#sénat

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Dérapage du déficit

Le rapport du Sénat pointe les responsabilités de Bruno Le Maire, Elisabeth Borne, Gabriel Attal et Emmanuel Macron.

La mission d’information du Sénat sur la dégradation du déficit public, entre fin 2023 et 2024, met en cause les deux gouvernements précédents, ainsi qu’Emmanuel Macron, les jugeant responsables de la situation budgétaire.

« Au moment où le déficit budgétaire s’envolait dangereusement, le changement de premier ministre par deux fois, le ralentissement de l’action publique pour cause d’élection, puis de dissolution, et enfin une trop longue attente dans la désignation du nouveau premier ministre ont été autant de mois perdus pour le rétablissement de nos comptes publics », résument les sénateurs.

C'est bien résumé, d'accord, mais maintenant ? Où sont les condamnations d'un tel jugement ?
Dans une entreprise, les responsables d'une telle merde seraient licenciés pour fautes graves, voire mis en procès pour détournement de fonds.

#politique #gouvernement #sénat #budget

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Marlène Schiappa sur le gril de la commission d'enquête du Sénat.

L'actuelle secrétaire, Marlène Schiappa, doit clarifier, ce mercredi, son rôle dans la gestion controversée du Fonds Marianne qu'elle a lancé en avril 2021 pour lutter contre le "séparatisme".
Schiappa, alors ministre déléguée à la Citoyenneté au ministère de l'Intérieur, avait lancé ce fonds en 2021, initialement doté de 2,5 millions d'euros, six mois après l'assassinat de Samuel Paty.
Le rapport de l'Inspection générale de l'administration dénonce, entre autres, le "traitement privilégié" (355.000 euros de dotation devaient lui être octroyés) de la principale association bénéficiaire, l'USEPPM, par le CIPDR. Dans cette affaire, Marlène Schiappa est-elle intervenue d'une manière ou d'une autre dans le processus de sélection des 17 associations lauréates ?
Nous le saurons (peut-être) entre la poire et le fromage.

#politique #argent #dotations #financements #enquête #sénat

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Conséquence de l'inflation, la prime de Noël des sénateurs passera cette année de 17 580 euros à 22 750 euros.

D’un montant forfaitaire égal à deux fois l’indemnité sénatoriale (soit 2 x 7209 euros), la prime de Noël des sénateurs est agrémentée par diverses bonifications comme la prime additionnelle de Noël pour les enfants (5 000 euros par enfant), la prime pour les petits enfants (2 500 par petit enfant), celle pour Madame (8 000 euros), la prime de charbon (2 000 euros) et celle pour le sapin (800 euros).

#inflation #Sénat #prime #pouvoir-d-achat

tina@diaspora.psyco.fr

Hausse de plus de 12 % des dépenses de la présidence de la République pour 2023.

L’année 2022 avait été marquée par une activité intense sur le front diplomatique. L’enveloppe consacrée aux déplacements présidentiels a depuis augmenté de 6,7 % par rapport à 2022 et s’élève à 16 millions d’euros.
L’évolution des dépenses de fonctionnement progresseraient en 2023 de 12,6 %, soit le double de l’inflation mesurée actuellement.

De manière générale, Jean-Pierre Sueur, sénateur du Loiret, s’interroge sur l’ampleur de l'augmentation des dépenses de fonctionnement. L’Élysée répond que cette évolution s’explique par "un recalibrage devenu indispensable permettant de faire face aux coûts de gestion courante".
Mais pour la troisième année, le sénateur dit ne pas avoir été reçu par le directeur de cabinet d’Emmanuel Macron, Patrick Strzoda. La commission d’enquête sur l’affaire Benalla, dont Jean-Pierre Sueur était co-rapporteur, a visiblement laissé des traces.
Pour rappel, le Sénat avait transmis au procureur le cas de Patrick Strzoda pour une suspicion de faux témoignage, un dossier... classé sans suite par la justice.

Ça va bien, les macarons au foie gras, les millésimes, et les cravates Armani ?... Pas trop l'overdose ?...

#politique #présidence #budget #Sénat #enveloppes

tina@diaspora.psyco.fr

Chômage : accord entre députés et sénateurs sur un texte commun.

