#euro

lester_bangs@pod.mttv.it

#1000 #Euro für #Jobaufnahme : #Bundesregierung schreibt #Prämie aus

Langzeitarbeitslose, die einen Job finden und ein Jahr lang ausüben, sollen 1000 Euro bekommen. Das hat das Bundeskabinett beschlossen, trotzdem gibt es Kritik.

https://taz.de/1000-Euro-fuer-Jobaufnahme/!6040886/

Kann mir das jemand erklären? Die Menschen sind ja meistens nicht Langzeitsarbeitslose, weil sie keine Lust haben,
sondern, die keine Arbeit mehr finden o.ä..
Das Alter kann es ja nicht sein, da Langzeitarbeitslose über 55 keine Arbeitslosen mehr sind (fragt mich nicht wie das geht..)
Was genau soll denn jetzt die Prämie an der Situation ändern? Die Menschen sind nicht gesünder, besser ausgebildet etc. Außerdem gibt's das Geld ja erst nach einem Jahr arbeit - d.h. es kann auhc nicht der Fortbildung dienen.

bliter@diaspora-fr.org

🔴"Victoire"du #NFP : #Macron s'en BAS LES STEAKS ! [ #BestOf #Live !] - #JSPC

top
https://www.youtube.com/watch?v=u3qQgdOqXwk

▇ SOMMAIRE :
00:00:00 - La #France perd l' #Euro
00:01:05 - La réaction de #Norman
00:01:43 - Le retour de la vraie #gauche !
00:04:29 - Gabriel #Attal
00:04:53 - #EdouardPhilippe & Marine #lePen
00:05:55 - L' "argument" de #Raffarin
00:06:09 - Les "arguments" de #GérardLarcher
00:13:10 - L' "argument" d'Eric #DupontMoretti
00:13:36 - La #Lettre d' #EmmanuelMacron
00:21:34 - Le papa de Macron
00:22:35 - #MathieuSlama VS le réel
00:24:25 - #RokhayaDiallo VS #CharlesConsigny
00:27:53 - #MeyerHabib 2.0
00:29:02 - #JoeBiden en campagne
00:30:03 - Conclusion "musicale" !

https://invidious.fdn.fr/watch?v=u3qQgdOqXwk
#humour #politique

tom_s@friendica.ambag.es

SPD meint: Bundestag soll digitalen Euro erst debattieren, nachdem Brüssel und EZB alle Details entschieden haben

Die Unionsfraktion hat beantragt, eine breite Debatte über den #digitalen #Euro zu führen und die #Regierung auf #Respektierung des #Votums des #Bundestags zu verpflichten. Die Vertreter der Kanzlerpartei #SPD lieferten in der #Debatte und auf #Abgeordnetenwatch ein peinliches Zeugnis davon ab, dass sie den #Bundestag als bloßen #Abnickverein dessen sehen, was #Brüssel und Frankfurt sich ausdenken.

Am 4. Juli debattierte der Bundestag über Anträge von CDU/CSU und AfD zum digitalen Euro und zum Bargeld. Das Magazin #Multipolar bietet einen ausführlichen Bericht von der Debatte und Abstimmung. Der ausgesprochen moderate Antrag der Union wurde von den #Ampelparteien abgelehnt. Eine bemerkenswerte Koalition aus Union, AfD und BSW stimmte dafür. Ein Antrag der AfD gegen die Einführung des digitalen Euro wurde von allen Parteien außer BSW – das sich enthielt – abgelehnt. Die Begründungen, die ein Debattenredner der SPD und an anderer Stelle der Vorsitzende des Ausschusses für Arbeit und Soziales, ebenfalls von der SPD, für die #Ablehnung gaben, lassen tief blicken.

