#surveillance

thefifthseason@venera.social

With Microsoft’s rollout of the new Outlook for Windows(new window), it appears the company has transformed its email app into a surveillance(new window) tool for targeted advertising.Everyone talks about the privacy-washing(new window) campaigns of Google and Apple as they mine your online data to generate advertising revenue. But now it looks like Outlook is no longer simply an email service(new window); it’s a data collection mechanism for Microsoft’s 772 external partners and an ad delivery system for Microsoft itself.

Here’s how and why.


Time ago we used professional services to safeguard us from external threats. They were and still are good at it, all the big companies do an excellent job and they have the infrastructure and competence to close holes and deal with unexpected threats (fast) when discovered. Very convenient for the user.

The current issue is, now the threat to the user come from the very company and its services instead of externally. Threat, not as in being hacked/cracked or virus, but threat as in privacy violation (yes yes the user agree to all this, but do they really? are they aware of the ToS?), vast data collection from the user.

Microsoft’s privacy policy shows what personal data it may extract:

Name and contact data
Passwords
Demographic data
Payment data
Subscription and licensing data
Search queries
Device and usage data
Error reports and performance data
Voice data
Text, inking, and typing data
Images
Location data
Content
Feedback and ratings
Traffic data

Would any external intruder or virus bother with all that? So who is the bigger threat to your privacy? Yes they all offer good service but at what cost? The invisible cost get collected and used against you.

#Privacy #Microsoft #Outlook #Surveillance #Datacollection
Outlook is Microsoft’s new data collection service

magdoz@diaspora.psyco.fr

Puzzle Women : ces #femmes qui reconstituent les #archives déchirées de la #Stasi

https://www.france24.com/fr/%C3%A9missions/reporters/20240112-puzzle-women-ces-femmes-qui-reconstituent-les-archives-d%C3%A9chir%C3%A9es-de-la-stasi

#Reportage Vidéo par Piped/invidious (33min) : https://piped.adminforge.de/watch?v=svngKF8gZK8 (choisir résolution 720p) ou https://yt.artemislena.eu/watch?v=svngKF8gZK8

In Deutsch :

-- Rekonstruktion der Stasi-Akten Das gescheiterte "Stasi-Puzzle": Rekonstruktion der Akten landet vor Gericht
-- Stasi-Unterlagen: Ein Puzzle mit Abermillionen Teilen

...
Comment ne pas faire le lien avec :
L'image en tête de ce post N'EST PAS issue du reportage de France 24, mais est un montage des images d'une conférence de Julien Vaubourg «Je n'ai rien à cacher». (2015) (vidéo dans l'article) : elle montre la surface de documents collectés par la Stasi, v/s ce que la #surveillance actuelle a accumulé comme #données sur la #population !! Et ça fait froid dans le dos ? Oui..
La conférence est courte, elle dure 30 minutes, elle est à destination des lycéens, donc c'est de la #pédagogie et c'est compréhensible par toutes et tous.

#Frauen #PuzzleWomen #Puzzle-Frauen #PuzzleFrauen #Stasi-Puzzle #StasiPuzzle #Stasi-Unterlagen-Archiv #Espionnage #Berlin #Dresden #Leipzig #Frankfurt-Oder #Histoire #1989 #RFA #RDA #DDR #Überwachung #Politique #NSA #GAFAM #Facebook #Google #ViePrivée #Privacy #JulienVaubourg #Traqueur #Internet

anonymiss@despora.de

US Supreme #Court rejects #Twitter Corp's #surveillance #disclosure #challenge

source: https://www.reuters.com/legal/us-supreme-court-rejects-x-corps-surveillance-disclosure-challenge-2024-01-08/

The justices declined to hear X's appeal of a lower court's ruling holding that the #FBI's restrictions on what the #company could say publicly about the investigations did not violate its free speech rights under the U.S. #Constitution's First Amendment.

#Freedom #USA #law #news #economy #police #internet

anonymiss@despora.de

Meet ‘Link #History,’ #Facebook’s New Way to #Track the #Websites You Visit

source: https://gizmodo.com/meet-link-history-facebook-s-new-way-to-track-the-we-1851134018

When you click on a link in the Facebook or #Instagram apps, the website loads in a special #browser built into the app, rather than your phone’s default browser. In 2022, #privacy researcher Felix Krause found that #Meta injects special “keylogging” #JavaScript onto the website you’re visiting that allows the company to #monitor everything you type and tap on, including passwords. Other apps including #TikTok do the same thing.

