos
communautés ? C’est notre droit et surtout notre
devoir, envers le peuple et les générations futures de
résister à l’oppression et à la tyrannie. La loi
naturelle, imanente pour les êtres humains,
indépendamment de sa positivité, nous donne des
droits sacrés de résistance à l’oppression. Si les
Constitutions sont la source des droits et libertés
fondamentaux, le droit naturel est sa source
originelle.
Le droit naturel confère au peuple la légitimité de
défendre les droits et libertés fondamentaux, face à
des États devenus tyranniques. Nous voyons bien
maintenant l’incapacité des systèmes de justice
nationaux et internationaux à protéger les peuples
contre la tyrannie qui s’est installée. C’est donc dans
le droit naturel et le droit non écrit inhérent à la
condition humaine que ce tribunal de l’opinion
publique trouve sa légitimité pour engager la
procédure judiciaire qui va commencer aujourd’hui.
Merci.
8:10 Viviane Fischer
Merci pour cette introduction, M. le juge Fonseca e
Castro. Je voudrais maintenant donner la parole à
l’avocate Diana Paula Sachs des États-Unis
d’Amérique.
2 Nous écrirons vaxxins pour parler des injections de produits, autorisés à tire expérimental pour la raison qu’il n’y
aurait pas de traitement vis-à-vis de la maladie, qui n’ont rien d’un vaccin. Bien que la pronociation soit la même, ce
distingo facilite la clarté.
8:34 Deana Pollard Sacs
Bonjour. Je m’appelle Deana Pollard Sacs. Depuis
22 ans, je suis professeur de droit, spécialiste de la
constitution, militante des droits civils et avocate. Je
suis ici aujourd’hui pour discuter de l’origine de
notre clause de liberté, qui remonte à la loi naturelle,
et pour expliquer pourquoi les vaxxins2 covid 19
sont tous inconstitutionnels selon notre
jurisprudence historique. Le 4 juillet 1776, nos Pères
Fondateurs ont signé la Déclaration
d’Indépendance. Voici ce qu’ils ont dit : « Nous
tenons ces vérités pour évidentes, que tous les hommes sont créés
égaux, qu’ils sont dotés par leur Créateur de certains droits
inaliénables, que parmi ceux-ci se trouvent la vie, la liberté et
la recherche du bonheur. » En 1891, notre Cour
suprême, dans une affaire appelée Botsford, a
expliqué que la liberté médicale est inaliénable et
constitue l’un des droits les plus précieux que nous
puissions avoir.
Ils ont dit : « Aucun droit n’est considéré comme plus sacré
ou n’est plus soigneusement gardé par la Common Law que le
droit de chaque individu à la possession et au contrôle de sa
propre personne, libre de toute contrainte ou interférence
d’autrui, à moins que par une autorité claire et incontestable
de la loi, le droit d’une personne puisse être considéré comme
un droit d’immunité totale, à laisser en paix. » En 1914, le
juge Cordozo, qui devint plus tard juge à la Cour
suprême des États-Unis, s’exprimait ainsi : « Tout être
humain adulte et sain d’esprit a le droit de déterminer ce qu’il
doit faire de son propre corps et un chirurgien qui pratique une
opération sans le consentement de son patient commet une
agression pour laquelle il est responsable des dommages. »
Ces mêmes concepts et déclarations textuelles de
nos tribunaux ont été réitérés au fil des décennies.
En 1990, par exemple, dans une affaire appelée
Cruzan contre le directeur du département de la
santé du Missouri, la Cour suprême a essentiellement
affirmé que chaque individu a le droit de refuser un
traitement médical. Cela remonte à la common law
anglaise. Voici ce que le juge Brennan a dit dans
l’affaire Cruzan : « Le droit anglo-américain part du
principe d’une autonomie complète. Il s’ensuit que chaque
homme est considéré comme le maître de son propre corps et
qu’il peut, s’il est sain d’esprit, interdire expressément
l’exécution d’une intervention chirurgicale destinée à sauver sa
vie ou tout autre traitement médical. »
Reiner Fuellmich – Grand Jury – Session 1 – v.2022 p. 4 de 17
Comment se fait-il alors que nos gouvernements
nous imposent un traitement médical sans
consentement, sans un vrai consentement ? Ils
contraignent nos concitoyens à prendre un vaxxin de
nature expérimentale sous la menace de perdre leurs
moyens de subsistance, leurs maisons et leur
éducation. Eh bien, notre gouvernement s’appuie
sur une affaire appelée Jacobson contre
Massachusetts.
Je vais donc vous expliquer ce cas et vous dire
pourquoi il va dans notre sens, à savoir que nous
avons le droit de choisir la médecine et les
traitements médicaux pour notre corps. L’affaire ne
soutient pas les fabricants de vaccins et ne soutient
pas les mandats de vaccination. En 1902, lors d’une
petite pandémie pop qui a tué des centaines de
millions de personnes dans le monde, l’État du
Massachusetts a adopté une loi stipulant que chaque
personne devait être vaccinée contre la variole ou
payer une amende de cinq dollars. C’est exactement
ce que disait la loi. C’était une loi du type « soit ou »
donnant aux gens l’option de payer une amende de
5 dollars s’ils ne veulent pas se faire vacciner.
M. Jacobson pensait que sa liberté d’action le
protégeait à la fois de la vaccination et du paiement
de l’amende de 5 dollars. Il est donc allé jusqu’à la
Cour suprême des États-Unis après avoir payé
l’amende de 5 $ et a voulu récupérer son argent. La
Cour suprême a examiné les preuves médicales. Le
vaccin contre la variole était utilisé depuis 100 ans.
Il était utilisé dans le monde entier avec une grande
efficacité et permettait d’enrayer l’une des pires
pandémies de l’histoire du monde. Après avoir
examiné attentivement les preuves médicales, après
avoir formulé des conclusions concernant l’efficacité
et l’innocuité du vaccin et la nécessité du vaccin
antivariolique, le tribunal a décidé que M. Jacobson
ne pouvait pas récupérer ses 5 $.
Maintenant, gardons à l’esprit que M. Jacobson
pensait qu’il était dans l’intérêt de la liberté de
circuler en ville et d’être vu dans toute la ville sans
être vacciné. Il a donc fait étalage du fait qu’il n’était
pas vacciné parce qu’il croyait avoir le droit de sortir
et de se promener sans le traitement médical qu’il ne
voulait pas. L’opinion de la cour était basée sur tous
ces faits. Ces faits ne soutiennent pas les mandats
covid aujourd’hui. En fait, l’une des dernières
choses que la cour a dites dans l’affaire Jacobson
contre Massachusetts, je cite, « Nous décidons
maintenant seulement que la loi couvre le cas présent et que
rien n’apparaît clairement qui justifierait que cette cour la
considère comme inconstitutionnelle et inopérante dans son