https://norberthaering.de/news/digitaler-euro-ruetzel/

deutschlandfunk@squeet.me

Frankfurter Bahnhofsviertel: Jenseits des schicken Fanfests

Bahnhofsviertel - Jenseits des schicken Fanfests in Frankfurt

Frankfurt - Austragungsort der Fußball-EM - hat groß in die Fanzone investiert. Das nahe Bahnhofsviertel hingegen prägen Rotlichtmilieu und offene Drogenszene.#EUROPAMEISTERSCHAFT #FUßBALL #EM #EURO #FRANKFURTAMMAIN #Bahnhofsviertel #DROGEN #FANS
Frankfurter Bahnhofsviertel: Jenseits des schicken Fanfests

bliter@diaspora-fr.org

L' #UNION #EUROPÉENNE : UN #PROJET SANS ISSUE QUI SE MOQUE DE NOUS - #FrédéricFarah - #ÉLUCID

top

▶ Frédéric #FARAH est #économiste, #professeur de #sciences #économiques et #sociales, #enseignant en #classes préparatoires, en #lycée et à l’ #Université de #Paris 1 Panthéon #Sorbonne. Il est l' #auteur de « Fake State : l’impuissance organisée de l’État en France », de « No Frexit » et « Introduction inquiète à la Macron-économie » (avec Thomas Porcher).

Dans cette #interview par #CarlaCostantini pour #Élucid, #FrédéricFarah #analyse 30 ans de #construction #européenne, qui ont abouti à une #impasse où les #nations se retrouvent dépossédées de leur volonté #souveraine et de leur viabilité #économique au nom du sacrosaint #libre-échange. À l'approche des #élections #européennes, il est bon de rappeler quelques évidences sur la #nature de cette #organisation #politique.

Sommaire :
00:00:00 - Zapping
00:01:48 - #Maastricht et les #promesses de l' #UE
00:13:19 - Le véritable #rôle des #institutions #européennes
00:21:18 - Coup d' #état #démocratique : la #CJUE et de la #BCE
00:35:54 - La dépossession de notre capacité d'agir
00:47:45 - #Souveraineté et #peuple #européens ?
00:55:21 - L' #échec annoncé de l' #euro
01:08:07 - La #stratégie du #dumping
01:11:08 - No #Frexit : la vision de l' #UE des jeunes
01:26:10 - Question finale

https://www.youtube.com/watch?v=ZpxX0EPPJCc
https://invidious.fdn.fr/watch?v=ZpxX0EPPJCc

nordstadtblogger_rss@libranet.de

Wenig(er) Hürden für Biergärten oder andere Gastro-Außenbereiche – Public Viewing während der UEFA EURO 2024: Regelungen zur Nachtruhe stehen jetzt fest

Wenn beim Public Viewing das Fußballfieber um sich greift, kann es lauter werden. Und weil einige Spiele ihren Anpfiff erst um 21 Uhr haben, braucht es Regeln für den Lärmschutz. Diese stehen nun fest. Die …#Dortmund #Euro #Euro2024 #Europameisterschaft #Nachtruhe #PublicViewing
Public Viewing während der UEFA EURO 2024: Regelungen zur Nachtruhe stehen jetzt fest - Nordstadtblogger

wazoox@diasp.eu

Le mal-travail est l'enfant du néolibéralisme et de l'euro - Frédéric Farah - Élucid

#politique #exploitation #luttedesclasses #UE #euro #teamKarlito

Le débat sur le travail est un débat récurrent dans notre société. On peut revenir près de trente ans en arrière lorsque dans des échanges de belle qualité, Dominique Schnapper et Robert Castel croisaient le fer avec Dominique Méda sur la centralité ou non du travail dans notre société alors très largement traversée par un chômage de masse. Mais cette belle controverse s’éclipsa sous l’effet d’une croissance retrouvée pendant trois années, de 1998 à 2001, laissant entendre que le plein emploi devenait presque une réalité. Depuis, l’eau a coulé sous les ponts et la question du travail est revenue sur les devants de la scène politique, notamment via les discours du gouvernement sur les « assistés » et la « défense de la France qui travaille ».

Depuis plus de trente ans, l’antienne libérale s’est diffusée jusqu’à devenir la doxa inexpugnable du moment. L’État social serait un État « coûteux » qui pousserait au loisir et donnerait toutes les raisons de ne rien faire et de vivre « au crochet de la collectivité ». D’où l’éternel contrôle des chômeurs jugés par essence comme profiteurs et habités par la paresse. Que dire des bénéficiaires du RSA jugés complaisants à l’égard de leur situation. Sans compter les mesures prises par les gouvernements successifs d’Emmanuel Macron depuis 2017, qui ont réduit les droits des chômeurs et facilité les licenciements.

