#imagination

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A quotation from Feynman, Richard

The whole question of imagination in science is often misunderstood by people in other disciplines. They try to test our imagination in the following way. They say, “Here is a picture of some people in a situation. What do you imagine will happen next?” When we say, “I can’t imagine,” they may think we have a weak imagination. They overlook the fact that whatever we are allowed to imagine in science must be consistent with everything else we know: that the electric fields and the waves we talk about are not just some happy thoughts which we are free to make as we wish, but ideas which must be consistent with all the laws of physics we know. We can’t allow ourselves to seriously imagine things which are obviously in contradiction to the known laws of nature.

Richard Feynman (1918-1988) American physicist
The Feynman Lectures on Physics, Vol. 2, ch. 20 “Solutions of Maxwell’s Equations in Free Space,” sec. 20–3 “Scientific Imagination” (1964)

#quote #quotes #quotation #consistency #science #imagination #hypothesis #naturallaw #nature #speculation
Sourcing / notes: https://wist.info/feynman-richard/71547/

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A quotation from Bronowski, Jacob

What we really mean by free will, of course, is the visualizing of alternatives and making a choice between them. In my view, which not everyone shares, the central problem of human consciousness depends on this ability to imagine.

Jacob Bronowski (1908-1974) Polish-English humanist and mathematician
The Origins of Knowledge and Imagination, ch. 1 “The Mind as an Instrument for Understanding” (1978)

#quote #quotes #quotation #alternatives #consciousness #freewill #imagination #visualization
Sourcing / notes: https://wist.info/bronowski-jacob/71201/

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A quotation from Russell, Bertrand

If you have a good scientific imagination, you can think of all sorts of things that might be true, and that’s the essence of science. You first think of something that might be true — then you look to see if it is, and generally it isn’t.

Bertrand Russell (1872-1970) English mathematician and philosopher
Interview by Woodrow Wyatt, BBC TV (1959)

#quote #quotes #quotation #imagination #science #scientificmethod #test #truth
Sourcing / notes: https://wist.info/russell-bertrand/23515/

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #invitation #écriture #jeux #roman #personnages #imagination #illustration #tableau #histoire #mytext #mywork

Fantaisie sur « La plage de Heyst » par Félicien Rops 1886,

La femme de la plage,

C’est sûr pour la plage du Nord. Rien à reprocher non plus à la description du tableau (je vous y renvoie), mais pour le reste j’ai une toute autre idée sur l’histoire de la dame…. « Que fait-elle là cette femme ? Sur cette plage, ainsi habillée….? On aimerait la connaître, savoir son histoire ».

Mélanie est ravie, ses cousins de Bruxelles sont venus la voir, ça faisait bien 4 / 5 ans qu’elle ne les avait pas vus. Ils l’ont surprise ce matin. Après de joyeuses retrouvailles et un copieux repas, Ils ont insisté pour qu’elle vienne avec eux sur la plage comme autrefois. Elle a regimbé prétextant du travail en retard. Mais finalement elle s’est laisser convaincre. Il faut dire que le repas à été bien arrosé et qu’elle n’a pas trop l’habitude de ces fantaisies là.

Ses cousins ont toujours été gentils et prévenants avec elle. C’est sa seule famille. Elle reçoit quelquefois de leurs nouvelles, une carte postale de Paris, de Berlin ou de plus loin. Ils ont une bonne situation dans le commerce des céréales et se proposent toujours à l’aider. Mais Mélanie aime bien son travail, sa vie au grand air avec les bêtes, la nature et surtout son indépendance. Deux vaches, trois cochons, quelques brebis, le poulailler et le jardin potager suffisent amplement à l’occuper du matin au soir. Elle ne pourrait de toute façon pas travailler plus de terre. Trouver d’honnêtes travailleurs pour l’aider n’est pas si facile, surtout pour une femme seule. Elle les a laissé sur la plage en tenue de bain, barbotant à moitié nus. Quelle époque ! Jamais de son temps on aurait toléré une telle désinvolture. Mais ils sont jeunes, joyeux, modernes, ils profitent de la vie, ils ont bien raison. Elle a décidé de longer la plage, d’aller jusqu’à la jetée, de profiter de cette belle journée pour promener, une distraction rare à la ferme. Bien sûr elle se rend compte de sa tenue insolite de paysanne sur cette plage. Personne ne peut la reconnaître, Ce n’est pas demain la veille qu’elle pourra recommencer l’expérience. Il faut qu’elle prépare la chambre et un bon repas pour ce soir. Peut être un civet de lapin, elle en a un qui est prêt. Elle comptait le vendre samedi au marché mais elle préfère en profiter avec ses invités, c’est fête. Il reste du vin de midi, une tomme de ses vaches, ils vont se régaler et en plus ils ne sont pas trop difficiles à satisfaire. Ici tout leur plaît, ils retrouvent leur enfance, les vacances avec mes parents. Ils passaient toujours une quinzaine de jours avec nous. Puis je remontais avec eux sur Bruxelles où j’étais placée comme bonne à tout faire chez les bourgeois. Quelquefois on se retrouvait pour mes jours de repos, les fêtes. J’étais un peu leur grande sœur. C’était finalement une belle époque, même si le travail n’était pas toujours facile.
Je ne suis pas vraiment jolie et pourtant, j’en ai eu moi aussi des amourettes à la grande ville, mais je ne suis jamais tombée vraiment amoureuse, sauf une fois, mais il était marié. Je suis restée vieille fille aux grands dam de mes parents qui auraient bien voulu avoir des petits enfants. Je n’ai pas trop de regrets, un ou deux gars du coin aurait bien voulu me marier, mais c’étaient surtout une travailleuse à moindre coût et les terres qu’ils lorgnaient. J’ai refusé… Ça ne s’est pas fait. Le temps est passé, c’est comme ça. Le plus dur c’est les longues soirées d’hiver avec personne à qui se confier. Et puis un ou deux bambins qui courent dans les jambes ça m’aurait bien plu aussi, c’est trop tard. J’ai quarante ans tout n’est peut être pas fini ?… Un jour…. pourquoi pas ? Rencontrer quelqu’un, un compagnon, un amoureux qui sait …. Mais voilà que tu rêves ma pauvre fille ! …..tout ce charivari ne te réussit pas. Allons, allons il est temps de retourner à tes moutons. Mireille MOUTTE

