#souveraineté

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Quand les #Américains voulaient #gouverner la #France par #AnnieLacroix-Riz

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aperçu - Suite
C’est une page peu connue de l’ #histoire de la seconde #guerre #mondiale : dès 1941-1942, #Washington avait prévu d’imposer à la France — comme aux futurs vaincus, #Italie, #Allemagne et #Japon — un #statut de #protectorat, régi par un #Allied #Military #Government of #Occupied #Territories ( #Amgot). Ce #gouvernement #militaire #américain des #territoires #occupés aurait #aboli toute #souveraineté, y compris le #droit de battre #monnaie, sur le #modèle fourni par les #accords Darlan-Clark de novembre 1942.

A en croire certains #historiens #américains, ce #projet tenait à la #haine qu’éprouvait Franklin D. #Roosevelt pour Charles #deGaulle, « apprenti dictateur » qu’il eût voulu épargner à la France de l’après-Pétain. Cette #thèse d’un #président américain soucieux d’établir la #démocratie #universelle est séduisante, mais erronée.

#histoire #guerre #politique #géopolitique

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Le Rassemblement national défend le 49.3 !
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Et #Macron pire que #LouisXVI....

Antoine #Léaument député La France insoumise - NUPES met en lumière les implications profondes de l'utilisation de l'article 49 alinéa 3 de la #Constitution française.

Léaument débute par une critique directe à l'encontre du #RassemblementNational pour sa défense du 49.3, qu'il associe à une posture contraire aux valeurs républicaines de liberté, d'égalité, et de fraternité. Ces valeurs, rappelle-t-il, ont été acquises au prix d'une #révolution contre la #monarchie, marquant la naissance des notions de #droite et de #gauche dans l'Assemblée.

Revisitant le 28 août 1789, date cruciale où fut débattu le droit de veto du roi, Léaument trace un parallèle saisissant entre les positions politiques de l'époque et celles d'aujourd'hui, opposant l'autorité d'un seul à la #souveraineté de tous. Il argue que l'utilisation répétée du 49.3 par le président Macron, en particulier sur les questions budgétaires, constitue une régression démocratique surpassant même l'autorité que Louis XVI s'était réservée.

Le député #insoumis appelle à l'affirmation du #pouvoir parlementaire comme expression de la souveraineté populaire, s'opposant à ce qu'il qualifie de "monarchie présidentielle". Il défend la suppression du 49.3 comme étape nécessaire vers une République plus démocratique, proposant par ailleurs une vision d'une sixième République caractérisée par une participation citoyenne permanente et des mécanismes de #démocratie directe tels que le référendum d'initiative citoyenne.

En confrontant la légitimité du 49.3 à l'aune des principes fondateurs de la République, #AntoineLéaument invite à une réflexion sur ce que signifie gouverner "du peuple, par le peuple, pour le #peuple". Il interpelle non seulement les collègues parlementaires mais aussi les #citoyens, sur la nécessité de redéfinir le contrat #social #français pour qu'il reflète véritablement la volonté populaire.

❤️❤️ Clause de défense du logiciel libre : Expert ou novice, le logiciel libre a besoin d'une chose : qu'on le fasse vivre ‼️ Donc n'hésite pas à donner la priorité à Peertube au lieu de Youtube, quand c'est possible, n'hésite pas à privilégier une info diffusée par un site avec peu ou pas de traqueur, plutôt qu'un site capitaliste putaclic, bref, mets en avant ce qui fait notre force ici sur Diaspora, le logiciel libre et décentralisé. Et ne t'inquiète pas, les GAFAM et autres twitter/X ne disparaîtront pas, laisse aux autres les mauvaises habitudes. Avec bienveillance pour nous tous, car trop de youtube et hop, le jour où ton message dérange, couic, censure : veille à préserver, pour notre bien, le logiciel libre, en le faisant vivre. ❤️❤️ Cela dit sans diffamation, harcèlement de messages répétés partout, bref, un message tout innocent 😜 ‼️ Mots clés : Recherche Peertube - Framalibre - Clients youtube - LibRedirect - Protéger sa navigation sous Firefox - Fediverse - Logiciel Libre : à diffuser autour de vous ! - Rien à cacher | Nothing To Hide -

#Politique #France #RIC #49-3 #49_3 #493 #Quarante-neuf-trois #Extrême-droite #RN #FN #Liberté #Constitution

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Souveraine Tech sur X : "👋Cet article a été publié il y a trois jours et n'a pas été relayé une seule fois, ce qui est une honte tant il est juste et brillant. SVP, donnez lui ici le succès et la portée qu'il mérite. PS : petit extrait en commentaire sur la rhétorique dont use l'Union européenne https://t.co/rizsGTOsOR" / X

#politique #souveraineté #UE

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« On va sauter dans les 24 mois qui viennent » – #CharlesGave - #EpochTimes #France

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https://www.youtube.com/watch?v=IiZ0jB_LiWs

Financier, essayiste et fondateur de L’Institut des Libertés, Charles Gave vient de publier « La Vérité vous rendra libre » (éditions Pierre de Taillac).