application au plaignant M. Jacobson. » Il y a plusieurs
raisons expliquant pourquoi M. Jacobson ne
cautionne pas les mandats de vaccination proposés
aujourd’hui concernant le coronavirus.
Tout d’abord, il y a une énorme différence
concernant les risques publics encourus. La
pandémie de variole tuait jusqu’à 60% des personnes
dans les villages où elle sévissait. Entre 20 et 60%
des gens mouraient, soit un taux de mortalité global
d’environ 30%. À certaines périodes, plus de 90%
des bébés exposés à la variole mouraient.
Maintenant, comparez ça au covid 19, il tue une
minuscule fraction de 1% des gens. Le risque public
n’est même pas comparable.
La deuxième chose est que les vaxxins covid-19 ne
sont pas vraiment des vaccins. Contrairement à
l’histoire des vaccins, qui arrêtaient l’infection et la
transmission, ces vaxxins ne font ni l’un ni l’autre.
Ces vaxxins expérimentaux n’existent pas depuis 100
ans. Ils n’ont pas été essayés et testés et nos
concitoyens sont soumis à des vaxxins
expérimentaux alors qu’aucun d’entre nous ne sait
vraiment quels en seront les effets à long terme.
Enfin, la loi dans l’affaire Jacobson contre
Massachusetts donnait la possibilité aux gens de
payer 5 $. Aujourd’hui, cela reviendrait à un peu
moins de 150 $. Comparez cela à des gens qui
perdent leur gagne-pain, tout ce pour quoi ils ont
travaillé, leur maison et leurs études universitaires
parce qu’ils refusent de se soumettre à un vaxxin
expérimental. Il n’y a tout simplement aucune
comparaison possible. Jacobson contre
Massachusetts ne soutient pas les fabricants de
vaccins ni les obligations en matière de vaccins.
Alors certains d’entre vous se demandent peut-être
pourquoi les mandats de vaccination du covid n’ont
pas été déclarés totalement inconstitutionnels.
Eh bien, certains l’ont été. Mais il y en a un qui a
résisté à l’examen de la Cour suprême le 13 janvier
2022. Je veux donc expliquer que, tout d’abord, le
mandat de vaxxination des travailleurs de la santé
découle de la clause sur les impôts et les dépenses de
la Constitution américaine, qui se trouve à l’article 1,
section 8. Le Congrès a toujours eu une grande
latitude pour imposer des conditions aux fonds
fédéraux. Donc vous prenez l’aigre avec le doux. Et
si vous voulez de l’argent fédéral, vous devez vous
soumettre aux conditions du Congrès. Tout au long
de l’histoire, le Congrès a été autorisé à mettre des
Reiner Fuellmich – Grand Jury – Session 1 – v.2022 p. 5 de 17
conditions à la réception des fonds de Medicare et
de l’assurance-maladie et a spécifiquement autorisé
des conditions pour limiter la transmission des
maladies transmissibles. Malgré tout, l’opinion était
de cinq contre quatre, avec seulement cinq juges
convenant que le mandat de vaxxination pour les
travailleurs de la santé a passé le test initial pour voir
si oui ou non la cour arrêterait l’application du
mandat de vaxxination.
Mais la vraie question est, comme l’a indiqué le juge
Thomas, pourquoi l’efficacité du vaxxin n’a-t-elle
pas été prise en compte ? Elle n’a pas été prise en
compte. Et le juge Thomas l’a dit clairement dans
sa position dissidente, rejointe par trois autres juges.
La raison pour laquelle l’efficacité et la sécurité du
vaxxin n’ont pas été prises en compte est que la
question n’était pas devant la Cour. Sur les 22 États
qui ont contesté le mandat de vaxxination, aucun n’a
affirmé que le mandat violait la clause de liberté. La
clause de liberté est l’endroit où nous trouvons nos
libertés médicales. Tout au long de l’histoire, la
clause de liberté a été utilisée pour nous protéger
contre des procédures médicales non désirées et
même pour nous permettre d’exiger les actes
médicaux que nous souhaitons.
Vous verrez donc derrière moi une photo de la Cour
suprême des États-Unis. J’ai été confronté au fait
que, lorsque nos juges se verront présenter les faits
médicaux concernant l’efficacité du vaxxin, la
nécessité du vaxxin et la manière dont nos
gouvernements intimident et contraignent les gens à
se faire vaxxiner contre leur gré, la Cour soutiendra
nos droits à la liberté et déclarera tous les vaxxins
inconstitutionnels. Plus tard dans la journée et dans
les jours qui suivent, vous entendrez un certain
nombre de professionnels de la santé expliquer
pourquoi ce vaxxin n’a rien à voir avec les vaccins
du passé. Je vous encourage donc à rester à l’écoute
et je vous remercie de nous avoir suivis.
18:12 Viviane Fischer
Merci, Mme Deana Pollard Sacs, pour votre
déclaration introductive. Je voudrais maintenant
donner la parole au Dr Reiner Fuellmich, avocat en
Allemagne, pour une présentation générale.
18:25 Reiner Fuellmich
Merci. Bonjour. Je m’appelle Reiner Fuellmich, et
j’ai le plaisir d’être l’un des membres d’un groupe
d’éminents avocats et juristes internationaux qui
collaborent depuis de nombreux mois dans cette
affaire très importante.
Cette affaire, qui implique les crimes les plus odieux
contre l’humanité, commis sous le couvert d’une
pandémie de coronavirus à l’échelle mondiale, ne
semble compliquée qu’à première vue. Mais lorsque
vous rassemblez toutes ces pièces, toutes ces petites
pièces du puzzle, comme nous le ferons pour vous,
avec l’aide de nombreux experts renommés et
d’autres témoins au cours de cette procédure, vous
constaterez quatre séries de faits.
Premièrement, il n’y a pas de pandémie de corona,
mais seulement une plandémie de tests PCR,
alimentée par une opération psychologique élaborée
visant à créer un état de panique constant parmi la
population mondiale. Ce programme a été planifié
de longue date. Son précurseur, qui a finalement
échoué, était la grippe porcine il y a une douzaine
d’années. Il a été concocté par un groupe de super
riches psychopathes et sociopathes qui haïssent et
craignent les gens en même temps, n’ont aucune
empathie et sont animés par le désir de prendre le
contrôle total de nous tous, les peuples du monde.
Ils utilisent nos gouvernements et les grands médias,
qu’ils possèdent littéralement pour les deux, pour
véhiculer leur propagande panique, 24 heures sur 24,
7 jours sur 7.
Deuxièmement, le virus lui-même peut être traité de
manière sûre et efficace avec des vitamines C, D, du
zinc, etc. Et aussi avec l’utilisation non autorisée de
l’Ivermectine, de l’Hydroxy-chloroquine, etc. Toutes
ces méthodes de traitement, non pas alternatives,
mais réelles, ont été interdites par ceux qui utilisent
le prétexte de cette pandémie pour atteindre leur
objectif ultime, qui est de faire en sorte que tout le
monde reçoive, comme nous le montrerons dans
