#violence

olladij@diaspora.permutationsofchaos.com

In #CedarRapids, #Iowa, yesterday, a male driver reportedly rammed his truck into a group of #women protesting the Supreme Court’s decision to overturn #Roe v. Wade. The collision sent at least one woman to the hospital. Local #police said that they’re investigating the incident.
Police said that an argument broke out between the driver of the truck and a protester before the collision, according to the Washington Post. Witnesses told the Huffington Post that the driver navigated around a line of cars, ran a red light, and plowed into the marchers, running over a woman’s ankle.
Video taken immediately after the incident shows women attempting to stop the truck, which continues to drive forward.

https://www.motherjones.com/politics/2022/06/truck-collision-abortion-roe-cedar-rapids-womens-rights-protesters-iowa/ #usa #abortion #violence #scotus

fiel@diaspora-fr.org

LE POINT : DES ANNÉES D’INTOX ET DE MENSONGES

L’hebdomadaire Le Point est possédé par la famille multimilliardaire #Pinault. Situé très à droite, et soutien du gouvernement, ce journal survit grâce aux subventions d’argent public : près de 4,5 millions d’euros de subventions chaque année.

Ces derniers jours, on a beaucoup entendu parler du Point. Le journal a publié des fausses «révélations» sur le couple de députés insoumis Raquel Garrido et Alexis Corbière. Le Point a affirmé qu’ils auraient exploité et menacé une femme de ménage sans-papier. Avant de retirer l’article. Leur reporter Aziz Zemouri, faux journaliste et vrai attaché de préfecture, a tout simplement inventé l’affaire et produit de faux SMS grossièrement montés pour diffamer les deux élus.

Mais Aziz Zemouri n’en est pas à son coup d’essai… Loin de là. Début 2019, terrible répression des Gilets Jaunes. Psychose du pouvoir contre “l’ultra-gauche”. Une opération particulièrement abjecte est organisée. Cédric, qui travaille sur les armes de la police au sein du collectif “Désarmons-les” est attendu à la sortie d’un train par des policiers en civil et arrêté.

“Désarmons-les” travaille depuis 10 ans sur le maintien de l’ordre. C’est un collectif référence, de vrais experts indépendants. Dans ce cadre, le collectif présente les restes de munitions policières pour expliquer de quoi il s’agit, quels sont les risques de chaque grenade, par exemple.

Il s’agit évidemment de cartouches vides, ramassées par terre après des manifestations, ne présentant plus aucun danger. Puisque l’État organise l’opacité sur ses propres armes, il s’agit d’auto-formation avec les moyens du bord. Bref. Cédric est arrêté.

Le petit chien de garde du Point écrit alors avec ses copains policiers : «Un fiché S d’ultragauche qui transportait des grenades». Le gros titre est terrifiant. Cédric est en cellule. Il faut le charger au maximum dans les médias. Faire peur. Justifier la répression politique.

Le membre de Désarmons-les sera finalement libéré après 24h de garde à vue avec un simple rappel à la loi. Il n’y a rien contre lui. Mais cette histoire est emblématique. Une certaine presse anticipe et légitime toutes les opérations répressives. Ces gens veulent rendre “normales” les violences d’État.

Enlèvement d’un spécialiste de la répression. Tir dans la tête d’une passagère. Asphyxie d’un homme lors d’une arrestation. Aziz Zemmouri et Le Point font partie des gens qui travaillent à faire croire que tout cela est acceptable. Depuis longtemps.

À Nantes nous en avons fait les frais. Régulièrement, Le Point publie des articles diffamatoires délirants sur «la capitale de l’ultra-gauche». Invente des policiers «agressés». Parle de «guérilla». Attribue à Nantes Révoltée des centaines de membres «ultra-violents» qui feraient la loi… Et n’évoque évidemment jamais les violences policières récurrentes dans notre ville.

Le Point avait accusé Nantes Révoltée de «populariser la violence», « industrialisé les vidéos de manifs». Le journal décrivait une violence «pré-terroriste» et balançait même des noms de militants, les exposant donc directement à la vengeance de l’État et de l’extrême droite. Tout est bon pour effrayer le lecteur. Plus récemment l’hebdomadaire a multiplié les couvertures islamophobes, diffamé la CGT ou encore qualifié Mélenchon de “nouveau Le Pen”.

Tout cela s’inscrit dans toute une logique de propagande et de contre-insurrection. Désigner des cibles. Préparer les esprits. À l’arrivée, il y a des blessés, des peines de prison, des dissolutions. Et parfois des morts.