C’est donc un faux « plein emploi » par le bas qui l’emporte en France. Ainsi, le gouvernement conduit par un Premier ministre de 35 ans et un président de 46 ans redonne vie à la pensée des années 1970 de Margaret Thatcher... L’âge des acteurs n’est pas souvent l’âge de leurs pensées ou de leurs inspirations. Un archaïsme économique dissimulé dans des corps jeunes : voilà la marque de fabrique d’un certain macronisme.

La thématique du travail se fait récurrente sur d’autres thèmes. La productivité française serait déclinante, et les libéraux s'empressent de crier malheur aux 35 heures ou encore à la « flemme française » qui réclame vacances et plus. Mais discours libéral oublie des questions centrales comme la dégradation des conditions de travail. Le « mal-travail », pour reprendre l’expression du député et réalisateur François Ruffin, est probablement l’élément crucial du débat actuel. Ce dernier en a fait un ouvrage qui mérite un arrêt pour mesurer l’ampleur du phénomène, et la nécessité d’y réfléchir pour apporter une réponse sérieuse à la question.

Le récent ouvrage de François Ruffin, Mal-travail : le choix des élites, porte déjà un titre riche de sous-entendus qui dénonce les tragiques résultats sociaux des politiques néolibérales.
Une stratégie low cost aux conséquences sociales tragiques

Depuis plus d'une trentaine d'années, les gouvernements ont mené une stratégie low cost qui a malmené le travail et lui a fait perdre du sens et de l’intérêt. Pour rendre sa démonstration efficace, François Ruffin fait des aller-retour entre le terrain et les références académiques, notamment les travaux de Bruno Palier, chercheur à Sciences Po Paris, qui a dirigé un ouvrage de référence, Que sait-on du travail ?.

Ruffin retrace les raisons de ces choix politiques désastreux, de la promotion du libre-échange à la concurrence libre et non faussée au niveau européen, en passant par l'obsession de la compétitivité à tous les étages. C'est tout cela qui rend possible le mal-travail. Ces choix ont pris naissance alors que le chômage de masse demeurait le nœud central des sociétés occidentales contemporaines. Dans ce contexte, les travailleurs et leurs droits ont été perçus comme autant de freins à la bonne marche de l’économie. Le mal-travail est donc avant toute chose un travail externalisé, mal fait et pressé.

François Ruffin s'oppose fermement aux idées selon lesquelles les Français n’aimeraient pas travailler ou auraient une préférence pour le chômage. Ce sont les conditions de travail et du travail qui sont altérées. Les logiques de rentabilité et d’attrition des moyens dans les services publics, obligent les individus à exercer leurs métiers dans des conditions difficiles. Pire, à travers les exemples de salariés, il illustre comment les métiers du soin, de l’enseignement, du social et des services publics sont réalisés dans des conditions de souffrance aussi bien pour leurs titulaires que pour leurs usagers.
Les symptômes du mal-travail

Les signes de ce mal sont connus : la montée en charge des accidents du travail, la perte de productivité, les phénomènes de burn-out, le développement préoccupant des travailleurs pauvres, etc.

Ruffin rappelle que la France se classe aux pires places des podiums européens en ce qui concerne le mal-être ou, pire, les morts au travail. On dénombre plus de 600 morts au travail par an en France. Il en va de même pour les contraintes psychiques et physiques : la France fait pire que l’Allemagne, l’Espagne ou le Danemark. Notre pays est aussi en retard pour le développement des carrières et la formation professionnelle.

De ces situations se dégagent d’étranges et préoccupants paradoxes : la France se situe parmi les pays riches du continent et reste protectrice en matière d’institutions du marché du travail, mais dans les faits, elle malmène sa main-d'œuvre. Les contraintes qu’exerce le travail sur le corps et les esprits, loin de se relâcher, s’amplifient depuis maintenant quarante ans.

Les Français aiment leur travail d’autant plus qu’il est porteur de sens pour soi et la collectivité, mais ils l’exercent dans des conditions de souffrance. Les délais se raccourcissent, la pression managériale devient incessante. Les contraintes et le mal-travail ne s’abattent pas seulement sur le monde ouvrier, mais aussi sur les cadres et les professions intermédiaires. Les suicides chez France Telecom ou Renault au début des années 2000 en attestent.