cette procédure, des injections expérimentales non
seulement inefficaces, mais aussi très dangereuses,
voire mortelles.
Troisièmement, les mêmes personnes qui ont fait de
la grippe porcine (qui s’est finalement avérée être
une grippe bénigne) une pandémie il y a douze ans,
en changeant d’abord la définition de ce qu’est une
pandémie et en créant ensuite la panique, ont créé
cette pandémie de corona.
Reiner Fuellmich – Grand Jury – Session 1 – v.2022 p. 6 de 17
La grippe porcine a été leur première véritable
tentative de créer une pandémie. Tout comme l’un
de ses objectifs à l’époque était de détourner notre
attention des activités frauduleuses flagrantes de leur
industrie financière, qu’il serait plus approprié
d’appeler la mafia financière, qui était devenue
visible avec la crise de Lehman, c’est également l’un
des principaux objectifs de cette pandémie de
corona aujourd’hui.
Si nous avions regardé de plus près lors de la crise
de Lehman, au lieu de croire aveuglément les
promesses de nos gouvernements selon lesquelles
les auteurs de ces crimes financiers seraient tenus
pour responsables, nous aurions vu qu’ils ont pillé et
saccagé nos caisses publiques pendant des
décennies. Nous aurions vu que nos gouvernements
ne sont plus nos gouvernements, mais qu’ils ont été
pris en main par l’autre partie par le biais de leur
principale plateforme, le forum économique
mondial, qui a commencé à créer ses propres leaders
mondiaux par le biais de son programme young
global leaders dès 1992 : les premiers diplômés étant
Angela Merkel et Bill Gates. Et nous aurions déjà
compris à l’époque ce que nous allons vous montrer
maintenant, à travers cette procédure, ces crimes
financiers n’ont pas été contestés par nos politiciens
parce qu’ils aident et encouragent ceux qui les
commettent et profitent de ces crimes.
Quatrièmement. En fin de compte, cependant, nous
vous montrerons, à vous, le jury, que le but principal
de l’autre partie est d’obtenir un contrôle total et
complet sur nous tous. Cela implique la finalisation
de leur pillage en détruisant délibérément nos petites
et moyennes entreprises, nos commerces de détail,
nos hôtels et nos restaurants, afin que des
plateformes telles qu’Amazon puissent prendre le
relais. Cela implique le contrôle de la population,
qui, selon eux, nécessite à la fois une réduction
massive de la population et la manipulation de
l’ADN de la population restante, à l’aide, par
exemple, d’injections expérimentales d’ARNm.
Cela nécessite également, selon eux, la destruction
délibérée de la démocratie, de l’État de droit et de
nos constitutions par le chaos, afin que nous
acceptions finalement de perdre nos identités
nationales et culturelles et que nous acceptions à la
place un gouvernement mondial unique sous l’égide
de l’onu3 qui est maintenant sous leur contrôle total.
3 Onu, oms... : les institutions “mondiales” achetées par la minorité de multi-milliardaires auront dorénavant des lettres
minuscules pour les représenter : aurit-on besoin de donner de l’importance à ces organismes ?
Leur forum économique mondial, un passeport
numérique, dont chaque mouvement est surveillé et
contrôlé et une monnaie numérique, que nous ne
pourrons recevoir que d’une seule banque mondiale,
la leur, bien sûr.
À la fin de la procédure et après que vous ayez
entendu toutes les preuves, nous sommes
convaincus que vous recommanderez des mises en
accusation contre les six accusés présumés :
Christian Drosten d’Allemagne, Anthony Fauci des
États-Unis, Tedros de l’organisation mondiale de la
santé, Bill Gates, BlackRock et Pfizer.
Mesdames et Messieurs, cette affaire concerne un
programme de longue haleine d’un groupe de
personnes ultra-riches et de leur mafia financière
basée à la City de Londres et à Wall Street, qui
consiste à utiliser une pseudo-pandémie comme un
prétexte derrière laquel, pendant que notre attention
est portée sur la pandémie, ils veulent achever leurs
efforts de plusieurs décennies pour obtenir un
contrôle total et complet sur nous tous. Il existe de
nombreuses plateformes sur lesquelles ce groupe
s’est réuni et a discuté de cet agenda, mais la plus
importante est celle du forum économique mondial,
qui a été inventé en 1971 par Klaus Schwab, alors
âgé de 33 ans.
Ses membres sont 1 000 entreprises mondiales ayant
un chiffre d’affaires annuel d’au moins 5 milliards de
dollars, des hommes politiques, des représentants
des médias, des scientifiques et d’autres
personnalités dites de haut niveau. Ils se réunissent
une fois par an à Davos. Il existe d’autres réunions
de ce type, par exemple en Chine. Depuis 1992, ils
ont créé et nous ont présenté leur propre groupe de
leaders politiques pour le monde. Parmi les premiers
diplômés, comme je l’ai déjà dit, on trouve Angela
Merkel et Bill Gates en 1992. D’autres sont
Sebastian Courts, jusqu’à récemment chancelier
d’Autriche, Justin Trudeau, premier ministre du
Canada, Jacinda Ardern, premier ministre de
Nouvelle-Zélande, Emmanuel Macron, président de
la France et beaucoup, beaucoup d’autres.
Ce groupe, qui est maintenant appelé la clique de
Davos, la publication The Great Reset de Klaus
Schwab est l’une des sources les plus importantes
pour cette organisation, promeut ouvertement le
transfert des actifs du monde vers ce groupe de
Reiner Fuellmich – Grand Jury – Session 1 – v.2022 p. 7 de 17
personnes super riches, de sorte qu’en 2030, les gens
ordinaires ne posséderont rien et seront heureux,
comme il est explicitement indiqué dans leur
gouvernement mondial unique, avec une monnaie
numérique qui nous sera donnée par leur banque
mondiale unique. Ils encouragent aussi
ouvertement, en étroite collaboration avec des gens
comme le défendeur putatif Bill Gates, les
Rockefeller et d’autres, la réduction drastique de la
population mondiale et la manipulation de l’ADN de
la population restante jusqu’au transhumanisme.
Leur objectif le plus important est, cependant,
l’implosion contrôlée, par eux, bien sûr, du système
financier complètement pillé et l’introduction
simultanée d’une monnaie numérique émise par une
banque mondiale unique contrôlée par eux. Tout
aussi important, l’introduction d’un gouvernement
mondial sous l’onu qui est passée sous leur contrôle
total en 2019.
À cette fin, ils ont fait des plans concrets pour cette
plandémie de corona depuis au moins le printemps
2001 : l’opération dark winter, suivie d’une autre
répétition de ce type, l’exercice lockstep de la
fondation rockefeller en 2010. Enfin, l’event 201 en