Malgré les innombrables mensonges avérés du Point, ses «éditorialistes» restent invités régulièrement sur les plateaux télés. Ces “journalistes” ne rendent aucun compte. Et infusent leur venin toxique dans les esprits.

#intox #inox #hebdomadaire #LePoint #Pinault #droite #journal #subventions #argentPublic #Raquel-Garrido #AlexisCorbière #insoumis #LFI #AzizZemouri #ultra-gauche #policiers #fichéS #médias #répressionpolitique #violencesdÉtat. #Nantes #diffamations #guérilla #NantesRévoltée #ultra-violents #violencesPolicières #violence #pré-terroriste #militants #islamophobes #propagande #contre-insurrection #éditorialistes #MERDIAS

psych@diasp.org

Interesting overview on the status of the US gun glut...

Clock is ticking on the Senate's gun deal: Negotiators stuck on two issues as recess looms

The article is overall about the race to pass some type of bill - the first in 30 years - to address gun violence in the U.S.
But just the video at the top is worthwhile, for "context and perspective".

Beyond that, "Children and Violence" has been a particular interest of mine for many years. accelerated on 9/11/01, and since.
And here we are... still.

#children #violence #psychology #Senate #legislation #trauma #shootings

anonymiss@despora.de

Dom Phillips and Bruno #Pereira were shot with hunting ammunition, say #police

source: https://www.bbc.co.uk/news/world-latin-america-61852963

The region is known for violent conflicts between these various criminal groups, #government agents and #indigenous people. It was these conflicts that Mr Phillips and Mr Pereira were documenting.

#Brazil #journalisms #danger #crime #conflict #problem #violence #news #Amazon

olladij@diaspora.permutationsofchaos.com

Sapp hadn’t realized that if he had made the call, it wouldn’t necessarily have been the police who would have shown up. After the #GeorgeFloyd protests shook the country in 2020, #SanFrancisco started redirecting these sorts of 911 calls to paramedics and trained behavioral #health workers. The city’s new Street Crisis Response Team, which responds to unarmed adults in #crisis from mental illness, substance use, or #homelessness, tries to reduce interactions between the public and the #police, to prevent officers from reacting violently to people in these situations.

Nationwide, #cops fatally shoot hundreds of people experiencing mental health emergencies every year. The city’s crisis responders, by contrast, don’t carry #weapons. And they don’t have law enforcement backgrounds: Each three-person team includes a Fire Department paramedic, a behavioral health specialist, and a peer support counselor to help connect people with social services. In their vans, they store supplies like blankets, socks, snacks, Narcan, tampons, and toothbrushes. They respond to calls within 16 minutes on average, sometimes spending hours with a single person. Since November 2020, the team has fielded thousands of incidents—and, according to the Department of Public Health, which manages the project, not one has led to a death or an arrest, and fewer than 1 percent have led to #violence.

https://www.motherjones.com/crime-justice/2022/06/mental-health-san-francisco-street-crisis-response-team-cahoots-police-violence/ #blm #society #security #acab #cahoots #drugs #punischment #usa

salinger3@diaspora-fr.org

le plaquage ventral réalisé par la police tue....et ce dans le monde entier où elle est pratiquée.

La France a été plusieurs fois pointée du doigt pour la pratique du plaquage au sol. Elle a été condamnée en 2017 par la Cour européenne des droits de l'Homme (#CEDH ) pour la mort de Mohamed Boukrourou, après son immobilisation ventrale dans un fourgon de police. En février 2019, une proposition de loi a été déposée par une dizaine de députés de gauche pour demander l'interdiction des "techniques d'immobilisation létales". La demande a été rejetée par le Parlement.

https://www.france24.com/fr/20200110-le-plaquage-ventral-une-technique-polici%C3%A8re-internationalement-d%C3%A9cri%C3%A9e

Vous n'appellerez plus la police par hasard.

Leur formation est déplorable. Merci qui ?

#police #plaquageventral #violence #assassin

fiel@diaspora-fr.org

Nantes Révoltée

Actualités en direct, infos sur les luttes environnementales et sociales à Nantes et dans le monde

CRIME POLICIER À PARIS : DES PASSAGERS DE LA VOITURE CRIBLÉE DE BALLES TÉMOIGNENT

Samedi matin, deux #policiers à vélo ont tiré une dizaine de munitions sur une voiture, en plein Paris, au milieu des passants, pour un refus d’obtempérer. Les fous de la gâchette ont #tué une jeune femme de 21 ans. Une passagère, là par hasard. Deux témoignages de passagers apportent des précision sur ce qui s’apparente à une #exécution.