#surveillance #web #www #internet #economy #bigbrother #problem #news

anonymiss@despora.de

#AI and Mass #Spying

source: https://www.schneier.com/blog/archives/2023/12/ai-and-mass-spying.html

All the #data will be saved. It will all be searchable, and understandable, in bulk. Tell me who has talked about a particular topic in the past month, and how #discussions about that topic have evolved. Person A did something; check if someone told them to do it. Find everyone who is plotting a #crime, or spreading a rumor, or planning to attend a political #protest.

#surveillance #spy #politics #police #cyberwar #NSA #palantir #china #bigbrother #1984 #orwell #danger #warning #news #problem #economy #internet #technology #humanrights #freedom #military #justice

wazoox@diasp.eu

Pourquoi la promesse de « vidéogérer » les villes avec des caméras couplées à une intelligence artificielle séduit et inquiète

#politique #surveillance #1984

Bienvenue en Chine!

La salle a des allures de centre spatial : un mur de plus de 20 mètres de long totalement recouvert d'écrans, 76 au total, chacun pouvant se diviser en neuf. Ici parviennent les images des 1 300 caméras disposées dans la ville de Nîmes et dans certaines communes de son agglomération.

A la pointe depuis 2001 sur le thème des caméras urbaines, se classant sur le podium des villes les plus vidéosurveillées du pays, Nîmes a inauguré, le 13 novembre 2023, son « hyperviseur ». Ce plateau technique et confidentiel de 600 mètres carrés est entièrement consacré à une « nouvelle démarche de territoire intelligent » , indique le maire (Les Républicains), Jean-Paul Fournier, réélu pour un quatrième mandat en 2020.

Avec cet outil dernier cri, sur lequel se relaient nuit et jour une cinquantaine de personnes, la ville fait un grand pas de plus vers la smart city(la « ville connectée »), une tendance en plein développement pour la gestion des collectivités.

Ce matin-là, les agents en poste peuvent facilement repérer, à partir d'images de très haute qualité, un stationnement gênant, un véhicule qui circule trop vite, un dépotoir sauvage, un comportement étrange… L'hyperviseur concentre toutes les informations en lien avec la gestion de l'espace public (sécurité, circulation, stationnement, environnement…), permet de gérer d'un simple clic l'éclairage public d'un quartier, de mettre une amende à distance (leur nombre a augmenté de 23 % en un an avec la vidéoverbalisation) ou de repérer une intrusion dans un des 375 bâtiments municipaux connectés.

La collecte et la circulation des données en temps réel sont au cœur du programme. Le système s'appuie sur des caméras dotées, et c'est la nouveauté, de logiciels d'intelligence artificielle dont les algorithmes fournissent de nouvelles informations. Car il ne s'agit plus seulement de filmer et de surveiller. « Nous utilisons des caméras qui permettent de gérer en temps réel la ville et apportent des analyses pour optimiser la consommation d'énergie, par exemple, ou gérer un flux de circulation grâce à un logiciel capable de faire du comptage et de la statistique », explique Christelle Michalot, responsable de ce centre opérationnel d'hypervision urbaine.

Reconnaissance faciale

Si la municipalité n'hésite pas à présenter, sur ses réseaux sociaux, ce nouveau dispositif, elle est en revanche beaucoup plus discrète lorsqu'il s'agit d'évoquer les logiciels utilisés. Selon nos informations, la ville travaille avec Ineo, une entreprise française spécialisée dans le domaine de la ville intelligente. Le centre de police municipale est également équipé du logiciel de surveillance automatisée Syndex, et d'un logiciel d'analyse pour images de vidéosurveillance très performant, Briefcam.

Ce dernier logiciel, de plus en plus répandu dans les collectivités françaises, a été mis au point par une société israélienne rachetée par le japonais Canon, en 2018. Il est surtout au cœur de plusieurs polémiques et d'autant d'actions en justice intentées par des syndicats, des associations et des collectifs qui lui reprochent, notamment, de permettre la reconnaissance faciale de n'importe quel individu en activant une fonctionnalité spécifique.

