#école

angeliqueandthehord@diaspora-fr.org

ÇA COMMENÇAIT BIEN

C'est à partir de ce moment-là que Nani me parla d'une grande maison que les hommes ont bâtie pour les enfants ; une grande maison dans laquelle il n'y a que des enfants et pas de parents ; dans laquelle tous les enfants ont le droit d'aller pour se rencontrer, devenir amis et passer toute la journée ensemble.

De prime abord, il me parut que les hommes avaient fait le plus beau cadeau dont les enfants eussent pu rêver, que nous allions enfin pouvoir bâtir un monde dans lequel il fait bon vivre.

La maison des enfants ! La maison des rêves !

C'est ce que je crus jusqu'à ce que j'apprisse qu'une bonne femme qui se faisait appeler maîtresse - une intruse, donc - cassait le rêve par sa présence.

Quelle trahison, de la part de l'homme, d'avoir pris une maîtresse ! Il a tout gâché.

En fait, Nani m'expliqua que la maîtresse est une gentille dame qui ne vient dans l'école que pour donner un léger coup de pouce aux enfants qui ont entrepris d'apprendre à lire et à écrire. En dehors de ça, elle sait se montrer discrète, de sorte que les enfants ne soient pas gênés par sa présence et que l'école puisse fonctionner exactement comme si elle n'était pas là.

Du moins, c'est ce que je crus comprendre…

De déception en déception, j'acceptai finalement, tenant compte des nombreuses restrictions dont l'école est frappée, de la fréquenter deux années consécutives : une pour me consacrer à l'amitié (maternelle) et la seconde pour apprendre à lire et à écrire (grande école).


SEX AND DESTROY un nouveau son rock ?
1ère partie : DATE ET LIEU DE NAISSANCE
Chapitre 4 : Les garçons de la maternelle
section 8 sur 10


#école #sœur #projet #maison #enfants

bliter@diaspora-fr.org

#Émeutes au #Stade de #France, #Affaire Abad : le #quinquennat commence mal ! [BEST OF LIVE #16] - #JSPC

SOMMAIRE :
00:00:00 - Introduction
00:00:48 - #AnneHidalgo dans la tourmente !
00:12:06 - L'affaire #DamienAbad
00:28:21 - Mon avis sur le #nouveau #Gouvernement
00:35:45 - Les #présidentielles étaient-elles truquées ?
00:46:25 - Petite crotte de nez à #Bégaudeau
00:50:44 - Les #émeutes du #StadedeFrance
01:22:50 - Après l' #hôpital, au tour de l' #école !

https://www.youtube.com/watch?v=Db3OmpXp8BU
#humour #politique

bliter@diaspora-fr.org

L' #école #fabrique des #consommateurs semi-illettrés - Le Zoom - Jean-Paul Brighelli - #TVL

L'École de la #transmission des #savoirs et de la #formation des #citoyens est à l'agonie. Elle accomplit aujourd'hui ce pour quoi on l'a programmée voici un demi-siècle : adaptée aux nécessités du #marché, elle fabrique à la chaîne une masse de consommateurs semi-illettrés et satisfaits d'eux-mêmes. Soucieuse d'élaborer enfin l' #égalité promise par la #République en nivelant par le bas, elle a réussi à #détruire ce que la #France avait mis deux cents ans à élaborer. Pourquoi l' #Éducation #nationale a-t-elle autorisé les dérives successives qui ont amené à l' #apocalypse #scolaire ? Jean-Paul Brighelli, agrégé de Lettres, qui a enseigné pendant 45 ans, répond à cette question dans son dernier ouvrage "La fabrique du crétin - Vers l'apocalypse scolaire", le tome 2 de son succès d'édition, déjà vendu à 150 000 exemplaires.

https://www.youtube.com/watch?v=ybJ43OZwvZE
#politique #analyse

bliter@diaspora-fr.org

[ #Présidentielle 2022] - #Analyse du #meeting de #Macron à l’Aréna. (Rediff Twitch) - #TroubleFait

Analyse à chaud de l’unique meeting de Macron à l’Aréna.