Inès, une amie de la défunte, raconte : «J’étais avec mon amie #Rayana, une copine très proche». Elles terminent leur soirée et rentrent en voiture avec deux amis d’amis qu’elles ne connaissent pas. «Trois policiers à vélo ont toqué à la vitre du conducteur parce qu’il ne portait pas sa ceinture de sécurité. Il n’a pas voulu baisser sa vitre.» C’est pour ce motif dérisoire que la #violence va se déchaîner. «Tout est allé très vite. Je n’ai même pas entendu “Sortez de la voiture” ou “Mains en l’air”. Ils ont cassé les vitres en tapant avec leurs armes. La scène était très violente. Le conducteur n’a même pas eu le temps d’enlever les mains du volant […] On a entendu des coups de feu, la voiture qui repart. Tout cela s’est passé en même temps. La voiture n’est pas d’abord partie et ensuite ils ont tiré, c’est en même temps. Ils ont dû tirer une dizaine de coups de feu, ça a duré longtemps.»
Les passagers paniquent, hurlent au conducteur de s’arrêter, d’abandonner la voiture, craignant que les policiers ne tirent encore. Ce qu’il fait.

«J’ai cru que ma copine Rayana, qui était sur le siège devant moi, était tombée dans les pommes. J’ai essayé de l’appeler plusieurs fois en criant son prénom à voix haute. Son corps était lâche. C’est là que j’ai vu son cou rempli de sang. Je n’ai même pas eu le temps de bien réaliser et de la prendre dans mes bras.» Les policiers tireurs arrivent : «ils nous ont braqués en disant : “Mains en l’air, mains sur la tête”, ce qu’ils auraient dû dire la première fois pour nous laisser une chance, peut-être, de sortir. On était en état de choc, on criait. C’est là que j’ai réalisé que Rayana avait pris une balle.» Les passagers sont alors arrêtés, menottés, sans pouvoir consulter un médecin. «Ils nous ont laissé sur un coin de la scène, plus de trois heures en plein soleil, devant la foule».

La passagère précise, pour illustrer la disproportion des tirs : «Personne dans la rue n’a été blessé ou renversé. J’ai perdu une amie devant moi.» Elle souligne la mise en danger insensé causée par les policiers tireurs : «Il y avait d’autres gens dans la rue, des enfants notamment. Un enfant, une mère de famille, n’importe qui aurait pu prendre une balle perdue. Les policiers n’ont pas pensé à ça.»

Le passager avant de la voiture, Ibrahima, témoigne également : «On était à un feu rouge et un policier à vélo est venu taper à la vitre du conducteur pour lui demander de se mettre sur le côté pour un contrôle, Mon ami a bougé la tête […] et ne s’est pas arrêté». Puis «ils sont revenus à côté de nous et nous ont braqués directement». Les agents «étaient en train de trembler, ils tenaient les pistolets», l’un d’eux «a tiré directement, au moins dix coups de feu […] Après ça, on est sorti de la voiture et on a vu que la fille devant était pleine de sang, inconsciente».

Quel était le risque pour les tireurs ? Le conducteur «n’a percuté aucun policier. Le policier est venu sur le côté et a frappé à la vitre. Comment pouvez-vous frapper sur une vitre conducteur et que quelqu’un vous percute en même temps ? C’est impossible ! Ils voulaient se déchaîner. Pourquoi ils ont tiré dans la tête de la fille ? Même dans les films on ne voit pas ça.» Qui cause le plus de danger ? Un homme qui ne porte pas sa ceinture de sécurité ou des policiers surarmés, sûrs de leur impunité, recrutés avec 6 de moyenne et autorisés à tirer ?

Rayana, la jeune femme défunte, avait 21 ans et la vie devant elle.