octobre 2019 à New York, parrainé par le johns
hopkins center for health security, la fondation
rockefeller, le forum économique mondial et la
fondation bill et melinda gates.
Membres du jury, nous allons appeler un certain
nombre de différents témoins experts très
renommés de tous les horizons de la science et aussi
des témoins qui témoigneront des dommages qu’ils
ont subis suite à l’obtention des injections
expérimentales. Après nos déclarations
préliminaires, nous commencerons dans une
semaine par appeler d’anciens membres de l’armée
américaine, James Bush, qui a participé à l’opération
dark winter en 2001, d’anciens membres des services
de renseignements britanniques Brian Gerrish et
Alex Thompson, et les journalistes d’investigation
Whitney Web et Matthew Erett, et d’anciens
employés et conseillers de l’organisation mondiale
de la santé, le Dr Sylvia Barront et le Dr Astrid
Stuckelberger. Ils nous expliqueront le contexte
historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes
confrontés et ils nous montreront comment cet
agenda a été planifié depuis au moins 20 ans, en
commençant par l’opération dark winter en 2001, et
une dizaine d’années plus tard, le scénario lockstep
de la fondation rockefeller, pour finir par la
répétition générale, l’event 201 en octobre 2019.
Ils expliqueront comment, alors qu’il n’y avait pas de
cas, ce dont ils avaient besoin pour déclarer une
urgence de santé publique de portée internationale,
ils les ont créés. En demandant à l’accusé Drosten
d’inventer l’histoire des infections asymptomatiques
qui n’existent pas, et comment ce test PCR peut
détecter par un dépistage de masse de personnes
parfaitement saines, celles qui sont infectées, c’est un
mensonge, comme nous le montrerons.
Nous poursuivrons avec le prochain groupe de
témoins, le Dr Wolfgang Wodarg, pneumologue
expérimenté et ancien membre du Bundestag
allemand et du conseil de l’Europe qui a réussi à
démasquer la première tentative de pandémie de la
partie adverse, la grippe porcine d’il y a douze ans,
comme une grippe bénigne. Le professeur Ulrike
Kammërer, biologiste de l’université de Vertzbroke,
le docteur Mike Yeadon, ancien vice-président de
Pfizer, le docteur Sylvia Barront, le docteur Astrid
Stuckelberger, le professeur Dolores Chill de
l’université de Dublin, le professeur Antonia Tagati
d’Italie, le professeur Berkholtz d’Allemagne. Ces
experts vont nous expliquer ce qui se cache derrière
la légende de l’épidémie du marché humide de
Wuhan. Ils montreront que le virus n’est pas plus
dangereux que la grippe ordinaire. Le test PCR ne
peut rien nous dire sur les infections, mais il est la
seule base de toutes les mesures anti-corona, y
compris la mesure ultime, les soi-disant vaxxins.
Les soi-disant vaxxins sont non seulement
inefficaces, mais aussi extrêmement dangereux.
Indépendamment de l’origine naturelle ou humaine
du virus, notre système immunitaire est parfaitement
capable de faire face au virus, comme le prouve un
taux de létalité des infections compris entre 0,4 ou
0,5% ou même moins. Il n’y a eu aucune
surmortalité nulle part, avant le début des injections
expérimentales. Il n’y a même pas eu de cas au début
de 2020. Cependant, ils avaient besoin de cas pour
déclarer une urgence de santé publique de portée
internationale, car c’était la seule base sur laquelle il
serait possible, selon leurs propres règles inventées
et acceptées par tous les gouvernements des États
membres de l’organisation mondiale de la santé,
d’utiliser de nouveaux médicaments non testés, les
injections expérimentales, sur des personnes.
Après une première tentative ratée d’annoncer cette
urgence de santé publique de portée internationale
parce qu’il n’y avait pas de cas, ils ont réessayé fin
janvier 2020 après avoir créé des cas à l’aide de ce
désormais tristement célèbre test PCR de Drosten et
Reiner Fuellmich – Grand Jury – Session 1 – v.2022 p. 8 de 17
ont annoncé cette urgence de santé publique de
portée internationale deux semaines plus tard. Ces
experts nous diront que ces cas étaient presque tous
des résultats de tests faussement positifs, rien
d’autre.
Le prochain groupe d’experts est composé du Dr
Thomas Binder de Suisse, du Dr Brian Artist du
Texas, du Dr Shankara Chetty d’Afrique du Sud, du
Dr Wolfgang W odarg d’Allemagne et de John
O’Looney, Undertaker d’Angleterre. Ces experts
nous expliqueront comment, dès le départ, nous
avons été les témoins d’une interdiction délibérée et
totalement insensée des méthodes normales,
efficaces et sûres de traitement des maladies
respiratoires et, à la place, à une obligation de
traitements qui doivent aujourd’hui être considérés
comme des fautes médicales graves. Intubation,
Remdesivir, Midazolam.
John O’Looney expliquera comment il a d’abord cru
les allégations de l’autre partie concernant une
pandémie et a même aidé la bbc à diffuser sa
propagande de panique, jusqu’à ce qu’il réalise que
sous le couvert de la pandémie, des gens étaient tués
intentionnellement.
Nous appellerons ensuite le groupe suivant
d’experts, dont le professeur Alexandra Henrion
Caude de France, le Dr Mike Yeadon, le professeur
Sucharit Bhakdi d’Allemagne, le professeur Luc
Montagnier de France, le Dr Vanessa Schmidt
Kruga d’Allemagne, le Dr Robert Malone, inventeur
de la technique du vaccin ARNm des États-Unis et
le professeur Anna Blochat, pathologiste
d’Allemagne.
Ils nous montreront que si le virus n’a pas provoqué
de surmortalité, son taux de survie est de 99,97%.
Les injections tuent maintenant des gens et ont causé
une surmortalité allant jusqu’à 40% depuis
septembre, en raison d’un empoisonnement par la
protéine spike et de l’arrêt de notre système
immunitaire.
Le Dr Mike Yeadon nous expliquera comment un
groupe de scientifiques a même trouvé des preuves
concrètes que les fabricants de vaxxins
expérimentent des dosages mortels, pour voir
comment les effets secondaires mortels peuvent être
manipulés de manière à ce que la population ne
comprenne pas immédiatement ce qui se passe.
Le groupe d’experts suivant nous expliquera
comment on a pu en arriver là. Ce groupe comprend
le professeur Matthias Desmond de Belgique, le
docteur Ariane Bilheran de France, le docteur
Meredith Miller des États-Unis, le professeur Harald
Walach d’Allemagne et Stefan Kuhn, employé du
ministère allemand de l’intérieur. Ces experts nous
expliqueront comment l’autre partie, après avoir
établi rapidement l’urgence de santé publique de
portée internationale, nous a présenté le
confinement, les obligations absurdes et