[Time code]
00:00 - Intro
01:40 - Interview de #Castaner
18:52 - Pré-meeting
26:50 - #Interview d’un jeune maire #macroniste
31:00 - Pré-meeting
35:40 - Baptiste la mascotte
1:11:40 - Des #Boomer et du JAM
1:24:40 - Début du meeting : bilan et autopromotion
2:12:40 - Promesse sociale
3:00:00 - La #ruralité + #SNCF
3:06:00 - #Sécurité. #Police + #justice
3:09:00 - Les grandes causes du quinquennat
3:22:00 - #Privatisation de l’ #école
3:40:00 - Privatisation de la #santé
3:58:00 - 2min sur la #dette
4:01:40 - #Travailler plus pour financer mes promesses
4:23:00 - Les débilitées habituelles sur l’ #UE.
5:23:00 - Conclusion

https://www.youtube.com/watch?v=uxblGLLS0Uk
#politique #élection

fl@diaspora.psyco.fr

#diaspora #internet #réseau #social #partager #enfant #criminalité #protéger #pédophilie #aider #dénoncer #dire #parler #conseiller #anonyme #prévention #suisse #soutient #parents #victimes #harcèlement #psychologie #droit #adolescent #école #éducation #

En Suisse ils ont créé un site internet pour annoncer anonymement des pages de pédophilie qui se trouveraient sur internet, cela peut sauver les enfants. Vous pouvez aussi trouver des conseils pour aider les jeune à faire face et à agir face à ce type d'images #pédocriminelles.

Le site est là : https://www.clickandstop.ch/

royae@diaspora-fr.org

« Emmanuel Macron n’est que le dernier avatar de la politique de dépérissement de l’Etat social »

estime le juriste Alain Supiot

S’il fallait résumer d’une formule le bilan social du quinquennat finissant, ce pourrait être « l’Etat contre l’Etat », c’est-à-dire le démantèlement de l’Etat par lui-même. Le sort actuel d’EDF en offre une parfaite illustration. EDF a été créée en 1946 pour assurer la continuité et l’égalité d’accès à l’énergie de toute la population, dans des conditions économiques abordables. Forte de ce consensus politique et social, de la compétence de ses ingénieurs et de l’autonomie que lui conférait son statut d’entreprise publique, EDF était devenue un leader mondial dans son domaine jusqu’à ce qu’en 1999, obéissant aux directives européennes, le gouvernement entame son démantèlement pour revenir à la situation des années 1930, d’un marché de l’énergie ouvert à la libre concurrence. Ce marché largement fictif (EDF est le seul producteur) s’avérant aujourd’hui incapable d’assurer la continuité et la modicité du service, le gouvernement en tire argument, non pour restaurer le service public de l’électricité, mais bien au contraire pour obliger EDF à soutenir artificiellement ses concurrentes, la privant ainsi des ressources nécessaires aux investissements qu’appelle notamment la transition écologique.

En l’absence cette fois de toute consigne européenne, les mêmes méthodes sont appliquées à la Sécurité sociale. Egalement créée à la Libération, elle jouissait, elle aussi – à la différence du système britannique –, d’une autonomie à l’égard de l’Etat. Cette autonomie interdisait notamment à l’Etat de puiser dans ses caisses. Aujourd’hui, le gouvernement en a pris l’entier contrôle et lui impose de s’endetter pour payer ses propres factures. Il n’est pas de jour où l’on n’aggrave pas ses charges tout en diminuant ses ressources, créant ainsi les conditions de sa faillite et de l’ouverture au marché des assurances santé ou vieillesse.

Convergence des marxistes et des libéraux

L’actuel président, dont François Hollande a pu écrire : « Macron, c’est moi », n’est que le dernier avatar de cette politique de dépérissement de l’Etat social. Au nom de la « République contractuelle », qu’aussitôt élu il a promis d’établir devant le Parlement réuni en Congrès, il s’est efforcé de démanteler tous les statuts garantis par l’Etat. Promesse tenue avec la casse méthodique de tous les statuts professionnels (statut salarial, fonction publique, cheminots, préfets, diplomates, universitaires…) et la paupérisation de tous les services publics (police, hôpitaux, tribunaux, écoles ou universités). Diriger ainsi l’Etat comme une start-up n’a pas empêché l’aggravation du déficit commercial. Les responsabilités en ce domaine seraient aussi à rechercher du côté des « élites économiques » qui, contrairement à leurs homologues allemandes, ont fait depuis trente ans le choix de la financiarisation et de la désindustrialisation. Elles sont enclines – trait bien français – à toujours imputer à l’Etat leurs propres insuffisances. Car en France, l’Etat demeure l’objet de toutes les attentes et la cible de toutes les critiques, ce qui rend son autodémantèlement particulièrement dangereux.

