#shoah

yazumo@despora.de
marie-claudes@diaspora-fr.org

The guardian (Traduction Deepl)
Une lettre suggère que le pape Pie XII était au courant des gazages massifs de Juifs et de Polonais en 1942
Une correspondance récemment découverte suggère que le pape Pie XII, à l'époque de la Seconde Guerre mondiale, avait reçu d'un jésuite allemand de confiance des informations détaillées selon lesquelles jusqu'à 6 000 Juifs et Polonais étaient gazés chaque jour dans la Pologne occupée par les Allemands. Cette documentation met à mal l'argument du Vatican selon lequel il n'était pas en mesure de vérifier les rapports diplomatiques sur les atrocités nazies pour les dénoncer.
https://www.theguardian.com/world/2023/sep/16/letter-suggests-pope-pius-xii-knew-of-mass-gassings-of-jews-and-poles-in-1942
#memoire #shoah #vatican

magdoz@diaspora.psyco.fr

Film : Le #poison de la #vengeance

#Film du 25/08/2023 au 31/08/2023 : https://www.arte.tv/fr/videos/083853-000-A/le-poison-de-la-vengeance/

Inspiré de faits réels, un thriller historique servi par des reconstitutions soignées

Abba Kovner https://fr.wikipedia.org/wiki/Abba_Kovner

Il survécut à la Shoah et après la libération par les Soviétiques en 1945, il fonda le mouvement Berihah qui organisa l'immigration des Juifs vers le futur État d'Israël.

#AbbaKovner fonda aussi le groupe des #Nakam qui visait à se venger des responsables de la #Shoah, avec des actions visant des civils et #prisonniers #allemands

-- #Nazisme. Les #Avengers #juifs
https://www.courrierinternational.com/article/nazisme-les-avengers-juifs

Lorsque l’historienne Dina #Porat a commencé à s’intéresser à leur #histoire, onze d’entre eux étaient encore en vie. Ils lui ont ouvert leur cœur et leurs journaux intimes, lui ont transmis des notes, des lettres, toutes sortes de papiers jaunis écrits en polonais, en lituanien, en allemand, en russe, en yiddish ou en hébreu, et qu’ils n’avaient pour certains jamais montrés à personne. Puis ils lui ont tout raconté, conscients du fait que c’était leur dernière chance de se confier. Aujourd’hui, ils ne sont plus que quatre. Le plus jeune a 95 ans.

-- Comment des #survivants de la Shoah ont voulu se venger des #nazis en tuant des millions d'Allemands
2022 : https://www.slate.fr/story/237179/nakam-juifs-shoah-nazis-allemands-assassinat-nokmim-vengeance-empoisonner-dina-porat-historienne

La vengeance était une sorte de suicide, parce qu'après, rester en vie n'aurait certainement aucun sens.»