Un compte Instagram a été ouvert par ses proches : @justicepourrayana

Sources des témoignages :
https://www.rtl.fr/actu/justice-faits-divers/document-rtl-tirs-de-police-a-paris-les-policiers-voulaient-se-dechainer-raconte-un-passager-du-vehicule-7900161164

https://www.francetvinfo.fr/faits-divers/police/document-franceinfo-refus-d-obtemperer-a-paris-je-suis-en-colere-les-policiers-n-etaient-pas-obliges-de-tirer-directement-temoigne-ines-passagere-rescapee_5183881.html

#police #milice #ACAB

anonymiss@despora.de

Page Not Found: A Brief #History of the #404 #Error

source: https://www.wired.com/story/page-not-found-a-brief-history-of-the-404-error/

When asked if he had any theories about why the error so enchanted people, Cailliau wrote “I don’t even have a hunch about the 404 #fascination. And frankly I don’t give a damn. The sort of #creativity that goes into 404 #response pages is fairly useless. The #mythology is probably due to the #irrationality, denial of #evidence, and preference for the fairy tale over reality that is quite common in the human species … These human traits were relatively innocent in the past, when individual #influence was small and #information spread slowly. Today, and in no small way due to the #existence of the net, these traits have gained a #power that is dangerous.” As examples, he cited the election of Donald #Trump, the deterioration of the #EU, meek political responses to gun #violence, and the proliferation of euphemism (“climate change”). Or the fascination could just be a dash of #humanity, an appreciation that the #internet is made by humans, and humans—especially on the internet—are often bored.

How deep is the rabbit hole really? I did not know that the #conspiracy goes so far and even simple error pages are part of this conspiracy ...

🐇


#html #web #www #theory #computer #politics #economy #humanity

fiel@diaspora-fr.org

Nantes Révoltée

Actualités en direct, infos sur les luttes environnementales et sociales à Nantes et dans le monde

ARDÈCHE : UN JEUNE NÉONAZI DE 20 ANS PROJETAIT UNE TUERIE DE MASSE

Un fanatique d’Hitler sur le point de passer à l’acte

L’homme âgé, de 20 ans, cherchait à se fournir une arme à feu pour engendrer une tuerie de masse.

Angel. B, jeune néonazi a été arrêté le 31 mai et mis en examen pour “entreprise individuelle terroriste”. Connu sous le pseudonyme ‘’HeinrichHimmler88’’, référence explicite au chef des milices de combat SS et au code du salut nazi, il menaçait dans des vidéos de s’attaquer “aux juifs, aux noirs, aux femmes et à la communauté LGBT”. L’admirateur du 3ème Reich proférait des propos d’une violence inouïe sur le groupe Telegram “Republique Blanche de Bourgogne” qui a pour objectif de fédérer “les aryens voulant se battre pour la survie de leur race en Europe”. Une chaîne comme il en existe tant sur les réseaux sociaux où les fascistes peuvent déverser leur haine exacerbée à l’encontre de toutes celles et ceux qu’ils détestent.

Cette interpellation intervient la même semaine que la découverte d’une cache d’armes et atelier de fabrication de munitions dans le Haut-Rhin par des individus proches des “sphères” néonazis. Alors que l’extrême droite armée a tué deux fois en plein Paris ces dernières semaines, que des youtubeurs fascistes mettent en scène l’exécution “d’islamo-gauchistes”, que la propagande néofasciste se fait toujours de plus en plus virulente sur les chaînes d’infos en continu, ce sont des professeurs ayant gentiment chahuté Jean-Michel Blanquer qui sont traités comme des criminels par les chiens de garde médiatiques.

Pendant ce temps, l’extrême droite s’arme et tue. La solution ne viendra que de notre capacité à les faire reculer.

#fanatique #Hitler #néonazi #terroriste #nazi #violence #aryens #fascistes #haine #extrêmedroite #propagande #néofasciste #media #complice #collabo

posuwaegeh@diasp.org

US mass shootings will continue until the majority can overrule the minority

By Rebecca Solnit (Reprinted from Facebook)

"Guns symbolize the power of a minority over the majority, and they’ve become the icons of a party that has become a cult seeking minority power."

Mon 30 May 2022 09.03 EDT

The dots are easy to connect, because they’re so close together, and because they’re the entry and exit wounds inflicted on US society by the subculture whose sacrament is the gun. Texas, while tightening restrictions on abortion, has steadily loosened them on guns. These weapons are symbols of a peculiar version of masculinity made up of unlimited freedom, power, domination, of a soldier identity in which every gunslinger is the commander and anyone is a potential target, in which fear drives belligerence, and the gun owner’s rights extend so far no one has the right to be safe from him. Right now it’s part of a white-supremacist war cult.