Mais les uns comme les autres ont considéré que dans une phase intermédiaire, il convenait d’exacerber le pouvoir de l’Etat pour assurer la dictature du prolétariat ou celle du marché. Telle fut la position de Lénine ou de Trotski, selon qui « l’Etat, avant de disparaître, prend la forme de la dictature du prolétariat, c’est-à-dire de l’Etat le plus impitoyable, qui s’empare impérieusement de la vie des citoyens ». Telle fut également celle des « Chicago Boys » et de Margaret Thatcher, qui ont soutenu la dictature chilienne d’Augusto Pinochet.

Mirage dangereux

Le monde d’après-Covid-19 a donc peu de chances d’être celui du retour des jours heureux. Plus probable est la répétition du scénario qui a suivi l’implosion des marchés financiers en 2008. Après que les Etats se sont endettés pour payer la note faramineuse de leurs dérèglements, argument a été pris de cet endettement pour « passer la vitesse supérieure » (ce fut dès 2010 le mot d’ordre de l’OCDE) dans le sens des « réformes structurelles » exigées par… les marchés financiers. Mises en œuvre depuis la fin du XXe siècle, ces réformes consistent à privatiser les segments les plus lucratifs du secteur public et à soumettre le reste au « New Public Management », c’est-à-dire à une gouvernance par les nombres, de facture post-soviétique, qui combine inflation bureaucratique et réduction constante des moyens alloués au service réel du public. Les effets de cette gouvernance ont été parfaitement saisis par les personnels de santé qui, dès 2015, ont dénoncé le fait de devoir « soigner l’indice plutôt que le patient ». Les gouvernements successifs sont restés sourds aux alertes lancées par les agents publics, car pour des dirigeants se pensant – dans la grande tradition léniniste – à l’avant-garde du sens de l’histoire, les syndicats sont une courroie de transmission dont la seule tâche est de faire la pédagogie pour des travailleurs ignorant les lois immanentes de l’économie.

L’invention de ce que, depuis 1946, notre Constitution nomme la République sociale avait consisté au contraire à compléter la citoyenneté politique par une citoyenneté économique, qui permet aux dirigés de faire la pédagogie des dirigeants et les prémunit ainsi d’une politique « hors-sol ». C’est cette invention qui avait restauré la légitimité de l’Etat et assuré, au XXe siècle, la victoire des démocraties sur les régimes autoritaires. S’employer à le défaire méthodiquement au lieu de le réformer démocratiquement ne peut conduire qu’à la violence. La « République contractuelle » est un mirage dangereux, car les sociétés humaines ne peuvent être réduites à une poussière de particules contractantes. Privés d’un tiers garant de leur état civil et professionnel, les humains se regroupent en tribus hostiles, selon une logique amis/ennemis qui est le degré zéro du politique et dont les médias nous donnent tous les jours le désolant spectacle.

Alain Supiot est professeur émérite au Collège de France. Il a notamment écrit « La Gouvernance par les nombres » (Fayard, 2020).
#présidentielle #macron #hollande #état #déconstruction #école #université #EDF #industrie #guerre #marxisme #libéralisme #finance

angeliqueandthehord@joindiaspora.com

LA CORRECTION

Je ne voulais pas aller à l'école. J'avais fait le cours préparatoire jusqu'au bout. Ma maîtresse du cours préparatoire avait été très bien mais je n'étais absolument pas prête à m'engager dans une nouvelle année à l'école et si je faisais cette nouvelle rentrée scolaire, c'est exclusivement parce que j'y étais contrainte.

Alors, tout naturellement, à la question : « pourquoi on vient à l'école », j'ai répondu :
« Parce que c'est obligé. »

La maîtresse aurait pu en parler avec moi, me donner des raisons d'adulte pour justifier de cette obligation. J'étais tout à fait ouverte à la discussion, la preuve : moi, la première, j'ai levé la main dans cette nouvelle salle de classe, alors que la maîtresse venait de nous appeler à la réflexion.