Normalement, le mot "accord" fait réagir notre cerveau par "Ah, cool !". Mais là, non.

Une personne en fin de CDD ou de contrat d'intérim refusant deux fois un CDI sur le poste occupé ne touchera plus d'indemnités de précarité et perdra son indemnisation chômage.

Le projet de loi prévoit également que l'abandon de poste sans motif légitime par un salarié entraînera pour lui une absence d'indemnisation chômage.
Définition de l'abandon de poste.

Elisabeth Borne et Olivier Dussopt font tous deux rouler dans leur bouche le bonbon-concept de plein-emploi : "agir pour le plein-emploi", "notre objectif de plein-emploi". Miom miom miom... En ignorant délibérement plusieurs faits :
— Le modèle du plein emploi ne semble pas réalisable à l'échelle du pays. Entre autres parce qu'il n'y a pas de croissance égale partout en France. L'activité est concentrée sur une petite moitié du territoire, la façade atlantique et les grandes agglomérations. Sur l'autre moitié, c'est le désert : pas de croissance, donc pas d'emploi.
— L'Observatoire français des conjonctures économiques avance des chiffres plus pessimistes que ceux du gouvernement en anticipant une hausse du taux de chômage en 2023 et 2024 entre 8 % et 8,6%, alors que la quasi-totalité des pays développés se situe entre 3 et 5%.
— Les pays qui ont le moins de chômeurs sont ceux qui accordent les systèmes de protection les plus généreux contre le chômage.

Et puis peut-être que les gens en ont marre de se faire taper sur les doigts comme des gamins, parce qu'ils ne mangent pas cinq fruits et légumes par jour, parce qu'ils ne mettent pas leur masque, parce que qu'ils refusent d'obtempérer, parce qu'ils ne paient pas à temps des factures pharaoniques pour se chauffer, ou parce qu'ils n'ont plus tellement envie de travailler dans un contexte de panique sanitaire - économique - financière - belliciste, et dans un pays tenu en otage par des voleurs, menteurs, et agresseurs sexuels.
Peut-être, hein, c'est juste une supposition.

#chômage #loi #réforme #sénat

magdoz@diaspora.psyco.fr

Quoiqu'il en sera de la suite en #France, exemple #vote pour ou contre le #pass, ou quoi que ce soit d'autre.... que l'on aura à reprocher (ou non) à à la #NUPES, à la #LFI ou à #Mélenchon ou à #Aubry... Je note au moins ceci : Mélenchon a réussi là où aucun autre n'a obtenu quelque chose : faire trembler la #Macronie : enlever à #Macron le #pouvoir absolu !!!

Et pour cela : #MERCI.

Par contre, cela n'engage en rien pour la suite. Notamment sur cette question du pass, car faut-il le rappeler, une médecin de #santé publique, a affirmé, sous serment, en audition au #Sénat début février 2022, Alice #Desbiolles, que le pass et le #confinement ne servent à rien !!!! Affirmation étayée, #scientifique.
#Politique. Donc stop au #totalitarisme, au #contrôle #numérique en #France et en #UE....

bliter@diaspora-fr.org

À QUOI RESSEMBLERA LE #MONDE DANS 100 ANS ? - Antoine Buéno - #ÉLUCID

#AntoineBUÉNO est prospectiviste, il suit les travaux de la délégation à la #Prospective et de la #commission du #Développement durable du #Sénat. Il a également enseigné l' #utopie et la #science-fiction à #Sciences-po.

Aujourd'hui, le #futur est principalement appréhendé par deux primes d' #analyses : la #collapsologie, autrement dit l' #effondrement ( #climat, #démographie, #ressources...) et le #transhumanisme ( #intelligence #artificielle, #eugénisme...). Vers quel scénario se dirige-t-on à l'horizon 2100 ? n'y a-t-il pas une 3e voie ?