wazoox@diasp.eu

A Treblinka, les chambres à gaz du camp d’extermination sortent de terre

#histoire #Shoah

A Treblinka, les chambres à gaz du camp d’extermination sortent de terre

De récentes recherches ont permis de matérialiser les chambres à gaz du camp d’extermination nazi de Treblinka, à l’est de Varsovie, où près de 900 000 personnes, presque toutes juives, ont été gazées entre 1942 et 1943.
L’ambiance est solennelle au pied du monument aux victimes du camp d’extermination de Treblinka II, à une centaine de kilomètres à l’est de Varsovie, ce 2 août. Une dizaine de personnalités, d’Israël et d’Allemagne en passant par la Pologne, rendent hommage ce jour-là aux prisonniers qui, quatre-vingts ans plus tôt, se révoltaient pour prendre le contrôle du camp. Plusieurs centaines d’entre eux avaient notamment mis le feu aux baraques avant de s’enfuir dans les bois, déjouant la surveillance des SS et des gardiens. La plupart seront rattrapés, mais quelques dizaines d’entre eux survivront à la seconde guerre mondiale. « Les historiens ne savent pas si 800 000 ou 900 000 personnes ont péri ici. Comment est-ce possible de se tromper à 100 000 existences humaines près ? (…) Ce n’est pas un reproche aux historiens mais c’est un fait : on ne connaît ni les prénoms ni les noms de ces personnes », souligne au micro Monika Krawczyk, directrice de l’Institut historique juif, une institution varsovienne qui se consacre à l’histoire des juifs polonais.
Aujourd’hui, une forêt de pins entoure le site mémoriel, érigé en 1964. Deux blocs de béton symbolisent l’entrée du camp et 17 000 pierres rendent hommage aux victimes dont les cendres reposent sous une chappe de béton. Construit au printemps 1942, à deux kilomètres d’un camp de travail forcé installé par les nazis, le camp d’extermination de Treblinka II est l’un des lieux où est mis en œuvre l’Aktion Reinhard, désignant l’organisation de la solution finale sur le sol polonais, occupé par le IIIe Reich.
En treize mois, la dizaine de chambres à gaz de Treblinka II fait disparaître l’essentiel de la communauté juive de Varsovie et des villes environnantes, à laquelle s’ajoutent des Roms et des juifs de toute l’Europe. Une machine à tuer « particulièrement efficace », rappelle l’historien Zachary Mazur, affilié au Polin, le Musée de l’histoire des juifs polonais. « Il n’y avait que trente à soixante officiers présents sur place et un peu plus d’une centaine de prisonniers de guerre soviétiques, principalement ukrainiens. Et c’est aux prisonniers juifs qu’on confiait les tâches les plus abjectes autour des cadavres. »
Masquer les traces
C’est à une cadence quasi journalière que les trains arrivent jusqu’à une voie de contournement acheminant 6 000 à 8 000 personnes. « A mesure que les déportations s’intensifiaient, un ensemble de techniques a été mis au point pour que les nouveaux arrivants gardent leur calme », poursuit l’historien. Ainsi, la cahute à proximité de la rampe de déchargement a été peinte pour imiter une gare, figurant une horloge irrémédiablement figée. Les passagers, bernés par la perspective « d’un transport à l’Est » étaient priés de laisser toutes leurs affaires à l’entrée. Puis rejoignaient les chambres à gaz à 80 mètres de là, sous prétexte d’une douche, où ils suffoquaient et mouraient en quelques minutes dans les émanations des moteurs diesel d’anciens chars soviétiques.
A l’été 1943, alors que les transports de déportés se raréfient, les prisonniers redoutent d’être les prochains sur la liste. Ils mettent au point une révolte, inspirée par le soulèvement du ghetto de Varsovie en avril 1943, parviennent à soudoyer les gardes ukrainiens pour se procurer quelques armes et mettent la main sur des grenades dans un dépôt des SS. La révolte n’aura certes pas permis de mettre fin aux chambres à gaz, mais elle aura hâté la décision de fermer Treblinka II, définitivement abandonné en novembre 1943.
Les nazis prirent alors le soin de masquer méticuleusement toute trace de leur œuvre, démantelant les chambres à gaz, retournant la terre et installant une ferme sur les lieux. Pendant longtemps, la conviction qu’on « ne retrouverait rien a dominé », précise Zachary Mazur. Par respect pour les victimes, les fouilles archéologiques ont été limitées. Ce n’est que dans les années 2010 qu’une équipe menée par Caroline Sturdy Colls, une chercheuse britannique, a permis de mettre au jour des éléments de carrelage constitutifs des chambres à gaz.

Un pommeau de douche
Des carreaux rouge et jaune similaires, un pommeau de douche ainsi qu’une fondation en béton : c’est aussi ce qui a été retrouvé lors de fouilles plus récentes, menées à l’été 2023, par une équipe polonaise sous l’égide de Sebastian Rozycki. « On doit encore procéder à des analyses pour déterminer la présence d’oxyde nitrique, qui attesterait d’une combustion, mais on peut être sûr à 95 % qu’il s’agit bien de chambres à gaz », affirme le chercheur enseignant à la faculté de géodésie et de cartographie de l’école polytechnique de Varsovie.
Ces trouvailles, complétées par des techniques respectueuses du sous-sol, concordent avec les récits des témoins. « Les nazis ont certes voulu tout détruire, mais ils ont tout de même laissé un fragment de 30 centimètres de fondation à 70 centimètres du sol », remarque le chercheur, qui a également réussi à identifier où se trouvait le « lazaret », une fausse où les juifs malades étaient exécutés sur-le-champ. « Toute trace matérielle des camps de la mort est importante et sert d’avertissement, d’autant plus que toute la documentation du camp ainsi que son infrastructure ont disparu », insiste Agnieszka Zolkiewska, historienne auprès de l’Institut historique juif.