Dans cet essai, Charles Gave dénonce l’entreprise de destruction des nations menée par « les hommes de Davos ». Un projet technocratique qui vise à transférer les souverainetés locales vers des organisations supranationales et à promouvoir une société de contrôle.
Pour le fondateur de l’Institut des Libertés, les hommes de Davos « ont avalé la notion de globalisation » et considèrent que les enjeux auxquels l’humanité fait face ne peuvent être résolus que dans le cadre d’une gouvernance mondiale, la souveraineté de chaque nation constituant une entrave à la résolution des problèmes qui nous menacent.
D’après Charles Gave, ces hommes de Davos estiment faire partie d’une élite éclairée et « se sentent absolument appelés par une puissance divine [...] à nous gouverner et à faire ce qui est bon pour nous, même si nous ne sommes pas tout à fait d'accord. »
« Ils vivent dans une espèce de monde complètement éthéré, artificiel, ils sont convaincus qu’ils sont les plus malins, les plus brillants, et que grâce à eux le monde va enfin connaître une période de paix et de prospérité remarquable. »
Selon Charles Gave, pour asseoir leur emprise sur les individus et la société, les hommes de Davos s’appuient sur le contrôle du logos. Un contrôle qui passe par la mise en place d’une novlangue « où les mots signifient le contraire de ce qu’ils voulaient dire précédemment », afin d’identifier « les déviants » qui n’adhèrent pas à la doxa.
« Ils ont remplacé le totalitarisme “dur” par un totalitarisme “mou”, aussi efficace que son ancêtre. [...] Le nettoyage des mal-pensants ne se fait plus par la violence, mais par la dérision et l’exclusion. »
Alors que la dette publique française s’élève à plus de 3000 milliards d’euros, que le déficit public s’établit à 5,5% du PIB et que la croissance est atone, Charles Gave pointe aussi la responsabilité des gouvernements qui se sont succédé depuis 30 ans dans la destruction de l’économie.
« Il faut des années pour ruiner un pays comme la France, mais quand vous êtes vraiment ruiné, la chute est d'une rapidité… Il va y avoir une baisse du niveau de vie effroyable. Et qui va prendre le plus dans la gueule ? Les petites gens. Ce sont les agriculteurs, ce sont les Gilets Jaunes. Ce sont toujours eux qui dégustent le plus, je trouve ça absolument odieux. »
L’auteur de « La Vérité vous rendra libre » se veut pourtant optimiste, considérant que l’effondrement qui se profile sonnera le glas des technocrates qui ont selon lui amené la France au bord de l’abîme.
« Il vaut mieux une fin dans l'horreur qu'une horreur sans fin. Nous arrivons à une fin dans l'horreur. Nous allons en prendre plein les tronches, mais nous serons libres. »

📝 Retrouvez les analyses de Charles Gave sur le site de l’Institut des Libertés (IDL) : https://institutdeslibertes.org

🎙️ Journaliste : Henri-Michel Thalamy

00:00 Intro
01:34 Qui sont les hommes de Davos ?
06:14 Les dirigeants français partagent-ils les idées des hommes de Davos ?
09:22 En quoi le contrôle du logos est-il indispensable aux classes dirigeantes ?
13:11 En quoi la Révolution française est-elle la matrice de tous les totalitarismes ?
18:17 Quels sont les points de convergence entre l’extrême gauche et les hommes de Davos ?
24:49 Quels sont les enjeux du règlement numérique européen (DSA) ?
30:20 La police est-elle instrumentalisée par le pouvoir politique ?
33:45 Quels sont les enjeux de l'euro numérique ?
37:36 En quoi assistons-nous à un retour de la morale collective ?
41:16 En quoi la destruction de l’économie française est-elle volontaire ?
43:09 Quel bilan pour Emmanuel Macron et Bruno Le Maire ?
47:18 Comment expliquer le faible niveau d’efficacité de la dépense publique en France ?
50:04 Les ambitions françaises en matière de réindustrialisation sont-elles à la hauteur ?
53:40 En quoi la destruction d’EDF est-elle volontaire ?
57:05 En quoi l’État bafoue-t-il le droit de propriété ?
01:00:14 Un système qui se protège ?
01:02:26 En quoi les critiques envers le libéralisme sont-elles injustifiées ?
01:06:04 En quoi l’euro a-t-il contribué à la destruction de l’économie française ?
01:09:47 La défaite des hommes de Davos est-elle inéluctable ?
01:12:02 En quoi la vérité et la liberté sont-elles liées ?