À la place, elle m'a rabrouée, rabaissée comme si je venais de dire la pire des âneries. Passons !

D'autres élèves se sont hasardées à lever la main pour présenter à la maîtresse des réponses plus nuancées : on aime bien l'école, on n'aime pas toujours très bien mais on en espère ci, on voudrait y apprendre ça…

Ça m'interpelait quelque part. Retourner à l'école pour acquérir de nouvelles connaissances ? Certainement, l'idée était alléchante mais pas tout de suite. Je n'avais pas encore digéré tout ce dont j'avais été gavée au cours préparatoire. Je voulais bien, éventuellement, retourner à l'école plus tard ; je voulais bien élaborer un futur projet d'école mais, dans l'immédiat, j'avais besoin de temps pour me reconstruire et faire miennes les connaissances que j'avais reçues au cours préparatoire. Sans cela, apprendre ne présente aucune utilité et c'est la raison majeure pour laquelle je n'acceptais pas cette nouvelle année d'école. Je savais que je ne pouvais qu'y perdre un temps précieux que j'avais à cœur de consacrer à des choses importantes.

Rien à faire ! la maîtresse a réfuté négligemment comme de mièvres réponses toutes celles qui lui ont été présentées pour ensuite porter aux nues celle qui récita :
« On vient à l'école pour préparer notre avenir ? »

Quelle brillante élève que celle qui, au lieu de répondre avec franchise, a préféré biaiser en répétant, sans l'enrichir le moins du monde de sa pensée personnelle, un truc qu'elle avait entendu dire ! C'était une réponse de maîtresse, ça. Il fallait la laisser à la maîtresse et chercher des arguments qui nous étaient propres. C'est ça, réfléchir.

Enfin bref…

Mon avenir, c'était mon instinct de survie, ma responsabilité. Mon avenir, c'était mon jeu de construction à moi. Il restait à la maison. Jamais je ne l'aurais apporté à l'école, de peur qu'on me l'abîmât.

Quant à l'avenir de l'école, c'est sa responsabilité, pas la mienne. Qu'elle reçoive, selon toute justice, le bien et le mal qu'elle répand ! Je n'avais pas, envers elle, le devoir de venir y perdre mon temps au nom de son avenir. Mon devoir était de m'enfermer dans ma chambre, y faire grandir dans le bonheur et la tranquillité le germe de connaissance qu'elle venait de me transmettre, de sorte à lui en offrir le fruit le jour où il serait mûr.

En conséquence de quoi « on vient à l'école pour préparer son avenir » est une réponse fausse dans les deux sens proposés et mérite un zéro.

Qu'on en prenne son parti ou non, c'est parce qu'on y est obligé qu'on va à l'école. En plus, c'est très courageux de regarder cette vérité en face au lieu de faire la politique de l'autruche, quand on a sept ans et qu'on a le moral détruit par le fait qu'on se retrouve enfermé dans une nouvelle classe dans laquelle on se sait condamné à devoir rester assis sans bouger ni parler pour une durée équivalente au septième de l'âge qu'on a atteint. La maîtresse me doit des excuses pour m'avoir rabaissée au lieu de me féliciter. J'ai répondu avec justesse.


SEX AND DESTROY un nouveau son rock ?
2ème partie : LA PRINCESSE DANS LE DONJON
Chapitre 15 : Mon choix
section 6 sur 26


#école #avenir #responsabilité #vérité #réflexion

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

Témoignage

J'aurais beaucoup de choses à dire sur l' #école. Je vais me concentrer ici sur un point particulier : l' #apprentissage des maths.

Toute ma #scolarité durant, j'ai été une brèle en #math. J'ai des souvenirs précis. Vous voyez les "calculs écrits", qu'on apprend en CM1 ou CM2 ? Je ne sais toujours pas résoudre une division de cette manière, mais je fais encore des cauchemars de leur apprentissage. Les premières #équations en 6ème... la torture. J'ai eu besoin de cours de rattrapage tellement je n'y pigeais rien. J'étais le seul dans ce cas dans ma classe ! Et même avec ces derniers, et bien, au final, je n'y pigeais toujours rien.

Bref, vous voyez le genre du gusse. J'arrivais à passer à trav' dans les autres matières sans trop d'effort. Mais les maths... FFS.