https://www.lemonde.fr/international/article/2023/08/08/a-treblinka-les-chambres-a-gaz-du-camp-d-extermination-sortent-de-terre_6184828_3210.html

zebulon_1er@diasp.org

#fr #lcp_TV #doc #shoah

La diaspora des cendres

Dans ce documentaire sur la Solution Finale, il n'y a ni commentaire, ni témoin. Uniquement des images actuelles d'Auschwitz et des lieux d'extermlination, longuement filmés de jour et de nuit, s'entremêlant avec de nombreuses photos dépeignant la situation des Juifs avant la déportation, les rares clichés de l'arrivée des déportés, ainsi que d'innombrables dessins de Sonderkommandos, fenêtres ouvertes sur l'horreur.
Sur ces images, six voix lisant des témoignages de victimes et de bourreaux, les croisant et les opposant : de nombreux journaux intimes, billets jetés des trains par les déportés, lettres de prisonniers juifs, de Sonderkommandos, de SS, circulaires ministérielles, notes de service des responsables d'Auschwitz, réclamations à propos de problèmes techniques, lettres de soldats allemands à leur famille, documents cachés par les survivants, extraits de livres, etc.
A partir de cet entrelacs, on voit se déployer toute la logique de l'entreprise de destruction des Juifs d'Europe, progressant à travers les deux périodes définies par l'historien de la Shoah Saul Friedländer : aux « années de persécution » précédant la déportation (stigmatisation, interdictions diverses, humiliations répétées tant en Allemagne que dans les territoires occupés, spécialement en France) succèdent les « années d'extermination » marquant un saut sans précédent dans l'inhumanité.

Liens alternatifs :
Youtube : https://youtube.com/watch?v=42XDDbShSz0
Invidious : https://onion.tube/watch?v=42XDDbShSz0

bliter@diaspora-fr.org

#Shoah et #Esclavage: Même #Combat ? - #StellaKamnga

https://www.youtube.com/watch?v=8yREbl2vOGQ

Dans cette #vidéo, nous allons explorer deux #tragédies de l' #histoire : la Shoah et l'esclavage. Bien que ces #événements aient eu lieu à des moments et des endroits différents, ils partagent des similitudes dans la manière dont ils ont affecté les personnes qui ont été touchées par eux.

Ensuite, nous examinerons comment les #peuples touchés ont réussi à se reconstruire après ces événements. Nous étudierons les #efforts de #résilience et de #survie des #Juifs et des #Afro-Américains, qui ont dû faire face à des #discriminations persistantes dans le #monde d'après-guerre et d'après-esclavage. Nous verrons comment ces #communautés ont travaillé pour se reconstruire, guérir et surmonter les #traumatismes du #passé.

Enfin, nous réfléchirons à l' #héritage de la Shoah et de l'esclavage. Nous aborderons les questions sur la #mémoire #collective et la #réconciliation, en explorant les différents #mouvements pour la #justice #raciale et la #reconnaissance de la Shoah. Nous verrons comment ces #tragédies continuent d'avoir un #impact sur notre monde aujourd'hui et ce que nous pouvons faire pour #construire un #avenir plus #juste et plus #équitable pour tous.

📖 Mon #Livre "La France n'est plus la #France": https://amzn.to/3SoH7Xq

Retrouvez-moi sur mes autres réseaux:
➡ Facebook: https://www.facebook.com/stella.kamnga.9
➡ TikTok: http://www.tiktok.com/@stellakamnga
➡ Instagram: https://www.instagram.com/p/CZc1nadsy5Y
➡ Twitter: https://twitter.com/stellakamnga

Par Stella Kamnga.