#EpochTimesFrance #Epoch #CharlesGave #IDL #Interview #Entretien #Vérité #Liberté #Logos #France #Économie #Dette #Déficit #Euro #Croissance #Europe #Souveraineté #Énergie #Monnaie #Libéralisme #Socialisme #État #Effondrement #Politique #Société #Censure #Doxa #Novlangue #Exclusion #Davos #EDF #Macron #LeMaire #DSA #Totalitarisme #Idéologie #Numérique #Morale #Réindustrialisation #Destruction #Violence #Trump #Musk #Élite #Puissance #Monde #Projet #Gave #Nations #Gouvernance #Contrôle #Chute #Agriculteurs #GiletsJaunes

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Pillage de données, guerre juridique : l'alerte de la DGSI face aux ingérences économiques américaines

#géopolitique #souveraineté #impérialisme #corruption

Ce sont des conflits à bas bruit que se livrent les États. Des guerres de l’ombre sans éclats ni fracas où tous les coups sont permis tant que l’apparence de légalité est sauvegardée. Un terrain de conflictualité, hautement stratégique pour les nations, dans lequel les réglementations remplacent les armes. Et dans ce domaine, les États-Unis sont particulièrement agressifs à en croire la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI). Dans une communication publiée courant janvier, intitulée « Ingérence économiques ; Lois extraterritoriales : risques associés au recours à des cabinets d’audit étranger », le contre-espionnage français alerte sur les dangers pour les entreprises françaises d’être l'objet de tentatives de « captations d’informations » confidentielles, visant des secrets aussi bien industriels que financiers. Une manière polie de parler d’espionnage pur et simple.

Dans ce « flash ingérence » dans lequel ni l’État incriminé ni le nom de la société concernée ne sont nommés, la DGSI décrit « le cas d’une entreprise française ayant fait l’objet d’un audit intrusif par un prestataire étranger dans le cadre d’une vérification de sa conformité à des lois extraterritoriales étrangères. La société française a ainsi transmis des documents stratégiques à des autorités étrangères sous la menace de poursuites judiciaires ». Un cas d’espèce anonymisé qui cache mal le pays visé. « La DGSI pointe assurément les USA », s’amuse l’avocat Pierre Desmarais, spécialisé en droit de la santé et des nouvelles technologies, notamment à l’internationale. Et pour une raison simple : « Les Américains sont très forts en matière de « lawfare », qu’on pourrait traduire par guerre juridique. Notamment en s’appuyant sur son arsenal extraterritorial pour condamner des entreprises étrangères qui pourraient gêner un fleuron américain ou récupérer des données sensibles par le biais de ces audits de conformité. » L'extraterritorialité, le concept-clé de cette guerre en sourdine : soit le principe utilisé par un État pour faire appliquer leurs normes en dehors de leurs frontières territoriales.
L'arme de l'extraterritorialité du droit US

Fin 2023, lors d’un colloque organisé par le Club des directeurs de sécurité des entreprises (CDSE), un représentant de la DGSI avait indiqué que les États-Unis représentaient la moitié des 92 cas d'ingérence dans des entreprises françaises par extraterritorialité du droit identifiés entre 2020 et 2022. « Les Américains ne sont pas les seuls à s’appuyer sur l’extraterritorialité pour pratiquer des ingérences, les Russes ou les Chinois s’y adonnent aussi. L’Union européenne, également, ne fait pas mieux avec par exemple le Règlement Général sur la Protection des Données (RGPD) ou le règlement e-Evidence », développe notre avocat… soulignant de surcroît que le nombre d'ingérences est certainement bien supérieur à celui consigné, la DGSI ne parlant que des cas détectés.

Les Américains sont devenus les champions de l'extraterritorialité, dont ils ont une vision extensive. « Les États-Unis estiment que leur droit s’applique à partir du moment où l’un des trois critères suivants est réuni. Un critère personnel : tous les Américains ou organisations américaines, peu importe où ils vivent, sont soumis à la loi américaine. Géographique : la loi s’applique à toute structure ou résident installé aux États-Unis, quelle que soit sa nationalité. Et enfin un critère matériel : à partir du moment où une pièce d’un objet est fabriquée aux USA, l’objet dans son entièreté doit être conforme aux réglementations américaines », précise Pierre Desmarais. Ce critère s'applique aussi lorsque le dollar est utilisé comme monnaie d’échange. D’après les données SWIFT, fin décembre, 47.5 % des paiements internationaux s’effectuaient en dollar, une part qui grimpe à 60 % si on exclut l’Euro zone…