Toute ma scolarité durant, donc... sauf UNE année. En seconde, on a eu un prof de math formidable. Concret. Pratique. Physique dans ses explications, gestuel, vivant, et proposant pleins de moyens mnémotechniques pour se rappeler comment appréhender tel ou tel élément. Révélation totale. Immédiatement, je ne tapais plus que des 18, des 20 (en Belgique on a des contrôles d'évaluation continue). Je me suis retrouvé à être celui à qui les autres demandaient de leur expliquer certains points. Je faisais plus que comprendre les #maths : je les ressentais en moi. Et la cerise sur le gâteau, c'est que j'adorais ça. J'étais tellement stimulé ! Bon, ça a duré un an. Puis vint la première. On nous assigna alors un autre prof, un type barbant, académique comme la plupart des autres. Retour à la case départ. Moyenne de 5 en #math. Ça a eu beaucoup d'impact sur mon moral et ça a été un des nombreux facteurs qui m'ont fait quitter le lycée en milieu d'année (avant quelques années de galère), mais ça, ce sera pour une autre fois.

Aujourd'hui encore, je me dis que si ça trouve je suis un #mathématicien raté faute d'un apprentissage adapté. Sans doute pas, hein, mais qui le saura jamais à coup sûr ?

La conclusion c'est que, bordel, si on pouvait avoir un enseignement plus adapté aux spécificités intellectuelles de chaque gamin·e, qui sait quels trésors cachés on trouverait dans chacun·e d'entre-elleux ?

#mathématique #école #autisme #tdah#éducation #enseignement #pédagogie

entreleslignesentrelesmots@framasphere.org

SOS Ecole Université – Pour un système éducatif démocratique

Comme tout ouvrage collectif, celui-ci est hétérogène et chacun y puisera par une lecture sélective pour agir dans la perspective donnée par le sous-titre: défendre la démocratie à tous les niveaux de l’enseignement. Les auteurs, enseignants engagés ou chercheurs, individuels ou collectifs, comme le groupe JP Vernant, travaillent sur deux interrogations : que nous arrive-t-il ? Que faire collectivement pour résister au gigantesque mouvement de marchandisation de nos vies et de caporalisation de nos institutions, imposé à coup d’ordonnances, lois, décrets ou instructions diverses ? Malgré la structuration en trois parties, ce sont bien ces deux questions qui fondent l’ouvrage. Nous repérons cependant trois objets : analyser un état des lieux, rendre compte de modes de résistance, proposer des éléments programmatiques.

https://entreleslignesentrelesmots.blog/2021/10/13/sos-ecole-universite-pour-un-systeme-educatif-democratique-3/

#école #université

bliter@diaspora-fr.org

Valentin Sansonetti : #Capitalisme et #Sport : #jeu, set et match ! - #FranckLepage

#conférence gesticulée : le sport c'est bien mais quand est-ce qu'on joue ?

Les « valeurs du sport » une formule que vous avez probablement déjà entendue. Vous les connaissez peut-être : le sport est #éducatif, il est dans l’intérêt des #enfants, il apprend le dépassement de soi, la #confiance en soi. Après tout le sport c’est la #santé, la #solidarité, l’ #intégration, c’est l’ #école de la #vie… Des courts de tennis des structures de haut niveau jusqu’aux bancs de la #fac de sciences sociales, en passant par la batterie, Valentin vient vous raconter pourquoi il a cessé de croire aux valeurs du sport.

https://www.youtube.com/watch?v=wqFEUZZzw2w

miks@pod.g3l.org

Les émotions.
Les émotions

Nous le savons, basés sur de nombreuses études scientifiques, les émotions de l'être humain se construisent grâce à l'exemple (neurones miroir notamment), c'est à dire le fait que les enfants voient les expressions sur le visage des adultes qui les entourent et peuvent ainsi les répéter.
Les signes physiques des émotions sur les visages sont extrêmement important dans la construction psychologique de tout enfant.

Les émotions pour les enfants depuis 2020

Le masque, couvrant la moitié du visage, est donc un frein important à cette construction naturelle de l'enfant.
Depuis 2020, de nombreux spécialistes alertent sans arrêt sur la dangerosité des masques en crèche et à l'école...

#covid #masques #enfance #education #crèches #école #émotions #emotions #psychologie #enfant #bébé #nourrisson