#animalisme

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Blast - VINCENT, L’HISTOIRE D’UN MEC QUI A VOULU REDEVENIR UN ANIMAL

Exploité en tant que bénévole dans le club de basket de sa ville, lessivé au travail dans un poste de ressources humaines. Il en avait oublié la rivière. Il y venait quand il était gamin, il l’avait pas vu depuis un moment. C’est vrai, si on l’avait pas forcé à s’arrêter, il n'aurait peut-être jamais revu la rivière, il n'aurait jamais vu les cygnes.
Il a sauté dans l’eau comme il aurait sauté dans le vide. La rivière à ce moment-là c’est toute la mort qu’il a pu.

#animal #animalisme #cygne #blast

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« Ensemble pour l'abolition de la corrida »

La proposition de loi pour l'abolition de la corrida portée par Aymeric Caron sera discutée à l'Assemblée nationale le 24 novembre.
Pour soutenir cette proposition, 130 associations de défense des animaux organisent une action coordonnée nationale dans plus de quarante villes de France les 19 et 20 novembre.


#Politique #Société #Corrida #Spécisme #Antispécisme #Animalisme #Animaux #Éthique #Éthique_Animale #Éthique-Animale #ÉthiqueAnimale #France #France2022 #2022 #fr

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L’étrange logique derrière la quête d’énergies « renouvelables »

Article de Nicolas Cassaux sur partage-le.com le 4 Juillet 2017

Pour commencer, quelques questions, trop rarement posées :

  • La destruction en cours des différents biomes de la planète, leur contamination par d’innombrables substances et produits toxiques, les pollutions massives des milieux naturels sont-elles davantage les conséquences de la manière dont la civilisation industrielle produit l’énergie qu’elle consomme ou les conséquences de ce qu’elle fait de cette énergie (ou les deux) ? Et en quelles proportions ?
  • Le déversement annuel de millions de tonnes de plastique qui asphyxient les océans dépend-il du type d’énergie utilisée par les usines et les zones industrielles ?
  • Les millions de tonnes de déchets toxiques annuellement générées par les différentes industries (cosmétique, électronique, chimique, agricole, vestimentaire, forestière, de la construction navale, de la construction automobile, etc.) sont-elles les conséquences de la manière dont est produite l’énergie qu’elles utilisent ?
  • La destruction d’écosystèmes, leur pollution, et l’extirpation de millions de tonnes de ressources non-renouvelables (métaux, minerais en tous genres) des entrailles de la planète par l’industrie des extractions minières sont-elles liées à la manière dont est produite l’énergie qu’elle utilise ?
  • L’abattage des dernières forêts d’Afrique (et d’ailleurs) afin de fournir du bois d’œuvre (ou l’abattage des forêts d’Amérique du Sud afin de dégager de l’espace pour l’élevage et d’autres activités industrielles) est-il lié à la manière dont est produite l’énergie utilisée par les usines de traitement du bois ?
  • Inversement, si toute la production d’énergie industrielle était, ou plutôt, pouvait être, « verte » ou « propre » ou « renouvelable », l’humanité industrielle cesserait-elle de détruire, polluer, contaminer, et épuiser la planète ?
  • Pensez-vous que leur développement puisse résoudre le problème de la surexploitation des ressources non-renouvelables comme renouvelables, ou le problème des inégalitées sociales croissantes, ou celui de la sixième extinction de masse, principalement liée à l’étalement urbain de la société industrielle qui détruit les habitats naturels des animaux non-humains (et qui détruit tous les biomes et tous les habitats sains en général, donc ceux des humains) ?
  • Ou pensez-vous que la seule solution cohérente au conglomérat des problèmes que nous connaissons relève avant tout d’une diminution drastique à la fois de la production (donc de la consommation) de produits high-tech, d’électricité, d'extractions minières et de combustibles fossiles, avec en ligne de mire un retour à un mode de vie simple, low-tech, basé sur un artisanat local, écologique, permettant un maximum d’autonomie, un respect complet des équilibres biologiques et des espèces vivantes non-humaines ?

https://www.partage-le.com/2017/07/04/letrange-logique-derriere-la-quete-denergies-renouvelables-par-nicolas-casaux/

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dudababel@diaspora-fr.org

Même au sein des mouvances les plus radicalement critiques de la société capitaliste, on remarque que la plupart sont malgré tout assez fiers d'être légataires de la glorieuse civilisation occidentale. Tout en se défendant de tout racisme ou suprémacisme, la plupart estiment qu'entre les humains et le reste du vivant, il existe une sorte de hiérarchie au sommet de laquelle trône les humains, et entre eux encore, l'humain civilisé, dont l'intelligence supérieure à tout de même produit l'écriture, peint de splendides tableaux, édifié d'incroyables monuments, composé de merveilleux opéras, reliés les continents par la fibre optique, et juge avec une facilité déconcertante ses productions bien plus valeureuses que tout ce que font tous les autres êtres vivants et la nature.