C'est ce que l'on va voir, dans cet #entretien par Olivier Berruyer pour Élucid !

https://www.youtube.com/watch?v=yw7m29y3vBI

magdoz@diaspora.psyco.fr

Ça commence à sentir très mauvais pour #Macron.... Si même le #média pro-pouvoir en place #Francetvinfo, se met à faire une présentation de ce type, " #présidentielles2022" et donc re-Macron potentiellement, et ... « Affaire #McKinsey : le Parquet national financier a ouvert une enquête pour "blanchiment aggravé de fraude fiscale" »
Francetvinfo n'a plus le choix, le #parquet est saisi, donc il n'est plus possible de faire passer l'info à la trappe.
https://www.francetvinfo.fr/elections/recours-de-l-etat-a-des-cabinets-de-conseil-le-parquet-national-financier-a-ouvert-une-enquete-pour-blanchiment-aggrave-de-fraude-fiscale_5064994.html

Le Parquet national financier (PNF) a annoncé, mercredi 6 avril, avoir ouvert une enquête préliminaire du chef de "blanchiment aggravé de fraude fiscale", après un rapport du Sénat sur l'influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques pendant le mandat d'Emmanuel Macron. L'enquête, ouverte le 31 mars, vise le cabinet américain McKinsey "sur la question de son statut fiscal en France", a appris France Télévisions de source judiciaire. Elle a été confiée au Service d'enquêtes judiciaires des finances (SEJF).

La commission d'enquête du #Sénat avait pointé en mars une "intervention (...) exponentielle" de ces cabinets dans "l'ensemble des politiques de l'Etat", les dépenses des ministères dans ce domaine s'élevant à 894 millions d'euros en 2021. Si l'on prend en compte "les dépenses de conseil de l'Etat au sens large" (en incluant les opérateurs tels que Pôle emploi, la Caisse des dépôts et consignations...), ce montant a "dépassé le milliard d'euros en 2021".

Le cabinet McKinsey, qui conseille le gouvernement sur la stratégie vaccinale, est particulièrement pointé du doigt. Il est accusé par la commission d'enquête de ne pas avoir payé d'impôts en France depuis une dizaine d'années.

Qui peut bien encore vouloir élire Macron après ça ?
#Politique.

mishal@diasp.org

le camp Macron se prend une claque

https://reseauinternational.net/le-cabinet-mckinsey-sous-accusations-une-claque-pour-macron-et-son-gouvernement/

par Francesca de Villasmundo.
À quelques semaines du premier tour des élections présidentielles, le camp #Macron se prend une claque. #McKinsey, le principal cabinet de conseil mobilisé par Emmanuel le poudré comme certains le surnomment pour définir la stratégie économique ou sanitaire du pays, est épinglé pour évasion fiscale : il touche de l’argent public mais n’a payé aucun impôt sur les sociétés en dix ans. Or l’un de ses dirigeants avait affirmé l’inverse le 18 janvier dernier devant une commission d’enquête du #Sénat : « Je le dis très nettement : nous payons l’impôt sur les sociétés en France », avait alors témoigné, sous serment, Karim Tadjeddine, le responsable du pôle secteur public de McKinsey.

⚠️LE SÉNAT ACCUSE MC KINSEY D’ÉVASION FISCALE⚠️

Karim Tadjeddine, directeur associé du cabinet #McKinsey a-t-il menti sous serment à la Commission d’enquête en janvier ? Un faux témoignage est passible de 3 à 7 ans de prison. Notre enquête ici🔥🔥: https://t.co/vQEQXztfth pic.twitter.com/PbUkyC7z4M

Cette révélation embarrassante pour Macron et son gouvernement émane du rapport de la commission d’enquête sénatoriale sur les cabinets de conseil, rendu public ce jeudi 17 mars. L’affirmation en contradiction avec les informations obtenues par la commission d’enquête auprès de l’administration fiscale, a conduit les sénateurs à saisir le procureur sur le cas de M. Tadjeddine. Le faux témoignage devant une commission d’enquête est passible de cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende.

Pour rappel, #McKinsey c’est le cabinet qui vous a poussé à la vaccination via le chantage du Pass Sanitaire, d’accord les gueux ?

McKinsey, qui est assujetti en #France à l’impôt sur les sociétés, n’a pas versé le moindre centime à ce titre entre 2011 et 2020, ont constaté les sénateurs. Et ce alors que le chiffre d’affaires français du cabinet était de 329 millions d’euros en 2020, dont 5 % dans le secteur public, pour six cents salariés.