dangereuses du port du masque et la distanciation
sociale très nuisible, à la fois physiquement et
psychologiquement, jusqu’à ce qu’ils arrivent à leur
objectif ultime, les injections inefficaces et
dangereuses, voire mortelles. Ils nous expliqueront
en détail comment notre consentement à tout cela a
été rendu possible par une gigantesque opération
psychologique dont le message de panique nous a été
transmis par la propagande implacable des médias
grand public et de nos politiciens, tous deux détenus
par l’autre camp.
Le groupe d’experts suivant comprend Leslie
Manukin, ancienne banquière d’affaires américaine,
Naomi Wolf, journaliste et auteur américaine,
Anzwef, économiste allemand, le professeur
Christian Christ, économiste allemand, le professeur
Hogareko, économiste allemand, et Marcus Karl,
économiste allemand.
Ces experts nous expliquerons en détail la
destruction intentionnelle de nos économies et la
manière dont l’autre camp travaille à un crash
contrôlé du système financier afin d’échapper aux
crimes qu’il a déjà commis au cours des dix dernières
années, des décennies de pillage de nos caisses
publiques jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien et
d’introduire une banque mondiale unique, une
monnaie numérique et un passeport numérique.
Le dernier groupe d’experts comprend Matthew
Erett, un journaliste d’investigation du Canada, Vera
Sharav, une survivante de l’Holocauste, Ilana Rachel
Daniel d’Israël, le rabbin Smith de New York,
Patrick Wood, un expert en technocratie des États-
Unis, Avital Livni d’Israël. Dans la dernière partie
de l’enquête, ces experts nous expliqueront
comment une partie importante du programme de
l’autre camp est liée au contrôle de la population, ou
plutôt à l’eugénisme. Après la Seconde Guerre
mondiale, l’eugénisme avait mauvaise réputation,
comme l’a dit Julian Huxley, qui a fondé l’ensemble
de l’unesco.
Reiner Fuellmich – Grand Jury – Session 1 – v.2022 p. 9 de 17
Mais lui et le très grand groupe de personnes qui
soutenaient l’idée de l’eugénisme allaient bientôt
pouvoir poursuivre leurs efforts dans ce sens, il l’a
expliqué ouvertement.
Les parallèles entre ce qui s’est passé il y a 80 ans et
ce qui se passe maintenant ne doivent pas être
ignorés. Vera Sharav nous le rappellera.
Après avoir entendu toutes les preuves, nous ne
doutons pas que vous recommanderez des actes
d’accusation contre tous nos défendeurs putatifs
pour crimes contre l’humanité. Merci.
36:30 Viviane Fischer
Merci pour cette vue d’ensemble et aussi pour nous
avoir donné un aperçu de l’ensemble des experts que
nous allons entendre. Je voudrais maintenant
revenir à l’avocate Ena Garner des États-Unis, pour
nous donner plus d’informations sur le test PCR.
36:52 Ana Garner
Merci. Pour comprendre l’énormité de la
planification de cette collaboration criminelle à
l’échelle mondiale, nous devons commencer par la
base de la pandémie. C’était un gros mensonge.
C’était un mensonge pour les gouvernements du
monde de déclarer, presque à l’unisson, une
pandémie mondiale. Un mot comme tant d’autres
impliqués dans ce récit officiel, dont la définition a
été modifiée pour répondre aux objectifs du
programme.
Plus précisément, ce dont je voulais parler, c’est du
grand mensonge basé sur le test PCR, sur les tests.
Ce n’est pas une pandémie, mais une « casedémie ».
Les informations qui nous ont été données par le cdc
et la fda sur le test PCR sont manifestement fausses.
Nous aurons des éléments pour le prouver.
En fait, cette méthode n’est pas du tout un test, pas
un test de diagnostic, mais une technologie de
fabrication génétique, qui recherche des bribes de
code spécifiques et les amplifie en les doublant à
chaque cycle. Son inventeur, Karry Mullis, qui a
obtenu un prix Nobel pour le procédé qu’il a
inventé, a déclaré qu’il n’a jamais été question d’en
faire un outil de diagnostic valable. Il est connu de
tous ceux qui l’utilisent qu’il ne peut pas détecter
d’infection active. Drosten, l’un des accusés, le
savait. Il savait que le test n’avait aucun sens et qu’il
était faux. Cependant, ce test a été utilisé pour créer
une panique mondiale et l’obtempération. Le cdc a
même admis que son propre test, récemment retiré,
était basé sur des échantillons truqués. Les seuils de
cycle grossièrement excessifs recommandés par
l’oms, c’est-à-dire le nombre d’amplifications que
subit une petite quantité de matériel génétique, pour
déterminer s’il y a quelque chose de présent, sont
bien au-delà des normes de l’industrie. Ils rendent
tout test inutile, avec des résultats faussement
positifs à des taux approchant les 100%. Des études
ont montré que le taux de faux positifs de ce test
PCR est en fait plus proche de 97%. Cela signifie
que 3% de la population dont le test est positif sont
peut-être malades de quelque chose. Mais nous ne
savons pas de quoi ils sont malades, parce que le test
ne le détermine pas. Ce test a été utilisé de manière
abusive dans le monde entier pour justifier
frauduleusement l’existence d’une pandémie et pour
déterminer des chiffres de cas et de décès
faussement gonflés.
Nous démontrerons par des preuves claires et
convaincantes que les défendeurs ont participé à ce
mensonge mondial et ont qualifié une maladie
largement dispersée géographiquement, avec des
taux de survie équivalents à ceux d’une grippe
saisonnière, de pandémie permettant de fausses
déclarations mondiales d’urgence de santé publique.
À partir de cette situation d’urgence qui dure
maintenant depuis près de deux ans, les
gouvernements ont imposé des restrictions
draconiennes, la séparation et l’isolement des
populations vulnérables, comme les personnes âgées
et les enfants, ainsi que la mise en place de vaxxins
obligatoires dans le monde entier.
Nous savons que la prochaine étape sera la mise en
place de passeports vaccinaux, qui verrouilleront
encore plus notre planète, ainsi que des camps de
quarantaine partout. Notre confiance a été trahie
par la corruption du système et nous vous
fournirons des faits vérifiables prouvant que nous
avons tous été gravement trompés pour croire à un
gros mensonge. Les objectifs finaux étant, selon les
termes de l’un des accusés, bill gates, de vaxxiner
chaque homme, femme et enfant de la planète, avec
des injections expérimentales modifiant les gènes.
Ces tests PCR ont été utilisés pour augmenter le
nombre de cas et de décès. Examinons la définition
d’un cas. Historiquement, un cas était une personne
malade, pas seulement un test positif en l’absence de
tout symptôme.