C’est sur cette base que la banque française BNP Paribas avait été condamnée en 2014, après d’âpres négociations avec l’administration américaine, à payer une amende record de 8,9 milliards de dollars après avoir plaidé coupable devant un tribunal de New York pour avoir contourné des sanctions américaines contre Cuba, l’Iran et le Soudan. « C’est François Mitterrand qui avait l’habitude de dire que l’Amérique est un adversaire qui n’arrête jamais de nous attaquer ! Et ils utilisent toute la puissance de leur arsenal sans se poser de questions », rappelle Alain Juillet, ancien directeur du renseignement au sein de la direction générale de la Sécurité extérieure (DGSE).
Un éventail réglementaire très vaste

En matière de vente d’armes, par exemple, les Américains disposent « d’une arme redoutable », souligne l’ancien espion : « Ils s’appuient sur la Réglementation américaine sur le trafic d'armes au niveau international [Itar pour International Traffic in Arms Regulations] qui leur permet, lorsque dans un système d'armement il y a du matériel américain, d'en interdire la vente. Ce qui est pratique lorsqu’une entreprise française vient concurrencer une société américaine. Les Français l’ont expérimenté lors de la vente de Rafale aux Égyptiens ».

En 2018, l’administration américaine avait tenté de bloquer la vente de 12 rafales à l’Égypte au prétexte que les missiles de croisière SCALP, produit par le missilier MBDA et dont est équipé l’avion de chasse français, étaient équipés d’une puce électronique américaine. « C’est surtout que pour les Américains, chaque Rafale français acheté, c'est une vente de F-35 en moins », décrypte Alain Juillet.

Et les Américains disposent d’un éventail réglementaire très vaste, comme « la loi Sarbanes Oxley (SOX) pour lutter contre la corruption en imposant un certain degré de transparence ou bien la loi HIPAA sur la protection des données de santé des citoyens américains ont cette portée extraterritoriale. Une entreprise française, basée en dehors du territoire américain, peut ainsi être amenée à prouver qu’elle est bien en conformité avec ces lois », souligne Pierre Desmarais. Et ainsi solliciter le renfort d’un cabinet d’audit pour s’assurer d’être en conformité avec les réglementations en cours, « la liste des cabinets habilités à réaliser ces audits étant le plus souvent délivrée par l’administration elle-même », poursuit notre avocat.

Et d’ajouter : « La question posée par ce Flash de la DGSI est : sommes-nous en présence d’un cabinet d’audit un peu trop zélé, ce qui peut arriver. En France par exemple, il peut arriver que des commissaires aux comptes dépassent leurs prérogatives en poussant leurs investigations. Ou sommes-nous face à un cas où cet excès de zèle a été commandité par un tiers ? Un concurrent ou même l’administration américaine… ». Comme le rappelle Alain Juillet, les agences de renseignement américain peuvent s’appuyer sur la loi FISA [Foreign Intelligence Surveillance Act], voté en 1978 et renouvelé par le Congrès récemment, pour accéder en masse aux données personnelles des étrangers. « À tout moment, l’État américain peut demander à une société américaine, comme un cabinet d’audit par exemple, de lui fournir toutes les informations nécessaires chez un client étranger, comme une société française… Et le cabinet d’audit sera tenu en plus à garder le secret », pointe l’ex-directeur du renseignement de la DGSE.
Des espions au cœur de l'intelligence économique

L’hypothèse de la DGSI est d’autant plus crédible selon l’ancien espion qu’en matière de guerre économique, les États-Unis assument pleinement tout faire pour aider leurs sociétés sur la scène internationale : « Chaque année, l’« Advocacy Center », qui dépend directement du département du Commerce, sélectionne une centaine de contrats particulièrement stratégique pour l’industrie américaine et va centraliser les informations de tous les services qui pourraient aider à la victoire américaine dans ces contrats. »

En face, la France tente peu à peu de se battre à armes égales avec ses concurrents. Ou en tout cas à réduire la portée des réglementations étrangères. La loi Sapin II, qui a instauré en France des procédures anticorruption conformes aux normes américaines, a pour but d’éviter que des entreprises françaises soient soumises à des sanctions prononcées outre-Atlantique.

Photo de profil de Denis Albors

Qui peut encore en douter, à présent que de nombreuses sources indiquent que les États-Unis ont sommé Zelensky de refuser tout accord avec la Russie l...

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Le gouvernement a également dépoussiéré une vieille loi de 1968, modifiée en 1980, dites « loi de blocage » ou « loi Preuves », relative à la communication des documents et renseignements d'ordre économique, commercial, industriel, financier ou technique à des personnes physiques ou morales étrangères. Par un décret de 2022, la France oblige dorénavant les entreprises confrontées à des demandes de « discovery » ou de « pre-trial », une procédure américaine qui permet, lors d’un procès, à une partie plaignante de demander à la partie adverse ou à des tiers de communiquer tous les documents, qui pourraient faire office de preuve, de saisir le SISSE (le service de l’information stratégique et de la sécurité économique au sein du ministère de l’Économie et des Finances), pour s’assurer que ces demandes ne contreviennent pas à la loi Preuves. « Ce sont des avancées, mais contrairement aux Américains, nous sommes dans une position défensive, puisque l’effet d’extraterritorialité se limite aux entreprises françaises », regrette Alain Juillet.