Dans cette perspective low cost, le travail a été dévalué à tous les étages depuis quarante ans. Le droit du travail a été largement perçu comme un frein à l’efficacité des organisations, sans compter le recours à une externalisation massive et à de trop nombreuses délocalisations. Quant à la politique d’exonérations des charges sociales, elle a eu pour effet de promouvoir largement un travail peu qualifié, et a contribué à écraser l’échelle des salaires.

Mais si la démonstration de François Ruffin est profonde tant elle s’appuie sur les travaux de Bruno Palier, un point aveugle surgit néanmoins : le rôle de l'euro.
La monnaie unique point aveugle de la démonstration

Ce point aveugle est commun à toute une partie de la gauche française qui, pourtant, est si sensible aux questions sociales. Les effets de la monnaie unique, grande absente de l'ouvrage, est selon nous une cause majeure du mal-travail dénoncé à juste titre par François Ruffin. L'euro impose une rigidité qui empêche toute dévaluation pour des besoins de compétitivité. Et dès lors, la flexibilité perdue sur la monnaie est récupérée sur le travail par le néolibéralisme.

C'est ce qui explique la promotion de la flexibilité en Europe dans les années 1990 et l'obsession pour le coût du travail : la dévaluation de la monnaie a été remplacée par la dévaluation des travailleurs et de leurs de droits. L'environnement du marché et de la monnaie uniques ne pouvait créer qu'une tendance vers le mal-travail. Dès lors, tant que la monnaie unique continuera d'exister dans la forme que l'on connaît, l'une des causes centrales du mal-travail persistera. Certes, il sera toujours possible d'en aménager les effets, mais la racine du problème restera néanmoins entière.

Sans doute inquiet de l'impossibilité apparente de défaire l'édifice monétaire européen ou des conséquences d'une telle entreprise, François Ruffin préfère se concentrer sur des causes internes certes fondamentales, mais qui ne peuvent s'entendre qu'en articulation avec le cadre économique général.

Nous ne le dirons jamais assez : la monnaie unique et ses effets sur la sphère sociale et le monde du travail restent les impensés de la gauche française. Son apparente naïveté de croire que la monnaie unique n’est qu’un instrument que l’on peut conduire dans un sens ou un autre a été largement payée par les travailleurs. On le voit aujourd’hui à gauche, certains peuvent se plaindre de la politique de la Banque centrale, mais rien n’y fait, le pouvoir du peuple souverain sur la monnaie est nul.

Ruffin dénonce également – et à juste titre – le management à la française, particulièrement le « lean management » fait de verticalité et de peu d’autonomie pour les salariés. Dans le même ordre d’idées, se déploie toute une gouvernance par les nombres, pour reprendre Alain Supiot : les travailleurs sont pris dans la logique de la multiplication des indicateurs en tout sens à observer, par un contrôle très fort des salariés et pire, par la mise en œuvre de réformes imaginées par des « planneurs », ces ministres et haut-fonctionnaires qui pensent le travail loin des collectifs de travailleurs et contre les travailleurs eux-mêmes. Ces « planneurs » sont issus de la culture élitaire française, imbue de sa supériorité comme l’atteste le macronisme jusqu’à la caricature. Dans ce cadre, ce sont bien souvent les organisations syndicales qui en pâtissent et qui voient leur rôle dévalorisé.

Au-delà des malheureux accidents du travail, de l'augmentation des troubles psychologiques au travail, sans parler des arrêts maladie, un autre conséquence du mal-travail apparaît : le développement des « inaptes ». 216 000 salariés seraient ainsi considérés comme inaptes au travail chaque année. François Ruffin a raison de s’insurger d'un tel constat, puisqu’au lieu de reconnaître un problème d’organisation du travail qui ne serait pas capable de proposer des modalités de travail différentes, ce sont les individus qui sont désignés comme incapables d’exercer une tâche.

En somme, le mal-travail, c’est de la mauvaise économie comme aurait dit Bourdieu, les économies faites d’un côté sont perdues de l’autre par l’explosion des coûts des accidents du travail, de la perte du sens au travail, et par la désertion des services publics qui assurent la cohésion sociale d’un pays : professeurs, infirmiers et infirmières, policiers et autres métiers du social. La collectivité est toute entière perdante, mais au lieu de s’attaquer à la racine du mal, ce sont les travailleurs qui sont désignés comme des individus fragiles et trop exigeants.