https://odysee.com/@MicheL-PDF:7/GrandJury1PDF:2
https://odysee.com/@MicheL-PDF:7/GrandJury2PDF:3
https://odysee.com/@MicheL-PDF:7/GrandJury3PDF:8
https://odysee.com/@MicheL-PDF:7/GrandJury4PDF:3
https://odysee.com/@MicheL-PDF:7/grandjury5:c
https://odysee.com/@MicheL-PDF:7/GrandJury6:3

Originally produced in English, French translations are available - please don’t miss this most important work of international experts to gather information and present it to the public and the people of the world.

#Tribunal #Français #Coronavirus #COVID #COVID19 #COVID-19 #Pandemic #Pandémie #Pandemie #Vaccine #Vaccins #Pfizer #PasseVaccinal #VaxPass #Lockdown #PassedelaHonte #Pathologiespostvaccinales #Actu #3èmeDose #VAERS #Santé #Soignants #Réinformation #Résistance #Resistance #France #Europe #AntiFacist #AntiFa #WEF #Eugenics #Science #BioTech #BioSecurity #Health #HealthCare #Activism #SocialJustice #Justice #CivilRights #Freedom #Liberty #HumanRights #Government #Law #Fascism #Privacy #Vigilance #Medicine

buzzkill@diaspora.schoenf.de
buzzkill@diaspora.schoenf.de
aiglemarin@diaspora-fr.org