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #histoire #personnages #écriture #tableau #jeux #imagination #proposition #expérience #mywork #mytexte

Salut les ami(e)s,
J’ai trouvé un nouveau jeu d’écriture en m’inspirant du roman « Les petits personnages » de Marie Sizun où elle invente en deux trois pages les sentiments, les regrets, les espoirs des petits personnages secondaires d’un tableau (genre Vuillard, Utrillo, Monet, Brueghel…). On pourrait ainsi donner pléiade d’histoires originales aux mêmes personnages suivant l’inspiration de chacun(e). Je vous soumets ma première illustration sur ce thème,..à vos plumes si vous le voulez bien….

Fantaisie sur « La plage de Heyst » par Félicien Rops 1886,

La femme de la plage,

C’est sûr pour la plage du Nord. Rien à reprocher non plus à la description du tableau (je vous y renvoie), mais pour le reste j’ai une toute autre idée sur l’histoire de la dame…. « Que fait-elle là cette femme ? Sur cette plage, ainsi habillée….? On aimerait la connaître, savoir son histoire ».

Mélanie est ravie, ses neveux de Bruxelles sont venus la voir, ça faisait bien 4 / 5 ans qu’elle ne les avait pas vus. Ils l’ont surprise ce matin. Après de joyeuses retrouvailles et un copieux repas, Ils ont insisté pour qu’elle vienne avec eux sur la plage comme autrefois. Elle a regimbé prétextant du travail en retard. Mais finalement elle s’est laisser convaincre. Il faut dire que le repas à été bien arrosé et qu’elle n’a pas trop l’habitude de ces fantaisies là.

Ses neveux ont toujours été gentils et prévenants avec elle. C’est sa seule famille. Elle reçoit quelquefois de leurs nouvelles, une carte postale de Paris, de Berlin ou de plus loin. Ils ont une bonne situation dans le commerce des céréales et se proposent toujours à l’aider. Mais Mélanie aime bien son travail, sa vie au grand air avec les bêtes, la nature et surtout son indépendance. Deux vaches, trois cochons, quelques brebis, le poulailler et le jardin potager suffisent amplement à l’occuper du matin au soir. Elle ne pourrait de toute façon pas travailler plus de terre pour un troupeau plus important. Trouver d’honnêtes travailleurs pour l’aider n’est pas si simple, surtout pour une femme seule. Elle a laissé ses neveux sur la plage en tenue de bain, barbotant à moitié nus. Quelle époque ! Jamais de son temps on aurait toléré une telle désinvolture. Mais ils sont jeunes, joyeux, modernes, ils profitent de la vie, ils ont bien raison. Elle a décidé de longer la plage, d’aller jusqu’à la jetée, de profiter de cette belle journée pour promener, une distraction inhabituelle à la ferme. Bien sûr elle se rend compte de sa tenue insolite de paysanne sur cette plage. Personne ne peut la reconnaître, alors qu’importe le quand-dira-t’on. Ce n’est pas demain la veille qu’elle pourra recommencer l’expérience. Il faut qu’elle prépare la chambre et un bon repas pour ce soir. Peut être un civet de lapin, elle en a un qui est prêt. Elle comptait le vendre samedi au marché mais elle préfère en profiter avec ses invités, c’est fête. Il reste du vin de midi, une tome de ses vaches, ils vont se régaler et en plus ils ne sont pas trop difficiles à satisfaire. Ici tout leur plaît, ils retrouvent leur enfance, les vacances avec mes parents. Ils passaient toujours une quinzaine de jours avec nous. Puis je remontais avec eux sur Bruxelles où j’étais placée comme bonne à tout faire chez les bourgeois. Quelquefois on se retrouvait pour mes jours de repos, les fêtes. J’étais un peu leur grande sœur. C’était finalement une belle époque, même si le travail n’était pas toujours facile.
Je ne suis pas vraiment jolie, mais pas trop moche non plus, j’en ai eu moi aussi des amourettes à la grande ville, mais je ne suis jamais tombée vraiment amoureuse, sauf une fois, mais il était marié. Je suis restée vieille fille aux grands dam de mes parents qui auraient bien voulu avoir des petits enfants. Je n’ai pas trop de regrets, un ou deux gars du coin aurait bien voulu me marier, mais c’étaient surtout une travailleuse à moindre coût et les terres qu’ils lorgnaient. J’ai refusé… Ça ne s’est pas fait. Le temps est passé, c’est comme ça. Le plus dur c’est les longues soirées d’hiver avec personne à qui se confier. Et puis un ou deux bambins qui courent dans les jambes ça m’aurait bien plu aussi, c’est trop tard. J’ai quarante ans tout n’est peut être pas fini ?… Un jour…. pourquoi pas rencontrer quelqu’un, un compagnon, un amoureux qui sait …. Mais voilà que tu rêves ma pauvre fille ! …..tout ce charivari ne te réussit pas. Allons, allons il est temps de retourner à tes moutons. Mireille MOUTTE