La réalité est toute autre : le travail tue, le travail rend pauvre, le travail rend malade. Ce ne sont pas des malédictions, mais les résultats de choix politiques qui s’inscrivent dans le cycle néolibéral dont la fin prochaine est toujours reportée à demain.

François Ruffin réclame des solutions concrètes par la voie démocratique, c’est-à-dire une reprise en main d’une partie de la direction des entreprises par les salariés, afin qu’ils soient davantage associés à l’organisation et aux décisions des entreprises. Il retrouve là un vieux combat de la gauche : faire entrer la démocratie dans le lieu du travail, un vieil idéal qui a accompagné le XXe siècle et fait rêver certains d’une autogestion des entreprises.

Le livre de François Ruffin est tout à fait passionnant, tant il est documenté par les témoignages d’hommes et de femmes qui vivent leur travail dans des conditions difficiles mais avec vaillance, et aussi par un riche appareil académique qui rend la démonstration encore plus implacable.

Sans céder au pessimisme, on peut douter que les espoirs de François Ruffin trouvent une immédiate satisfaction. Une gauche plus soucieuse du social n’est pas prête à advenir aux affaires et reste pour le moment minoritaire... Malheureusement, il semble que le travail dévalué ait encore de beaux jours devant lui ; l’aliénation identifiée par Marx il y a presque deux siècles est toujours bien présente et ses métamorphoses ne sont pas finies. Le vieil appel de 1848 dans un certain Manifeste, « prolétaires de tous les pays unissez-vous », retentit en 2024 avec une étrange justesse.

https://elucid.media/societe/le-mal-travail-est-l-enfant-du-neoliberalisme-et-de-l-euro-frederic-farah

bliter@diaspora-fr.org

« On va sauter dans les 24 mois qui viennent » – #CharlesGave - #EpochTimes #France

top
https://www.youtube.com/watch?v=IiZ0jB_LiWs

Financier, essayiste et fondateur de L’Institut des Libertés, Charles Gave vient de publier « La Vérité vous rendra libre » (éditions Pierre de Taillac).

Dans cet essai, Charles Gave dénonce l’entreprise de destruction des nations menée par « les hommes de Davos ». Un projet technocratique qui vise à transférer les souverainetés locales vers des organisations supranationales et à promouvoir une société de contrôle.
Pour le fondateur de l’Institut des Libertés, les hommes de Davos « ont avalé la notion de globalisation » et considèrent que les enjeux auxquels l’humanité fait face ne peuvent être résolus que dans le cadre d’une gouvernance mondiale, la souveraineté de chaque nation constituant une entrave à la résolution des problèmes qui nous menacent.
D’après Charles Gave, ces hommes de Davos estiment faire partie d’une élite éclairée et « se sentent absolument appelés par une puissance divine [...] à nous gouverner et à faire ce qui est bon pour nous, même si nous ne sommes pas tout à fait d'accord. »
« Ils vivent dans une espèce de monde complètement éthéré, artificiel, ils sont convaincus qu’ils sont les plus malins, les plus brillants, et que grâce à eux le monde va enfin connaître une période de paix et de prospérité remarquable. »
Selon Charles Gave, pour asseoir leur emprise sur les individus et la société, les hommes de Davos s’appuient sur le contrôle du logos. Un contrôle qui passe par la mise en place d’une novlangue « où les mots signifient le contraire de ce qu’ils voulaient dire précédemment », afin d’identifier « les déviants » qui n’adhèrent pas à la doxa.
« Ils ont remplacé le totalitarisme “dur” par un totalitarisme “mou”, aussi efficace que son ancêtre. [...] Le nettoyage des mal-pensants ne se fait plus par la violence, mais par la dérision et l’exclusion. »
Alors que la dette publique française s’élève à plus de 3000 milliards d’euros, que le déficit public s’établit à 5,5% du PIB et que la croissance est atone, Charles Gave pointe aussi la responsabilité des gouvernements qui se sont succédé depuis 30 ans dans la destruction de l’économie.
« Il faut des années pour ruiner un pays comme la France, mais quand vous êtes vraiment ruiné, la chute est d'une rapidité… Il va y avoir une baisse du niveau de vie effroyable. Et qui va prendre le plus dans la gueule ? Les petites gens. Ce sont les agriculteurs, ce sont les Gilets Jaunes. Ce sont toujours eux qui dégustent le plus, je trouve ça absolument odieux. »
L’auteur de « La Vérité vous rendra libre » se veut pourtant optimiste, considérant que l’effondrement qui se profile sonnera le glas des technocrates qui ont selon lui amené la France au bord de l’abîme.
« Il vaut mieux une fin dans l'horreur qu'une horreur sans fin. Nous arrivons à une fin dans l'horreur. Nous allons en prendre plein les tronches, mais nous serons libres. »