Cet orgueil, cette absence profonde d'humilité, semble témoigner d'une bêtise fondamentale, laquelle s'exprime de nombreuses autres manières, dont résultent par exemple l'auto-destruction de la civilisation, les innombrables calamités écologiques ou iniquités sociales qui la constituent. En ce siècle où l’homme civilisé s’acharne à détruire d’innombrables formes vivantes, il est plus que jamais nécessaire de dire qu’un humanisme bien ordonné ne commence pas par soi-même, mais place le monde avant sa propre vie, l'amour de l'être avant l'amour-propre : Peut-être l’humanité finirait-elle alors par s’élever jusqu’à l’animal.

Le respect de l’homme par l’homme ne peut pas trouver son fondement dans certaines dignités particulières à l'humanité (car alors, une fraction de l’humanité pourra toujours décider qu’elle incarne ces dignités de manière plus éminente que d’autres), mais Il faudrait plutôt poser au départ une sorte d’humilité principielle : l’humain, commençant par respecter toutes les formes de vie en dehors de la sienne, se mettrait à l’abri du risque de ne pas respecter toutes les formes de l’humanité.

~Texte de Nicolas Casaux, modifié par moi-même

#anarchisme #naturalisme #animalisme #féminisme #antiracisme

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« L214 obtient la dissolution de la cellule Demeter »

La justice considère que ses missions vont à l'encontre de la liberté d'expression.

L214 écrit :
Le tribunal administratif de Paris a rendu aujourd'hui sa décision concernant le recours déposé par L214 contre la cellule Demeter et contre la convention signée entre la gendarmerie, le ministère de l'Intérieur, la FNSEA et les Jeunes Agriculteurs : les juges demandent au ministre de l'Intérieur de faire cesser les activités de la cellule de gendarmerie dans un délai de deux mois à compter de la notification du jugement, sous astreinte de 10 000 € par jour à expiration du délai. Les juges ont considéré que ses missions, telles que « la prévention [...] des actions de nature idéologique », y compris les « simples actions symboliques », méconnaissent le principe de liberté d'expression. L214 se réjouit de cette victoire importante pour les lanceurs d'alerte.

Lors de l'audience, le mardi 18 janvier 2022, deux recours ont été examinés par le tribunal :
- le premier recours, visant la convention de partenariat, a été rejeté pour irrecevabilité des associations requérantes (L214 d'une part, et Pollinis et Générations futures d'autre part) ;
- le second recours, porté par L214, demandait l'annulation de la décision du ministre de l'Intérieur refusant de dissoudre la cellule Demeter.

En donnant gain de cause à L214, les juges enjoignent de fait au ministre de mettre fin aux activités de la cellule Demeter.
Pendant l'audience, la rapporteure publique avait rappelé plusieurs cas d'intimidation de militants écologistes ou animalistes par la gendarmerie. Convoqués par la gendarmerie pour avoir donné une interview, interrogés lors d'une réunion associative, appelés à répétition, de nombreux activistes étaient dissuadés de s'exprimer publiquement. Un déploiement de moyens démesuré aussi observé par L214 : auditions à répétition, accès aux relevés téléphoniques, bornage de téléphone…
Pour la rapporteure, cela ne faisait aucun doute : les missions de la cellule Demeter, détaillées dans le dossier de presse du ministère de l'Intérieur, méconnaissent le principe de la liberté d'expression puisqu'elles ne visent pas seulement la prévention d'actes illégaux mais également la surveillance et la dissuasion de toute critique formulée à l'encontre de notre modèle agricole.
Le représentant du ministère de l'Intérieur lui-même avait dû reconnaître une « maladresse évidente » dans la rédaction des missions, ne remettant pas pour autant en question la collaboration arbitraire de cette cellule de gendarmerie avec les deux principaux syndicats productivistes (la FNSEA et les Jeunes Agriculteurs).


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