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‘If you win the popular #imagination, you change the game’: why we need new stories on #climate

Source: https://www.theguardian.com/news/2023/jan/12/rebecca-solnit-climate-crisis-popular-imagination-why-we-need-new-stories

In order to do what the climate #crisis demands of us, we have to find stories of a livable #future, stories of popular power, stories that motivate people to do what it takes to make the #world we need.

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Our greatest power lies in our roles as citizens, not consumers, when we can band together to collectively change how our world works.

#news #story #journalism #press #environment #nature #emissions #co2 #earth

nowisthetime@pod.automat.click

#Imagination #Journeys

“It's very interesting. It's almost like Lucid Dreaming. You can't force it. Things come up. There is an energy that comes. I'm trying to figure it out. There's energy that's very natural. There is a flow to it. I can be explorative and you have my back. You provide safety and encouragement so the energy can come up.”

Background Story

I have known about this technique for several years, reading about it in Jon Rappoport's “The Matrix Revealed” collection. There it was hinted at in a number of interviews between Jon and a guy named Jack True. Jack was a mysterious figure and former hypnotherapist. Mysterious because he never published anything under his name, he merely shows up as a key person in Rappoport's work. Some people go so far as to speculate that Rappoport invented him.

Jack died, according to Jon, in the mid 90s under mysterious circumstances. He was an ex-hypnotherapist, because at one point in his career he realized that people are already hypnotized 99% of the time and what they need is more of a wake up call and not being led into a deeper trance , bombarded with even more suggestions.

Suggestions are you surrendering your will and hoping someone else has all the answers for you, instead of you looking within. As in suggestive questioning, where the interviewer phrases his questions in such a way as to elicit a specific answer from you, instead of allowing you to come up with your own answer.

How did he go about waking people up?

Instead of telling them a story, hypnotizing and suggesting to them, he drew out their own story and had them fill it with many many details. His stories and outcomes were wild. So wild that I felt reluctant about including them in my book, Imagination: The Secret Nobody Talks About, before reproducing them on my own terms.

From lighters sliding across tables, tapping into past lives or correctly viewing remote locations. Whenever I tried to find people during the years to test this technique, I never went all in with it, being relentless on my quest to find particpants ready to go all the way with this and not drop out after a few sessions.

This changed and aligned when I told my neighbor about this technique, and she said:
“This sounds like lucid dreaming. Just that you are awake and do it with another person.” Seeing it as a form of “live lucid dreaming,” totally clicked with me and reignited my passion for this technique.

When Jack did his sessions, he found that his clients were harboring “whole worlds” in their minds. Untapped worlds, far different from this one. Worlds in which space and time were different. Logic was different.

“This is the gold I’ve been looking for. It turns out that the effect of living in one world and believing it’s the only possibility puts people in chains. They tailor their consciousness and trim it down and inflict emotional problems on themselves. It’s like keeping a genie in a bottle. But when you take off the cork on the bottle, the magic begins.”

I‘ve also been blessed to have had the chance to talk to Josiah, one of the best YouTube channels on Neville Goddard (Manifestation/Law of Attraction) about this technique.

Source: https://youtube.com/watch?v=3SITIOaJJl4

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A quotation from Beecher, Henry Ward

A man without mirth is like a waggon without springs, in which one is caused disagreeably to jolt by every pebble over which it runs. A man with mirth is like a chariot with springs, in which one can ride over the roughest road, and scarcely feel anything but a pleasant rocking motion.

Henry Ward Beecher (1813-1887) American clergyman and orator
Royal Truths (1862)

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Sourcing / notes: https://wist.info/beecher-henry-ward/11789/