Le 22 novembre 2023, le tribunal administratif de Caen a condamné la communauté de communes normande Cœur-Côte-Fleurie, ardente promotrice de cette solution technologique, « à l'effacement des données à caractère personnel contenues dans le fichier », en estimant que l'utilisation de ce type de caméras dites « intelligentes » était susceptible de constituer « une atteinte grave et manifestement illégale au respect de la vie privée ». D'autres décisions de la justice administrative, comme à Nice et à Lille, n'ont pas condamné l'usage en soi du logiciel, dès lors que la possibilité de procéder à la reconnaissance faciale n'était pas activée.

A Nîmes, le développement de cette « surveillance de masse »inquiète la Ligue des droits de l'homme (LDH), la seule association locale à avoir soulevé la question de l'utilisation des données personnelles au moment de la campagne municipale, et qui, aujourd'hui encore, s'interroge. « Nous avons le sentiment qu'on nous raconte des choses partielles quant à l'utilisation de ces données personnelles », explique le vice-président de l'antenne nîmoise, Jean Launay.

« Nous ne sommes pas vraiment informés, et cela pose la question des libertés individuelles, estime celui qui craint une escalade sans fin. Nous avons décortiqué les logiciels : ils sont prévus pour éventuellement faire de la reconnaissance faciale. C'est juste une affaire de paramétrage. »Reconnaissance faciale officiellement interdite par la loi. Il n'empêche, la LDH estime que « le droit à la vie privée passe par l'existence d'une sphère intime. Et force est de constater que cette sphère, à Nîmes, se réduit comme peau de chagrin », résume M. Launay.

« Des progrès dans de nombreux domaines »

L'élu à la ville et à Nîmes Métropole Frédéric Escojido s'en défend : « Nous ne sommes pas Big Brother ! Et nous ne pouvons pas faire n'importe quoi. L'hyperviseur fonctionne en respectant la loi, le RGPD[règlement général sur la protection des données] et selon un cahier des charges très précis. » Pour moderniser son infrastructure et la transformer en hyperviseur, Nîmes, qui consacre 8 % de son budget annuel à la sécurité et dépense 300 000 euros pour installer entre vingt-cinq et trente nouvelles caméras par an, a déboursé 1 million d'euros.

La métropole s'est inspirée de Dijon, qui a mis en place un poste de commandement partagé avec les vingt-trois communes de son territoire il y a cinq ans. En 2018, elle est arrivée deuxième aux World Smart City Awards, le prix mondial de la ville intelligente.

Dans l'agglomération, de grands panneaux lumineux indiquent en temps réel des situations précises. Un accident, et les automobilistes en sont informés dans les secondes qui suivent par le biais de ces mâts citadins ou sur leur smartphone, ce qui leur permet d'éviter le secteur. Baptisé « OnDijon », ce projet, qui mise aussi sur l'open data, a nécessité un investissement de 105 millions d'euros. La ville s'est associée à des entreprises privées (Bouygues Telecom, Citelum, Suez et Capgemini).

A Dijon, un comité d'éthique et de gouvernance de la donnée a été mis en place. Il réunit des habitants, des représentants de la collectivité, des associations et des entreprises pour établir une charte « de la donnée numérique et des usages, explique Denis Hameau, adjoint au maire (socialiste) François Rebsamen et élu communautaire. La technique permet de faire des progrès dans de nombreux domaines, il faut s'assurer qu'elle produit des choses justes dans un cadre fixe. Les données ne sont pas là pour opprimer les gens, ni les fliquer ».

Des « systèmes susceptibles de modifier votre comportement »

Nice, Angers, Lyon, Deauville (Calvados), Orléans… Les villes vidéogérées, de toutes tailles, se multiplient, et avec elles les questions éthiques concernant l'usage, pour le moment assez flou, des données personnelles et la surveillance individuelle, même si peu de citoyens semblent s'en emparer.

La Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL), elle, veille. « Les systèmes deviennent de plus en plus performants, avec des caméras numériques capables de faire du 360 degrés et de zoomer,observe Thomas Dautieu, directeur de l'accompagnement juridique de la CNIL. Et il y a un nouveau phénomène : certaines d'entre elles sont augmentées, c'est-à-dire capables d'analyser, et ne se contentent pas de filmer. Elles intègrent un logiciel capable de faire parler les images, et ces images vont dire des choses. »