#UPLSP: En route vers un contrôle social permanent (14-02-2022)

https://crowdbunker.com/v/uahBhQcvk9

Source Draw My Ecocnomy : https://bit.ly/3sCqgE5
Le gouvernement a évoqué la fin du Pass vaccinal pour fin mars-début avril. Mais en parallèle, il semble travailler sur un nouveau QR code qui permettrait de vérifier l'identité du porteur du pass vaccinal. Deux objectifs qui semblent contradictoires.
Sources factuelles : https://bit.ly/3uPVJVO https://bit.ly/3BjpC22 https://bit.ly/36ehmoJ

.
★★★★★★★★★★★★★★★★★★★
GLOIRE À LA RÉSISTANCE ✊🖤
★★★★★★★★★★★★★★★★★★★

#UPLSP : (Union des Peuples pour la Liberté et la Sauvegarde de la Planète)

.
#cocoV19 #QRcode #fichage #controleNumerique #PassVaccinal #passSanitaire #passe #santé #NoN #injections #résistance #France #dictature #autoritarisme #injections #ARNm #réinformation #résistance #ultraCapitalisme #Anticapitalisme #T2KellOrigine

aiglemarin@diaspora-fr.org

#UPLSP: Les ressorts cachés de notre dépendance à la surconsommation

#ChamblasRéveil (à écouter et à faire venir en concert privé, seul ou en trio) https://youtu.be/e-sPCBeAPDg

Fin 2018, les ventes de Noël n’eurent pas lieu. En cause : les manifestations parisiennes des Gilets jaunes et leur cortège de vitrines brisées. L’espace de quelques semaines, on pouvait flâner sur les grands boulevards parisiens sans être sommé d’acheter. Les Gilets jaunes avaient réussi l’exploit de casser — au sens propre — la marchandisation de l’espace public et de rendre aux passants un territoire partiellement libéré du consumérisme. (...)
.
Du gobelet au smartphone, ces objets se sont imposés à nous et façonnent notre quotidien. Dans « Le consumérisme à travers ses objets », la chercheuse Jeanne Guien analyse ces achats anodins, mais déterminés par les industries. Et avance des pistes contre ce vice polluant.
(...) https://reporterre.net/Les-ressorts-caches-de-notre-dependance-a-la-surconsommation

.
★★★★★★★★★★★★★★★★
GLOIRE À LA RÉSISTANCE ✊🖤
★★★★★★★★★★★★★★★★

#UPLSP : (Union des Peuples pour la Liberté et la Sauvegarde de la Planète)

.
#surconsommation #Union #consommation #recyclage #santé #NoN #pollution #résistance #manipulationsMentales #manipulationDesMasses #manipulation #Perversion #ingénierieSociale #publicité #propagande #France #DissonanceCognitive #antiCapitalisme #UltraCapitalisme #dictature #psychologie #meRdias #médiasDeMasse #réinformation

aiglemarin@diaspora-fr.org

#UPLSP: Protection des données médicales, discrimination aux soins : les risques de "Mon Espace Santé"

https://www.numerama.com/sciences/811981-protection-des-donnees-medicales-discrimination-aux-soins-les-risques-de-mon-espace-sante.html/

(Pour faire opposition, appelez le 3422 c'est gratuit et rapide ou allez sur le site https://www.monespacesante.fr/ )

.
Depuis le 1er janvier 2022, toutes les personnes affiliées à l’Assurance Maladie se voient ouvrir un « Espace Santé » numérique où seront regroupées l’essentiel de leurs données de santé. Un dispositif qui pose question, tant en termes de sécurité que d’éthique.

(...)Sur le papier, cet espace qui regroupe toutes les données de santé du patient est censé aider les professionnels médicaux à diagnostiquer plus précisément et rapidement une maladie, et simplifier les démarches santé des citoyens.

L’outil suscite cependant des inquiétudes au sein d’une partie de la population. Ces données sensibles seront-elles suffisamment bien protégées ? Cet espace ne risque-t-il pas d’exposer de manière disproportionnée la vie privée des patients et patientes ?