📝 Retrouvez les analyses de Charles Gave sur le site de l’Institut des Libertés (IDL) : https://institutdeslibertes.org

🎙️ Journaliste : Henri-Michel Thalamy

00:00 Intro
01:34 Qui sont les hommes de Davos ?
06:14 Les dirigeants français partagent-ils les idées des hommes de Davos ?
09:22 En quoi le contrôle du logos est-il indispensable aux classes dirigeantes ?
13:11 En quoi la Révolution française est-elle la matrice de tous les totalitarismes ?
18:17 Quels sont les points de convergence entre l’extrême gauche et les hommes de Davos ?
24:49 Quels sont les enjeux du règlement numérique européen (DSA) ?
30:20 La police est-elle instrumentalisée par le pouvoir politique ?
33:45 Quels sont les enjeux de l'euro numérique ?
37:36 En quoi assistons-nous à un retour de la morale collective ?
41:16 En quoi la destruction de l’économie française est-elle volontaire ?
43:09 Quel bilan pour Emmanuel Macron et Bruno Le Maire ?
47:18 Comment expliquer le faible niveau d’efficacité de la dépense publique en France ?
50:04 Les ambitions françaises en matière de réindustrialisation sont-elles à la hauteur ?
53:40 En quoi la destruction d’EDF est-elle volontaire ?
57:05 En quoi l’État bafoue-t-il le droit de propriété ?
01:00:14 Un système qui se protège ?
01:02:26 En quoi les critiques envers le libéralisme sont-elles injustifiées ?
01:06:04 En quoi l’euro a-t-il contribué à la destruction de l’économie française ?
01:09:47 La défaite des hommes de Davos est-elle inéluctable ?
01:12:02 En quoi la vérité et la liberté sont-elles liées ?

#EpochTimesFrance #Epoch #CharlesGave #IDL #Interview #Entretien #Vérité #Liberté #Logos #France #Économie #Dette #Déficit #Euro #Croissance #Europe #Souveraineté #Énergie #Monnaie #Libéralisme #Socialisme #État #Effondrement #Politique #Société #Censure #Doxa #Novlangue #Exclusion #Davos #EDF #Macron #LeMaire #DSA #Totalitarisme #Idéologie #Numérique #Morale #Réindustrialisation #Destruction #Violence #Trump #Musk #Élite #Puissance #Monde #Projet #Gave #Nations #Gouvernance #Contrôle #Chute #Agriculteurs #GiletsJaunes

deutschlandfunk@squeet.me

EU will Ukraine Waffen kaufen mit Russlands Zinsen

Krieg in der Ukraine - EU plant Waffenkäufe mit Geld des Aggressors

Die Ukraine braucht dringend Waffen und Munition gegen Russlands Angriffskrieg. Mit den Zinsen von gesperrten russischen Devisen plant die EU nun Waffenkäufe.#Russland #KrieginderUkraine #Zentralbank #Anlagen #Euro #Waffenkauf
EU will Ukraine Waffen kaufen mit Russlands Zinsen

magdoz@diaspora.psyco.fr

Connaissez-vous un moyen de payer sans que ce paiement soit révélé à toutes sortes d'entités ?

Parfois, j'aimerais faire un #don à tel ou tel entité, mais je n'aime pas l'idée qu'à travers ce #paiement, justement mon identité sera d'autant plus révélée, ce qui à terme rend caduque le fait de chercher à protéger sa #ViePrivée sur #Internet...

Voici les entités que je ne veux pas voir informées de mon choix, qui est donc #politique, tout particulièrement :
-- ma banque
-- les #GAFAM
-- divers "espions" de la #surveillance de masse...