#esclavage #shoah #histoire #guerremondiale #memoire #analyse #politique #débat #culture #conservateur #droite #racisme #justice #stellakamnga

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

Perec retrouvé : le délicat puzzle de la vie et de l’oeuvre

Georges Perec est mort le 3 mars 1982. Quarante ans après sa disparition et six ans après son entrée dans la bibliothèque de #laPléiade, l'écrivain occupe une place majeure dans le paysage littéraire français. Qu'ont encore à nous apprendre sa vie, son œuvre ?
Avec
#ClaudeBurgelin universitaire, spécialiste de Georges Perec
#DenisCosnard Journaliste et auteur

Le manque et le faux

“Toute l’existence de Perec a été construite à partir du manque et du faux”, explique le spécialiste et biographe de George #Perec, Claude Burgelin. “C’est à partir du manque et du faux qu’il dit la vérité. C’est un paradoxe étonnant, mais fondateur de l'œuvre de Perec. “Un homme qui dort témoigne de son arrivée à l'âge adulte dans un état de souffrance très grande, c’est une expérience du renoncement qui dit très bien dans quel marasme ont pu se trouver ces jeunes gens issus de la Shoah et qui avaient perdu toute racine”, précise Claude #Burgelin. “Perec écrit sur du vide, complète Denis #Cosnard, avec des bribes de souvenirs qu’il réussit à faire remonter à la surface. Pourtant, derrière cette expérience qui est la sienne, c’est l'expérience de millions de personnes qui ont été déracinées.”

“La tragédie fondatrice de son œuvre est la #Shoah. Son écriture est une écriture du manque”, ajoute le journaliste. Claude Burgelin rappelle que “La Disparition est évidemment une parabole sur la disparition des juifs : on arrache une lettre qui fonde 83 % de notre langage à la manière dont on a voulu arracher une des civilisations fondatrices de notre civilisation”. Le spécialiste de #GeorgePerec complète : “la langue de l’enfance de Perec était le #yiddish. Après 1943, le yiddish disparaît de sa vie et reste le fantasme ou le fantôme d’une langue disparue dans son œuvre”.

Écrire pour dissimuler ou révéler ?

“La tragédie de Perec est qu’il n’a pas pu exprimer sa douleur.”, explique Claude Burgelin. “Entre 1943 et 1945, personne ne pouvait lui dire ce qu’il s’était passé pour sa mère parce que personne ne le savait. Il a fait face à la disparition dans ce qu’elle a de plus terrible. Sa mère n’a laissé aucune trace, aucun signe. En ce sens, l’écriture est-elle une puissance dissimulatrice ou révélatrice ? “Les deux bien sûr, répond Claude Burgelin. Elle cache et elle révèle. Mais Perec revient toujours au sens fondamental que représente l’écriture : tracer des signes. Écrire, c’est d’abord ce geste immémorial de l'homme des cavernes : laisser des traces, des signes. Ce que n’a pas pu faire sa mère”.
“Perec était quelqu’un d’affectueux et rieur, révèle Claude Burgelin. Ses complicités s'établissaient sur la base d’une question simple : veux-tu jouer avec moi ?” Car écrire était aussi un jeu. “Lui qui écrivait sur du vide, Perec adorait pourtant un certain nombre de livres, et s’appuyait volontiers sur l’ #écriture des autres”, ajoute Denis Cosnard. “Lui qui manquait tellement d'avoir une famille s’était trouvé une famille d’écrivains, de papiers”.

#JeanLeymarie #LesMatins #oulipo #littérature #podcast #baladodiffusion

mikhailmuzakmen@pod.geraspora.de

#politik #deutschland #geschichte #ns #krieg #shoah #gedächnistheater #russland

Zeitenwende, Zivilisationsbruch? Gedächnistheater!