https://www.marianne.net/societe/defense/pillage-de-donnees-guerre-juridique-l-alerte-de-la-dgsi-face-aux-ingerences-economiques-americaines

magdoz@diaspora.psyco.fr

« #Ukraine: une #guerre qui vient de loin » – Quartier Libre avec Annie #Lacroix-Riz [BEST OF]
https://piped.adminforge.de/watch?v=ZmOQ2s-1wus ou https://invidious.lunar.icu/watch?v=ZmOQ2s-1wus

Annie Lacroix-Riz : https://fr.wikipedia.org/wiki/Annie_Lacroix-Riz

une historienne et militante politique française. [...] agrégée d'histoire, docteur ès lettres, professeur émérite d'histoire contemporaine à l'université Paris VII - Denis Diderot, elle est spécialiste des relations internationales dans la première moitié du XXe siècle.
elle est membre du Pôle de renaissance communiste en France (PRCF), petit mouvement se réclamant du « marxisme-léninisme ».

Certes, elle a un parti pris communiste. Mais elle est aussi historienne et une voix à écouter, sur le sujet de l'Ukraine, notamment quand elle explique que le pays est un #joyau, qui excite la convoitise de chaque #impérialisme.

Bon, je cherchais une vidéo (ou une intervention) récente, pour voir ce qu'elle a à dire suite aux prises de position de #Macron ces derniers jours... Mais je ne trouve rien...

Voici récemment (nov 2023) :
"Avec 'Les origines du Plan Marshall', Annie Lacroix-Riz déconstruit le mythe de l’aide américaine !"
https://www.marianne.net/agora/lectures/avec-les-origines-du-plan-marshall-annie-lacroix-riz-deconstruit-le-mythe-de-laide-americaine

À peu près tout le monde en convient : Washington tente de tirer à son profit la guerre russo-ukrainienne

#Politique #Ressources #Europe #UE #EU #Pétrole #Gaz #Souveraineté #USA #Russie #Blé

wazoox@diasp.eu

Souveraine Tech sur X : "Merci et bravo au député @phgosselin, de monter ainsi au créneau pour notre souveraineté. #AWS #EDF #Nucléaire et surtout...860M€ !" / X

#géopolitique #souveraineté #énergie

https://twitter.com/SouveraineTech/status/1762506776098824687

wazoox@diasp.eu

Manger « Made in France » : le renoncement du gouvernement | Mediapart

#politique #souveraineté #foutagedegueule #lacorde #guillotine2024

Depuis 2021, la loi sanctionne en théorie l’affichage de drapeaux tricolores sur les aliments dont les ingrédients ne sont pas produits en France. Mais le gouvernement n’a jamais publié le décret, qu’il estime contraire au droit européen. En magasin, des marques exploitent la faille.

https://www.mediapart.fr/journal/france/260224/manger-made-france-le-renoncement-du-gouvernement

wazoox@diasp.eu

QG le média libre sur X : "« La France est l’un des pays européens qui s’est le plus désindustrialisé » @alancelin recevait hier @a_voygillis, @Francois_Ruffin et @NicolasMeilhan pour une grande soirée de débats sur les enjeux de souveraineté Replay 👉 https://t.co/eFkWMrdVAE https://t.co/v6UmGufTAq" / X

#politique #industrie #souveraineté #effondrement

Rappel l'émission est dans mon dossier partagé.

https://twitter.com/LibreQg/status/1762441146184171571

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Maroun Eddé : "L'éviction des compétences et la destruction de l'État en France ont été programmées"

#politique #souveraineté #trahison #lacorde #guillotine2024

Marianne : Vous parlez de destruction de l’État, vous citez la vente des fleurons industriels, la suppression des grands corps, le délitement des services publics… Vous attribuez tous ces phénomènes à un même mal : lequel ? Une idéologie ? Une politique ? Une caste ?

Maroun Eddé :Une conjonction des trois. Ce démantèlement est en partie voulu, correspondant à l’application en France du tournant reagano-thatchérien et de l’idée que l’État devrait se retirer à tous les niveaux. Un beau jeu de dupes, quand on sait combien l’État est encore omniprésent aux États-Unis…

En réponse à ses détracteurs lors de la vente d’Alcatel à Nokia en 2015, Emmanuel Macron répond qu’il faut sortir de cette « vision romantique » qui consisterait à dire qu’il faut la protéger parce que c’est une entreprise française. C’est un parfait résumé de cette « idéologie de la fin de l’Histoire » que je décris dans le livre. Cette idée que la mondialisation libérale allait l’emporter, que l'État ne devait plus avoir de rôle à jouer, que tout pouvait être privatisé, y compris dans les services publics. Nos dirigeants étaient devenus mondialistes au point de ne plus voir la différence entre le fait que nos usines soient implantées en Chine ou en France, ou que nos entreprises soient détenues par des intérêts français ou rachetées par des fonds spéculatifs américains.