Cette nouveauté est au cœur de nouveaux enjeux : « On passe d'une situation où on était filmé dans la rue à une situation où nous sommes analysés,reprend Thomas Dautieu . Avec l'éventuel développement des caméras augmentées, quand vous mettrez un pied dans la rue, si vous restez trop longtemps sur un banc, si vous prenez un sens interdit, vous pourrez être filmé et analysé. Ces systèmes sont susceptibles de modifier votre comportement dans l'espace public. Si l'individu sait qu'il va déclencher une alerte s'il se met à courir, peut-être qu'il ne va pas courir. Et cela doit tous nous interpeller. »

Actuellement, juridiquement, ces caméras augmentées ne peuvent analyser que des objets (camions, voitures, vélos) à des fins statistiques. « Celles capables d'analyser des comportements individuels ne peuvent être déployées », assure le directeur à la CNIL. Mais c'est une question de temps. « Ce sera prochainement possible, sous réserve qu'elles soient déployées à l'occasion d'événements particuliers. » Comme les Jeux olympiques.

Le 19 mai 2023, le Parlement a adopté une loi pour mieux encadrer l'usage de la vidéoprotection dite « intelligente ». « Le texte permet une expérimentation de ces dispositifs, et impose que ces algorithmes ne soient mis en place, avec autorisation préfectorale, dans le temps et l'espace, que pour une durée limitée, par exemple pour un grand événement comme un concert. Ce qui veut dire que, en dehors de ces cas, ce type de dispositif ne peut pas être déployé » , insiste Thomas Dautieu. La CNIL, qui a déjà entamé des contrôles de centres d'hypervision urbains en 2023, en fait l'une de ses priorités pour 2024.

https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/01/02/pourquoi-la-promesse-de-videogerer-les-villes-avec-des-cameras-couplees-a-une-intelligence-artificielle-seduit-et-inquiete_6208686_3224.html

magdoz@diaspora.psyco.fr
wazoox@diasp.eu

In 2024, please switch to Firefox – Roy Tanck

#GAFAM #surveillance #freedom #mindcontrol #capitalism

This December, if there’s one tech New Year’s resolution I’d encourage you to have, it’s switching to the only remaining ethical web browser, Firefox. According to recent posts on social media, Firefox’s market share is slipping. We should not let that happen. There are two main reasons why switching is important.

https://roytanck.com/2023/12/23/in-2024-please-switch-to-firefox/

mlansbury@despora.de

🏷️ It’s a Privacy Fash Sale 🏷️

And everything must go!

🟡 Rights: SLASHED.
🟡 Parliamentary scrutiny: SLASHED.

The government is offering welfare surveillance to every benefit claimant, whether you like it or not!

Say no, while you still have a chance:

https://action.openrightsgroup.org/hands-off-our-data

#UnitedKingdom #Orwellian .#dictatorship #DemocracyLost #ToryScum #petition #privacy #security #PoliceState #surveillance #ThoughtPolice #dystopia #DystopianBritain

mlansbury@despora.de

Petition/Campaign to Stop the Data Grab Bill

The Data Protection and Digital Information Bill will gut UK privacy laws, attacking our ability to challenge data abuse and expanding ways in which the Government can snoop on you.

The bill contains powers that would enable them to snoop on the bank accounts and financial assets of anyone who claims ANY benefit. That includes child benefit and the state pension, alongside tax credits and universal credit.

https://action.openrightsgroup.org/hands-off-our-data

#ToryFascists #fascism #ToryScum #Orwellian #spying #surveillance #UK #BigData #privacy #HumanRights #ToryScum #PoliceState #pensions #digital #DataGrab

anonymiss@despora.de

#StephenFry on How to use #AI as a force for good

source: https://www.youtube.com/watch?v=zZfS8uk70Zc

How can the coming flood of technological progress, which will not stop at current developments such as big data-based and algorithmically generated statistical models with their astonishing capabilities and failures - i.e. current #AI systems - but lead to a further acceleration of innovation with increasing technological performance in computing? Today, we are thinking about an epistemic #crisis of world #knowledge in times of #deepfakes, #surveillance and bioweapons through AI, while brain-computer interfaces and quantum computers are already appearing on the horizon today. At the same time, #climate #change is probably the most outstanding of all crises, which has already been showing its first effects for several years and is setting new records with constantly rising #emissions. In short, how can we ensure that the coming real-life version of what is commonly referred to as "Singularity" turns out for the good of #humanity?


#singularity #future #technology #ethics #moral #humanrights #politics #economy #video #philosophy