Wenn die deutsche Außenministerin Russland jetzt einen „Bruch der Zivilisation“ vorwirft und damit „unmittelbar an den Begriff ‚Zivilisationsbruch‘ (erinnert), der oft im Zusammenhang mit dem Holocaust verwendet wird“ (taz.de, 29.11.22), dann kassiert die grüne Politikerin den Ertrag einer moralischen Veranstaltung ein, die in der BRD gerade von grüner Seite besondere Unterstützung fand: die Vergangenheitsbewältigung in Sachen NS. Man bewältigte die Nazi-Herrschaft nämlich so, dass man gegen das absolute Böse der damaligen Staatsmacher die eigene Güte herausstellte. Indem man sich zur Singularität eines Menschheitsverbrechens bekannte, hatte man den singulären Charakter seiner nationalen Läuterung unter Beweis gestellt. Dank diesem Moralismus, der die landläufige patriotische Moral bediente und veredelte (teils auch provozierte), kann Deutschland mittlerweile mit imperialer Selbstgerechtigkeit auftrumpfen. Die Nation, die einst mit der Zivilisation brach, hat – weil sie den Fehler ihres damaligen imperialistischen Alleingangs eingesehen hat – alles Recht der Welt, andere Nationen an den Pranger zu stellen. Kurz gesagt, [...] Deutschland bleibt sich treu und der neue Feind der alte: Russland!
- https://overton-magazin.de/top-story/was-man-ueber-die-vorgeschichte-des-ukrainekriegs-nicht-wissen-darf/

deutschewelle@squeet.me

Was ist der Internationale Holocaust-Gedenktag? | DW | 27.01.2023

Der 27. Januar ist ein weltweiter Tag der Mahnung und des Gedenkens an die Opfer des Holocausts. Deutschland begeht den Tag erst seit 1996, in Israel begann das Gedenken deutlich früher - an einem anderen Tag.#InternationalerHolocaust-Gedenktag #Völkermord #Auschwitz-Birkenau #Konzentrationslager #Nationalsozialismus #Shoah #YadVashem #Antisemitismus
Was ist der Internationale Holocaust-Gedenktag? | DW | 27.01.2023

mikhailmuzakmen@pod.geraspora.de

#politik #ukraine #nationalismus #faschismus #geschichte #geschichtsrevisionismus #massaker #polen #shoah #israel #bandera #gedenkfeiern #fackelmärsche #upa

Gedenkfeiern in der Ukraine: „Die Richtlinien von Stepan Bandera sind dem Oberbefehlshaber wohlbekannt“

Am 1. Januar wurde Stepan Bandera in der Ukraine auf Gedenkmärschen geehrt, die Rada veröffentlichte ein Zitat mit dem Foto von Walerij Saluschnyj, dass der „Sieg des ukrainischen Nationalismus“ eintreten werde, „wenn das russische Imperium aufhört zu existieren“.

Die Kritik an der in der Ukraine geförderten nationalen Identität, die mit einer Heroisierung der Unabhängigkeitskämpfer im und nach dem Zweiten Weltkrieg einhergeht, stößt wieder auf Kritik, die der russische Krieg erst einmal unterbunden hat, wo man von rechtsnationalistischen Organisationen wie den zu Helden erklärten Asow-Bataillon nichts mehr wissen wollte. Aus Israel und Polen wird die Verehrung der Ukrainische Aufständische Armee (UPA) und ihres Führers Stepan Bandera mit Bedenken wahrgenommen.

Banderas 114. Geburtstag am 1. Januar wurde in der Ukraine auf Märschen mit Fackeln gefeiert, wo er als Held der Ukraine verehrt wird, obwohl er und seine Armee um die hunderttausend Polen und zehntausende Juden ermordete. Tausende nahmen in der Ukraine an den Feiern teil, in Kiew schloss sich auch die rechtsextreme Partei Swoboda, der Rechte Sektor und der politische Arm des Asow-Regiments an. Selbst der Jahrestag der Gründung der 14. Waffen-SS-Division „Galizien“, die ebenfalls an Massakern der Nazis beteiligt war, wurde noch oder erst gerade in Kriegszeiten in Kiew und Lwiw gefeiert.

Aus Polen, das die Ukraine massiv unterstützt, wird von Seiten der Regierung Kritik an der Verehrung des ukrainischen Unabhängigkeitskampfs im Zweiten Weltkrieg laut. Die Versetzung und der Aufstieg des früheren ukrainischen Botschafters in Deutschland und Bandera-Fans Andrij Melnyk zum Vizeaußenminister war einer der Anlässe, nachdem dieser die Gräueltaten von UPA und Bandera auf äußerst peinliche Weise geleugnet hatte. Daraufhin warf Israels Botschaft Melnyk bereits vor, den Holocaust zu verharmlosen, während der polnische Vize-Außenminister Marcin Przydacz dessen Äußerungen als inakzeptabel bezeichnete. Schon vor dem Krieg hatte die vor allem seit 2014 sich verstärkende Glorifizierung der UAP und von Bandera zum Konflikt mit Polen geführt. Bandera soll den polnischen Innenminister Bronisław Pieracki ermordet haben, vor allem war die UPA für das Massaker in Wolhynien 1943 verantwortlich, wo sie Zehntausende von polnischen Zivilisten auf brutale Weise ermordete.