Résultat, trente ans plus tard, on se retrouve avec des pénuries de Doliprane pendant le Covid-19, parce que toute la production a été externalisée en Inde, et les principaux actionnaires du CAC 40 et de nos infrastructures sont devenus BlackRock et les fonds de pension américains. Avec des conséquences sur la souveraineté dont on parle étonnamment peu au regard de leur ampleur. C’est ce mouvement que je retrace dans le livre : comment en sommes-nous arrivés là ? Pourquoi ce mouvement se poursuit aujourd’hui malgré la multiplication des cris d’alerte, et au bénéfice de qui ? Surtout, comment en sortir ?

Quel lien avec le règne des consultants, dont vous parlez beaucoup dans le livre ?

Il y a beaucoup à dire sur le rôle véritable des cabinets de conseil, j’y consacre d’ailleurs un chapitre entier. Bien sûr, ils tirent profit de la crise de l’État, mais ce dernier est également responsable. Ils aident notamment à déresponsabiliser des dirigeants. Il faut rappeler que le conseil en stratégie s’est répandu dans les années 1980 aux États-Unis comme moyen pour les grandes entreprises de légitimer des décisions souvent déjà prises mais difficiles à annoncer. On veut faire un plan social massif ? On fait appel à McKinsey en disant « ce n’est pas nous, c’est McKinsey qui le dit ». Pour cette nouvelle élite dirigeante en France, les consultants se sont avérés très pratiques. Ils ont aussi moins tendance à vous contredire que les hauts fonctionnaires, puisque vous les payez pour dire ce que vous voulez entendre.

A LIRE AUSSI : Jean-Éric Schoettl : "L’arrêt de la CEDH sur le rapatriement des familles de djihadistes est inacceptable"

Le second problème, c’est la marginalisation de l’expertise véritable. Les consultants ont une approche générique des problèmes, ils ne sont pas des experts des différents sujets. C’est l’illusion qu’il suffirait de sortir d’HEC et de savoir manier des indicateurs pour aller expliquer à des médecins, des enseignants ou des policiers leur propre métier. En un sens, cette dérive existait déjà avec l’ENA, le recours aux consultants permettant de donner aux défauts du technocratisme français une nouvelle jeunesse.

Comment est-ce que vous retraceriez les racines de notre suicide industriel ?

À l’origine du suicide industriel français, il y a le mythe d’une « France sans usines » – l’idée que les pays en développement allaient produire pour nous et que nous deviendrions, avec l’Occident, le centre pensant de la planète. Avec ce mythe, on a péché par naïveté et par condescendance. Par naïveté parce qu’on a cru que les compétences, l’innovation, la recherche peuvent se maintenir indépendamment d’une activité productive. Par condescendance, parce qu’on n’a jamais pensé que les pays asiatiques, en particulier la Chine, nous rattraperaient et même nous dépasseraient aussi vite. Jusqu’au réveil, douloureux, au moment du Covid-19, où l’on se rend compte que l’on ne sait plus produire les composantes pour nos véhicules et nos médicaments, renversant le rapport de domination et de dépendance avec l’Asie.

Mais les défenseurs du gouvernement vous objecteront que ce dernier, à la faveur d’un tournant « souverainiste », a compris l’importance du rôle de l’État et de l’indépendance du pays. Que leur répondez-vous ?

Quand vous êtes face au mur, vous êtes obligés de réagir. Après la crise du Covid-19, la guerre d’Ukraine et les signes d’une démondialisation, le gouvernement est obligé de faire des déclarations dans ce sens, de bloquer quelques rachats d’entreprises stratégiques. Il y a un véritable tournant au niveau de l’opinion publique, ce qui est une bonne chose.

Mais au niveau du gouvernement ? Rien n’est moins sûr. Au-delà de ces coups de communication, on peut s’interroger sur la réalité des moyens qu’il se donne pour garantir cette souveraineté : pour l’instant, la souveraineté économique en matière d’intelligence artificielle (IA) a surtout consisté à accepter la charité du PDG de Google et à utiliser le Cloud d’Amazon pour les données d’EDF.

A LIRE AUSSI : Démantèlement d'Atos : le récit d'un gâchis français

On peut interroger l’intention également : derrière la protection de quelques PME, le mouvement de vente des actifs français se poursuit et s’accélère. La vente à des fonds étrangers touche désormais jusqu’à nos actifs patrimoniaux, de nos cliniques à nos infrastructures. Il y a même des projets de privatisation et de vente de nos barrages hydroélectriques. On était à deux doigts de vendre Atos et ses données stratégiques à un milliardaire tchèque [Daniel Kretinsky, propriétaire de Marianne]. La vente de nos actifs est plus maquillée, avec des montages financiers plus complexes, mais ce sont toujours les mêmes qui sont au pouvoir donc il n’y a pas véritablement de raison que cela change.