Anyplace its weapons are wielded is a war zone, and so this can be racked up as another way the United States is in the grip of a war that hardly deserves to be called civil. The rest of us are supposed to accommodate more and more high-powered weapons of war never intended for civilian use but used over and over against civilians in mass shootings across the country, including earlier this week when 19 fourth-graders and two teachers in Uvalde, Texas, were murdered by someone whose 18th birthday made him eligible to buy the semiautomatic and hundreds of rounds of ammunition he used

At the time the second amendment was added to the constitution, reload time for the guns was about a minute and all of them were single-shot weapons. By contrast, the Las Vegas killer in 2017 sprayed more than a thousand bullets out his hotel window to kill 60 people in a 10-minute period. The teenager in Buffalo who killed 10 Black shoppers and an armed security guard was not a well-regulated militia, and neither was the anti-semite who killed 11 in the synagogue in Pittsburgh, or the homophobe who killed 49 and wounded 53 in an Orlando nightclub, or the anti-immigration butcher in El Paso who killed 23 and wounded 23 or the child-killer who took 26 lives in Newtown, Connecticut, 20 of them six and seven-year-old children.

To accommodate the cult of guns and the series of massacres, teachers and children practice school drills that remind them over and over that they could be murdered. To accommodate them, schools spend hundreds of millions of dollars on security, building reinforcements, trainings and drills, and the federal government spends more millions for campus officers. To accommodate them, municipalities across the country spend a fortune on police and equipment, in a sort of arms race that has also justified militarizing the police. To little avail, and in Uvalde the heavily armed and armored police seem to have essentially protected the shooter, by doing crowd control of parents as their children died, rather than rushing in as they had trained and rehearsed and been paid and equipped to do. All this is a sort of tax on the rest of us, in money and wellbeing, so that the gunslingers can sling their guns.

One of the staggeringly disturbing things about the American right wing is that it is a cult manipulated by corporations and vested interests profiting mightily off its obsessions. In no respect is this more true than of guns. Less than two decades ago, the National Rifle Association and gun manufacturers decided to shift from promoting the culture and equipment of hunting and rural life to hawking high-powered weapons of war and the armor and outfits that go with it, turning conservative white men into amateur commandos cosplaying war wherever they liked and the US into a war zone. Fear and hatred increase the profits, and so both crops are cultivated avidly, by the gun industry, the rightwing news organizations, the various pundits and demagogues and militia leaders and neo-Nazis.

As former gun executive turned critic Ryan Busse wrote in the Guardian, “As the increasing vitriol of the National Rifle Association (NRA) proved politically effective, some in the gun business realized this messaging could be adopted by the firearms industry to sell more guns. All that was required for success was a dedication to frighteningly dangerous rhetoric and increasingly powerful weaponry.” Republican politicians gobbled up the industry donations and passed laws making gun sales boom, profits skyrocket, and guns start to show up in new ways. The rage that led to the guns was whetted with racism, anti-immigration hatred, misogyny, war imagery, neo-Confederate fantasies, and cartoonishly vile versions of masculinity, and the guns made it all dangerous. Minority rule perpetrates it, because just as the majority of Americans want abortion rights to stand, so do they want limits on access to guns.

Gun culture reminds me of rape culture, specifically the conventions that hold the victims rather than the perpetrators responsible for limiting the violence. For women this means being told to radically rearrange our lives to avoid sexual assault rather than to expect that society will protect our rights and freedoms. We are told to limit where we go and when, to be careful about solitude, crowds, bars, drinks, drugs, naps, parties, public spaces, public transit, strangers, cities, wilderness, to see our clothing and even our appearance as potential provocation, a sort of asking for it. To wither away our freedom and confidence to accommodate a culture of violence. In the same way, we are now supposed to adapt to a culture of guns.

The idea of unlimited rights is meant to apply to a limited number of us. Open-carry laws, it’s often noted, wouldn’t allow Black people to wander through the supermarket with huge guns slung over them and the confidence they could impose on others this way; Philando Castile was shot point-blank just for telling a policeman he had a gun in the car in 2016; 12-year-old Tamir Rice was shot for holding a toy rifle in Cleveland in 2014. And the spate of new abortion laws being passed and the likely overrule of Roe v Wade means that those who can get pregnant are being denied even jurisdiction over their own bodies while gun owners assert their rights over the bodies of others.

In Oklahoma, anyone who gets pregnant has fewer rights than a cluster of a few cells visible only under a microscope. Any pregnant woman may face prosecution as a murderer if she doesn’t bring a baby to term. They also face grotesque intrusiveness – criminal investigation for a miscarriage, having to try to prove to an unsympathetic legal system that a pregnancy is the result of rape or incest, the sense that their pregnancy is supervised and they are potential suspects. There’s a gruesome symmetry to this expansion of patriarchal violence and withering away of reproductive rights.