Nach den Umzügen zu Ehren von Bandera im letzten schrieb der israelische Botschafter entrüstet: „Wir verurteilen auf das Schärfste jede Glorifizierung von Kollaborateuren mit dem Nazi-Regime. Es wird Zeit, dass die Ukraine mit ihrer Vergangenheit klar kommt.“ Damals war eine der Parolen: „Nationalismus ist unsere Religion. Bandera ist unser Prophet.“ 2020 sandten sogar der israelische Botschafter Joel Lin and sein polnischer Bartosz Cichocki einen gemeinsamen Brief an die Städte Kiew und Lwiw, um gegen die offizielle Glorifizierung des „berüchtigten“ Bandera zu protestieren. Jetzt forderte die israelische Botschaft eine Untersuchung der „antisemitischen Bekundungen“ auf dem Marsch und verweist darauf, dass nach einem letzten Jahr von der Rada beschlossenen Gesetz Antisemitismus und seine Bekundungen verboten seien.

Die Rada hatte auf ihrem Twitter-Account kurzzeitig am 1. Januar auch den „Volkshelden“ geehrt. Zu einem Foto, das ein Bild von Bandera und den ukrainischen Oberbefehlshaber Walerij Saluschnyj zeigte, hieß es mit einem Zitat von Bandera: „Der vollständige und endgültige Sieg des ukrainischen Nationalismus wird eintreten, wenn das russische Imperium aufhört zu existieren.“ Man muss annehmen, dass Saluschnyj ebenfalls ein Bandera-Anhänger ist. Der Rada-Kommentar dazu: „Der Kampf gegen das russische Imperium ist im Gange. Und diese Richtlinien von Stepan Bandera sind dem Oberbefehlshaber wohlbekannt.“

Nach Protesten aus Polen wurde der Tweet sang- und klanglos gelöscht, wie man das heute so macht: „Das Andenken an Stepan Bandera, verantwortlich für den Massenmord an der polnischen Bevölkerung, auf dem Profil des ukrainischen Parlaments muss Ablehnung hervorrufen“, schrieb ein PiS-Abgeordneter, ohne die Pogrome gegen die Juden zu erwähnen. Łukasz Jasina, der Sprecher des polnischen Außenministeriums, stimmte zu: „Das muss klar gestellt werden, besonders gegenüber unseren Freunden, zumal die Ukraine jetzt neue, wirkliche Helden hat.“ Und Regierungschef Mateusz Morawiecki sagte, die polnische Regierung sei “extrem kritisch gegenüber jeder Glorifizierung oder auch jedem Andenken an Bandera“. Er sei der „Ideologe“ der Kriegszeiten gewesen, die „schrecklichen ukrainischen Verbrechen“ seien unter deutscher Besatzung geschehen, es gehe um ein Schuldeingeständnis für diesen „Völkermord“. Der Regierungschef werde das Thema beim nächsten Treffen mit dem ukrainischen Premier Denys Shmyhal sehr deutlich ansprechen.
- https://overton-magazin.de/hintergrund/politik/die-richtlinien-von-stepan-bandera-sind-dem-oberbefehlshaber-wohlbekannt/

bliter@diaspora-fr.org

L' #Histoire de #SimoneVeil - #GaspardG

#Femme aux 1000 vies, elle a survécu à la #Shoah, a été #ministre, #militante pour l’ #avortement, #présidente du #parlement #Européen et repose aujourd’hui au #Panthéon. Voici le #récit de la #vie de Simone Veil.

« Je le dis avec toute ma #conviction : l’avortement doit rester l’exception, l’ultime recours pour des situations sans issue. » _ Simone Veil (1974)

https://www.youtube.com/watch?v=FbwwEPhrUAE
#Histoirede