Qui sont ces « mêmes » au pouvoir ? Vous parlez d’une caste ?

Je parle de la trahison des grands corps, ou plutôt d’une frange d’entre eux. Ayant la charge depuis Napoléon et surtout De Gaulle de l’intérêt général, la conversion d’une part d’entre eux, au tournant des années 1980, à une logique purement financière et mondialiste est à l’origine d’un grand nombre de nos défaites politiques et industrielles. La déroute d’EDF, les faillites ou ventes d’Alstom, de Thomson, d’Alcatel, d’Atos proviennent de ces grands commis d’État qui ont abandonné la charge de l’intérêt national au profit d’un enrichissement rapide ou de postes dans le secteur privé.

Dans ces sommets de l’État, l’impunité est presque totale. Lorsque les journalistes demandent au directeur de l'Agence des participations de l'État, qui avait la charge d'Alstom, pourquoi il a aidé la banque Merrill Lynch à vendre le géant français à General Electric en échange d’un poste, il répond « Pour gagner de l'argent : j'ai 53 ans, il est temps que je pense à mon avenir ». Et c'est passé.

Qu’une minorité contrôle le pouvoir a toujours existé. La nouveauté, c’est que cette minorité considère aujourd’hui que le modèle français est obsolète, désuet, qu’il doit être remplacé. Ils démantèlent tout ce qui a fait notre force au XXe siècle mais sans penser d’alternative viable, donc la France se retrouve dans un entre-deux dangereux. La contrainte européenne joue, bien sûr, mais je montre dans le livre comment elle est aussi utilisée comme alibi par des dirigeants qui font en réalité du zèle par rapport à ce que demande vraiment Bruxelles.

Vous parlez d’une fascination américaine, en citant notamment l’exemple de la « start-up nation ». Est-ce cela dont il s’agit ?

Oui. Mais le véritable problème est que nous avons moins cherché à imiter les clés réelles du succès des États-Unis que l’image fantasmée qu’ils nous en ont donnée. Autrement dit, plutôt que d’imiter leur réussite, nous avons voulu copier leur « storytelling ».

L’exemple de la « start-up nation » le montre bien. La Silicon Valley est initialement un projet étatique, lancé par l’État fédéral américain, l’État de Californie et l’armée américaine dans les années 1950 en pleine guerre froide. Encore aujourd’hui, les pouvoirs publics sont omniprésents, tant pour financer l’innovation que par les commandes publiques qui nourrissent les GAFAM. Quand on se penche sur les causes réelles des succès de la « start-up nation » américaine, celle-ci ressemble bien plus à ce que nous avions avec le complexe militaro-industriel gaullien, qu’au mythe de l’étudiant de génie en t-shirt dans son garage qui innove seul.

C’est là tout le paradoxe : les États-Unis sont demeurés protectionnistes et interventionnistes, mais nous ont convaincus de ne plus l’être. Ils ont ainsi pu aisément combler le vide laissé par le retrait de notre État et la perte de vitesse de nos grands groupes.

Revenons sur les services publics : comment en sommes-nous arrivés là ?

Prenez l’hôpital public : depuis maintenant une vingtaine d’années, on a réduit les moyens, fermé 80 000 lits, 35 % des maternités. Les conditions de travail se sont largement dégradées, avec 30 % des infirmières qui disent vouloir démissionner dans les douze mois et des temps d’attente dans les urgences qui peuvent dépasser dix heures, conduisant à des drames inacceptables.

Je démontre dans le livre comment, au-delà de phénomènes de fond comme le vieillissement de la population ou une hausse du coût des soins, il s’agit en grande partie de la conséquence d’un sabotage organisé, avec une gouvernance bureaucratique de plus en plus déconnectée de la réalité du terrain et un détournement des moyens de l’activité réelle par des acteurs auxiliaires ou parasitaires. « Si je devais remplir tous les formulaires qu’on me demande, je mettrais quatre heures par jour : on ne nous demande plus de soigner des malades mais de soigner des chiffres », témoigne un médecin que j’interroge.

Si on devait résumer, vous avez, au sommet, des dirigeants qui ne s’intéressent plus aux services publics comme l’école ou l’hôpital ; au niveau intermédiaire, une inflation bureaucratique qui détourne les moyens du terrain ; et sur le terrain, des agents à qui l’on exige un nombre croissant de tâches complètement déconnectées de la réalité de leur métier.

Qu’entendez-vous par l’abandon des compétences ?