Guns symbolize the power of a minority over the majority, and they’ve become the icons of a party that has become a cult seeking minority power through the stripping away of voting rights and persecution of women, immigrants, Black people, queer people, trans people – all of whom have been targeted by mass shootings in recent years. This is the same party that sought to overturn an election through violence whipped up from on high, by the cult leaders, including the former president and various pundits and demagogues. “Trial by combat,” wheezed Rudy Giuliani as he incited the crowd to rampage through Congress. If guns are icons it’s because violence is a sacrament defended as a right and an identity.

Semiautomatic weapons are instruments of death perpetrated by a death cult. And the carnage will continue until the majority can overrule the minority in power that profits from and perpetrates it.

#guns #republicans #violence #politics #Texas #Oklahoma #Solnit #NRA #rightwing #Uvalde #unlimitedrights #toxicmasculinity #rapeculture #trauma

olladij@diaspora.permutationsofchaos.com

A week and a half after an 18-year-old white supremacist murdered ten Black people in a mass shooting in a #Buffalo supermarket, another 18-year-old killed nineteen children and two teachers at a school in #Uvalde, Texas attended by predominantly working-class and Latino/Latina students. The husband of one of those teachers subsequently died of a heart attack brought on by grief.
The town of Uvalde budgets almost half a million dollars for school #security and monitoring services, augmented by $69,000 from the #Texas state #government for metal detectors, barriers, security systems, “campus-wide active shooter alarm systems,” and the like. Despite receiving almost 40% of the city budget and an additional half a million dollars of state grant money, the Uvalde #police dragged their feet for an unusually long time during the massacre while parents begged them to do something.

https://itsgoingdown.org/their-guns-wont-protect-you-mass-shootings/ #weapons #usa #democrats #republicans #farright #violence #society #guncontrol

psych@diasp.org

OK.... "What's wrong with this picture?"
Just another day.... No gun epidemic or societal meltdown happening here folks, nothing to see, move along...

Individual Open Carrying AR-15 Gets Robbed at Gunpoint in St. Louis

Another pandemic turned endemic, sadly. So if everybody in America carries assault weapons, it's all good, eh?

It's not a pretty picture of events and responses, in the past 20+ years. Children bear the brunt of it, for lifetimes & generations.

My reference (begun 9/11, through Columbine and several other school massacres): Children and Violence

#guns #epidemic #violence #crime #assaultweapons #AR15 #society #sociology #psychology

garryknight@diasp.org

The Depp defamation suit should outrage and appall you | Jill Filipovic | The Guardian

The question in this trial was not who was the abusive partner; it was whether Heard defamed Depp by writing an op-ed in which she identified herself as “a public figure representing domestic abuse” and argued that “institutions protect men accused of abuse.”
Go ahead: re-read the op-ed. What you won’t find anywhere in it is Heard saying that Depp abused her. Instead, you will find her making statements that are not defamatory, but objectively true: that she became a public figure representing domestic violence; that her career suffered for it.

#misogyny #psychopathy #antifeminism #abuse #DomesticAbuse #violence #SexualViolence #cruelty #manipulation #victimisation #mistrial #MeToo

https://www.theguardian.com/commentisfree/2022/jun/02/the-depp-defamation-suit-should-outrage-and-appall-you

garryknight@diasp.org

The Amber Heard-Johnny Depp trial was an orgy of misogyny | Moira Donegan | The Guardian

The trial has turned into a public orgy of misogyny. While most of the vitriol is nominally directed at Heard, it is hard to shake the feeling that really, it is directed at all women – and in particular, at those of us who spoke out about gendered abuse and sexual violence during the height of the #MeToo movement. We are in a moment of virulent antifeminist backlash, and the modest gains that were made in that era are being retracted with a gleeful display of victim-blaming at a massive scale. One woman has been made into a symbol of a movement that many view with fear and hatred, and she’s being punished for that movement. In this way, Heard is still in an abusive relationship. But now, it’s not just with Depp, but with the whole country.

#misogyny #psychopathy #antifeminism #abuse #DomesticAbuse #violence #SexualViolence #cruelty #manipulation #victimisation #mistrial #MeToo

https://www.theguardian.com/commentisfree/2022/jun/01/amber-heard-johnny-depp-trial-metoo-backlash