Je n'utilise pas les monnaies numériques Bitcoin ou June (quoique celle-ci pourrait être une solution)...
Existe-t-il une sorte d'assoc, fiable, ou un intermédiaire de #confiance, qui peut effectuer un paiement en #Euro à ma place ?

Je pourrais avoir une sorte de #portefeuille chez cet intermédiaire de confiance, et quand je veux faire un don, je vire une somme et ce est alors connu, c'est un pseudo lié à ce portefeuille, mais pas directement mon identité.
Certes, mon #identité peut toujours être retracée en cas d'enquête, ça c'est pas grave, mais elle n'est pas révélée autrement.

De là à penser qu'un tel intermédiaire soit gratuit, je suppose que j'en demande trop, alors passons pour l'instant cette question... :)

bliter@diaspora-fr.org

Redonnons la #parole aux #Français - #Union #Populaire #Républicaine

top

La #Constitution fixe le fonctionnement de la #République et permet aux #Français de s’épanouir dans une #nation leur assurant #liberté et #égalité. Ce #texte #fondamental doit être considéré comme ce que nous, #citoyens, avons de plus #sacré.

Entre autres choses primordiales, dans son Titre premier intitulé DE LA #SOUVERAINETÉ, la Constitution de la V République énonce les grandes lignes qui garantissent à la #France d’être une #démocratie :


Extraits :

Article 2
Le principe de la République est : #gouvernement du #peuple, par le peuple et pour le peuple.
Article 3
La #souveraineté #nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants et par la voie du #référendum.
Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice.
Article 4.
La #loi garantit les #expressions pluralistes des opinions et la participation équitable des partis et groupements #politiques à la vie démocratique de la #Nation.


Lors de la #réunion #publique qu’il a tenue le 28 juillet à Bellerive-sur-Allier, #FrançoisAsselineau s’est attaché à démonter point par point les événements qui ont conduit à priver les #Français du droit à la parole et à la maîtrise de leur destin.

Ce #discours doit absolument être entendu et diffusé.
Il est destiné à réveiller les Français, anesthésiés par des décennies de #propagande.
Parce que la France ne respecte plus aucun de ces 4 principes, simples, clairement rédigés, faciles à comprendre, notre pays n'est plus une véritable démocratie.

1 - il n'y a plus de "gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple".
La quasi totalité des décisions de l’exécutif ne font que satisfaire aux exigences de l’ #Union #européenne, de l’ #Otan, des #États-Unis, ou combler les appétits des #oligarques ou des fonds de #pension #internationaux.

2 - La souveraineté nationale n'appartient plus au peuple, qui ne l'exerce plus par ses représentants ni par la voie du référendum.
Les #élections sont faussées par des #campagnes #électorales raccourcies et complètement biaisées par des différences inouïes de temps de #parole et de temps d'antenne, et par des partis-pris #médiatiques éhontés.
Le dernier #référendum de portée nationale date de 2005, avec le résultat que l’on sait.

3 - Désormais, une section du peuple et un seul individu se sont attribué sans vergogne l'exercice de la souveraineté.
Le comportement autocratique et sans aucun #contre-pouvoir de #Macron est inconcevable dans toute autre démocratie.

4 - La loi ne garantit plus les expressions pluralistes des opinions ni la participation équitable des partis et groupements politiques à la vie démocratique de la Nation.
Ce principe est absolument bafoué, l’ #UPR est un parti qui n’a pas le droit de cité dans les #médias.
Parce qu’il dénonce inlassablement les effets délétères pour la France de notre appartenance à l’ #UnionEuropéenne, à l’ #euro, à l’OTAN et de notre asservissement aux États-Unis, François Asselineau est le responsable #politique qu’il faut cacher. Parce qu’il dit la vérité et dénonce les causes racines du mal français, il est bâillonné.
Le contact direct avec les Français reste le seul moyen qu’il a de s’exprimer, comme à Bellerive-sur-Allier, devant une assistance importante et attentive.
Diffusez cette #vidéo, reprenez la parole, aux prochaines élections européennes votez pour la liste conduite par François #Asselineau, c’est la seule façon de vous faire entendre et d'arrêter la destruction en cours de la France.

https://www.youtube.com/watch?v=Dj5LkVzcpy8
#politique #conf #conférence