La France a su bâtir vingt centrales nucléaires en dix ans et ne parvient plus à en bâtir une en vingt ans. Le pays possédant le premier réseau métropolitain au monde ne parvient plus, en dix ans, à finir une seule ligne du Grand Paris Express. En voulant aller vers l’utopie d’un « État minimal », on a supprimé de nombreux postes et débouchés au sein de l’État : des ingénieurs, des techniciens, des experts de la maîtrise d’ouvrage. Jusque dans les écoles d’ingénieurs, y compris publics, qui forment de plus en plus pour la finance et le conseil.

Prenez SIRHEN, ce logiciel commandé par l’Éducation nationale à Capgemini en 2010 : 400 millions d’euros dépensés et 8 ans plus tard, le projet est arrêté sans qu’aucun logiciel fonctionnel n’ait vu le jour, parce que personne dans le ministère n’avait les compétences pour suivre ce que faisait Capgemini. La perte de compétences est telle qu’on ne sait même plus faire faire.

Les dirigeants sont allés jusqu’à rejeter les compétences nécessaires pour gouverner : Emmanuel Macron s’est même attaqué aux corps préfectoral et diplomatique, piliers de la construction étatique française. L’État se retrouve donc aujourd’hui, à l’aube de chantiers gigantesques à réaliser, à chercher parmi une marée de managers génériques et de communicants aussi impuissants que lui, les compétences qu’il a reniées pendant trois décennies.

Que s’est-il passé avec nos X et nos énarques ?

Rentrer au cœur de ce qui s’enseigne aujourd’hui dans les écoles du pouvoir explique beaucoup de choses. Je retrace dans le livre les évolutions récentes de Sciences Po, de l’X, l’ENA ou HEC, pour comprendre comment sont enseignées les idéologies aujourd’hui dominantes.

Pour les X et les énarques, nombre d’entre eux n’ont pas résisté à l’attrait pour le privé ou l’étranger, alors que ce sont les écoles qui devaient initialement former pour le service de l’État. Aujourd’hui, à la sortie de l’X, 70 % vont dans la finance, le conseil ou la data science, et 25 % directement aux États-Unis ou en Angleterre. Avec le paradoxe qu’il y a 80 000 ingénieurs français dans la Silicon Valley, alors qu’il manque 80 000 ingénieurs informatiques en France. Mais c’est aussi l’État qui ne voulait plus d’eux : peu a été fait pour les attirer, au contraire.

La situation est plus grave lorsque les X ou énarques ont emporté avec eux les entreprises publiques dont ils avaient la charge, pour une poignée de commissions et des parachutes dorés… Tant que l’on n’aura pas écrit cette histoire et reconnu ces responsabilités, il sera difficile de reconstruire la confiance.

Comment se reprojeter dans l’avenir quant au rôle de l’État ?

Loin du mythe de la fin de l’Histoire, un pays ne pourra demeurer souverain au XXIe siècle que s’il possède un État fort, capable de défendre ses intérêts économiques, une industrie nationale et la maîtrise de son approvisionnement énergétique. Il faut donc sortir en urgence du mythe du retrait de l’État, qui ne fonctionne pas dans un monde globalisé : si vous retirez votre propre État, c’est simple, vous vous soumettez à un autre.

Pour rebâtir, la France part avec moins de retard que d’autres pays. Nos atouts sont plutôt à réveiller qu’à reconstruire. Nous avons encore de nombreuses compétences au sein de l’administration. Là où d’autres pays, comme le Royaume-Uni, sont allés bien plus loin que nous dans le démantèlement de leur industrie, nous disposons encore de grands groupes industriels. L’Allemagne a fait bien pire que nous en matière de dépendance au gaz russe et au charbon, là où nous avons encore une industrie nucléaire et l’hydroélectricité. Nous pouvons rebâtir plus rapidement.

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Seulement, il y a une bataille des discours à gagner. La puissance passe aussi par l’influence, par la bataille des idées et des normes. Sur ce plan, la France est très en retard. On laisse Bruxelles et les États-Unis et d’autres nous convaincre que nos forces sont des faiblesses, nous faire haïr nos propres succès au point de les démanteler. Le plus urgent, c’est de retrouver la volonté politique de défendre la France et le modèle français. J’élabore des pistes dans le livre sur la façon d’opérer une synthèse entre nos forces héritées du XXe siècle et les besoins d’aujourd’hui. Le réveil est possible, encore faut-il le vouloir.

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Souveraine Tech sur X : "💥 Dans @MarianneleMag, entretien de Maroun Eddé avec @EtienneCampion dans le cadre de la sortie de l'ouvrage "La destruction de l'État" aux @EdBouquins #Alcatel #Nokia #souveraineté https://t.co/QB4E5Hzbp5 https://t.co/XpyG6wTEab" / X

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