Ce fait délictueux n’est pas le seul scandale que dénonce la commission d’enquête du Sénat sur les cabinets de conseil. La commission dénonce le rôle de plus en plus important des cabinets de conseil dans la prise de décision publique, et notamment sur des dossiers critiques.

« Les cabinets de conseil disposent d’une « réelle influence sur la prise de décision » au sein des ministères : c’est en substance la conclusion du rapport abrasif de la commission d’enquête du Sénat consacrée au rôle des cabinets de conseil » lit-on dans Le Figaro qui poursuit :....
#politique #élection

fiel@diaspora-fr.org

#NantesRévoltée

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LE SAVIEZ VOUS ? 160 MILLIARDS D’EUROS PAR AN POUR DES CABINETS PRIVES

Le #Sénat a lancé une «commission d’ #enquête sur l’influence croissante des cabinets de conseil au sein de l’ #État». L’occasion, pour les sénateurs, d’auditionner des experts de ces questions, des élus, des associations, mais aussi des représentants de cabinets privés.

Cette commission révèle une #privatisation de fond de l’appareil d’État dans son ensemble, avec un recours généralisé à «l’ #externalisation-privée». En clair : on arrose des #entreprises privées avec de l’ #argent #public pour effectuer, cher et mal, des missions qui auraient pu être réalisées par le public. Par exemple, la gestion de la crise sanitaire et de la vaccination confiée à l’entreprise américaine McKinsey, la prise de rendez-vous pour les piqûres par Doctolib, les données de santé hébergées par Microsoft, des vigiles privés pour contrôler les Pass dans les hôpitaux, la communication d’un service public confiée à un cabinet privé…

L’externalisation représente aujourd’hui plus de 160 milliards d’euros. C’est l’équivalent du quart du budget de l’État ! Autant dire que ces sommes colossales versées à des cabinets comme Mac Kinsey représentent beaucoup plus que ce qu’il faudrait pour garantir des retraites décentes pour toustes, un vrai accès à la santé et à l’éducation gratuites, entre autre choses.

Alors pourquoi engloutir des sommes aussi astronomiques pour des cabinets privés ? Parce que c’est obligatoire ! Le collectif «Nos services publics», composé d’agents de l’État, alerte sur ce phénomène : quand l’État donne un budget à une collectivité ou un service public, il ne l’autorise pas à dépenser comme il le souhaite : «Nous avons fréquemment l’interdiction de recruter», car l’État «plafonne» le budget destiné au public et en réserve à des cabinets #privés. «C’est un constat clef de notre pratique de l’État : le recours à l’ #externalisation est plus souvent une contrainte qu’un choix stratégique. Il est plus facile d’externaliser que de recruter un fonctionnaire, même si cela coûte plus cher.»

Résultat : le service public est “sous-traité” au privé partout. Et tout ça pour des résultats catastrophiques. Un responsable de McKinsey expliquait par exemple devant la commission du Sénat qu’il avait facturé plus de 500 000€ à l’État pour préparer un séminaire sur «les évolutions du marché de l’enseignant», oubliant que dans notre pays l’éducation n’est pas sensée être un marché. Sans être simplement capable d’expliquer aux élus ce que contenait le rapport qu’il était sensé avoir rédigé à ce prix ! Sous prétexte de «maîtrise de budget» et de «réduction des dépenses», c’est exactement l’inverse qui se produit : l’argent public coule à foison pour des consultants privés totalement incompétents et même nocifs.

Le collectif «Nos services publics» explique : «L’externalisation entraîne une perte de savoir-faire des services publics. On devient incapables de faire seuls. Même en situation de crise». On l’a vu avec la pandémie : une gestion calamiteuse qui a coûté des vies. Même chose avec la Poste ou les trains, toujours plus cher et toujours moins efficace à mesure que la privatisation avance.

Le #néolibéralisme est un #dogme irrationnel et dangereux. Il n’est bénéfiques que pour les #ultra-riches. L’État français est aux mains de #managers arrogants et opportunistes qui arrosent leurs amis issus d’entreprises privées. C’est un hold-up massif, qui ne s’arrêtera pas seul.

Source : https://twitter.com/nosservicespub/status/1490988964236378112