Que contiendra Mon espace santé ?
Mon espace santé va en effet agréger de nombreuses informations relatives à chaque personne. Chaque compte vise à réunir dans un seul et même espace numérique :

Le dossier médical partagé (#DMP) destiné à stocker et partager toutes les donnés de santé : ordonnances, traitements, résultats d’examens, imageries médicales, antécédents médicaux et allergies, compte-rendus d’hospitalisation, vaccination ;
Une messagerie sécurisée pour les échanges entre patients et professionnels de santé ;
Un agenda santé pour gérer les rendez-vous médicaux et recevoir des rappels pour les dates clés des examens de contrôle (bilans, mammographie, vaccination…) ;
Un catalogue de services numériques de santé référencés par l’État, pour découvrir l’offre des services utiles en santé et gérer les accès à ses données de santé.

Lorsqu’on se souvient qu’en septembre 2021, l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) a subi une attaque informatique ayant entraîné la fuite des données des tests Covid de 1,4 million de personnes, il y a toutefois de quoi se poser des questions. Cette attaque est en effet est loin d’être la première en France. Et elle pointe la vulnérabilité de nos données de santé et pose la question de leur stockage, de leur accès et de leur partage informatique.

Quelle protection de nos données de santé ?
Impossible en effet de savoir, à ce jour, si nos données de santé seront chiffrées ou si des acteurs extérieurs pourront lire ce qui se trouvera sur les serveurs. Nous n’avons pas non plus d’informations sur les applications référencées par l’État qui pourront se connecter à « Mon espace santé ». Tout ce que l’on sait, c’est que la protection des données sera garantie par l’État, la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) et la Caisse nationale de l’assurance maladie (Cnam).

« Ce n’est pas très rassurant » estime Coralie Lemke. « Nous avons tous l’impression d’être invulnérables et de n’avoir rien à cacher mais, en réalité, on a tous et toutes quelque chose à cacher ! » explique t-elle. (...)

Et vous n’avez pas forcément envie que votre boss sache que vous prenez des antidépresseurs ou un antirétroviral, vous ne souhaitez pas forcément que vos parents apprennent que vous avez avorté à 18 ans ou que votre banquier découvre que vous avez suivi un sevrage hospitalier. « En outre, il existe un risque que le hacker fasse pression sur la personne dont les données de santé ont été piratées pour obtenir une rançon », explique Coralie Lemke.

Des antécédents médicaux qui vous suivent toute votre vie:

Outre la sécurité des données de santé, un autre point alarme les usagers et les associations de patients : le respect de la vie privée et du secret médical. Sur Twitter, certains s’inquiètent du poids de leurs antécédents médicaux — consultables par tous les soignants qui assurent leur suivi — sur leur prise en charge actuelle.
(...)
La question qui se pose est la suivante : les usagers sont-ils tous d’accord pour partager l’intégralité de leurs données de santé avec l’entité désignée par le terme « équipe de soin » ? Ce terme désigne, selon l’article L‧1110-12 du Code de La Santé l’ensemble des professionnels de santé qui participent à la prise en charge d’un même patient, depuis le diagnostic jusqu’au soulagement de la douleur, en passant par le soin et la rééducation.

Cela correspond donc au médecin traitant, aux soignants exerçant dans un même établissement de santé (hôpital, clinique, communautés professionnelles territoriales de santé (CPTS)…), aux médecins spécialistes consultés par le patient ainsi qu’aux professionnels paramédicaux (kinésithérapeute, infirmier) et aux soignants participant par exemple à une prise en charge en urgence.

Maître Mina Petkovka, avocate à la cour explique que l’article L. 1110-4 du Code de la Santé Publique prévoit que le consentement du patient est supposé accordé pour les professionnels participant à cette équipe de soins. « Ils n’ont donc pas l’obligation de lui demander au préalable son consentement pour assurer sa prise en charge ». L’avocate précise cependant que le patient a toujours la possibilité de retirer son consentement. Ce droit d’opposition peut être exercé à tout moment.

Le risque des discriminations au soin
Pour Stuart Pluen-Calvo, masterant en Santé Publique et militant à l’association Acceptess-T, l’espace santé présente certains risques notamment pour la sécurité des personnes trans ou séropositives : (...)

Rappelons-le une dernière fois, le consentement au partage des données de santé avec une « équipe de soin » peut être retiré à tout moment. Il est également possible de demander à son médecin traitant de masquer (sans supprimer) certaines informations aux yeux d’autres soignants que lui-même. Une dernière option est de s’opposer purement et simplement à la création de son « Espace santé », en transmettant une demande en ligne de refus d’affiliation, dans un délai de six semaines après la réception du courriel de l’Assurance Maladie notifiant de la création de l’espace. Mais pour exercer ses options, encore faut-il savoir qu’elles existent.

★★★Si vous n’avez qu’une seule publication à partager, celle-ci est un bon choix 😉
Pour garder la santé, pour ne pas déprimer, coupez vous des medias anxiogènes et suivez ces quelques conseils simples et sensés… (non exhaustifs) https://diaspora-fr.org/posts/7649972

★★★★★★★★★★★★★★★★★★★
GLOIRE À LA RÉSISTANCE ✊🖤
★★★★★★★★★★★★★★★★★★★

#UPLSP : (Union des Peuples pour la Liberté et la Sauvegarde de la Planète)

.
#CPAM #LaSociale #protectionDesDonnéesMedicales #cocoV19 #santé #NoN #injections #résistance #prévention #France #psychologie #MonEspaceSanté #EspaceSanté #réinformation

nissuak@diaspora.psyco.fr