#conservateurs

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #élection #NFP #conservateurs #centre #gauche #majorité #pouvoir #vote #ressentiment #colère #alliances #mytext

Concerto,

Modem-Horizon-Renaissance-LR voilà un quatuor qui n’aura pas trop de mal à jouer de concert sous la houlette d’un Macron Maestro. La gauche en solo et le RN en sourdine. C’est « bien sûr » leur rêve de « l’Arc Républicain ». Il faut malgré les dénis des chœurs effarouchés, bien voir qu’une symphonie des pouvoirs au centre est toujours à leur portée.

C’est vrai le NFP a le plus de sièges. Mais le « centre mathématique » a la majorité à l’assemblée, et c’est elle qui malgré les inévitables claps sera amenée à coup sûr à mener la danse. C’est un fait. Les alliances font toujours le jeu des conservateurs. Attention au jeu de dupe des manipulations et des impasses qui profiterait à une oligarchie toujours en embuscade.

Comment se retrouver dans cette cacophonie et s’imposer pour faire jouer sa partition ? Travailler ensemble sans rodomontade pour trouver point par point une possible cohésion polyphonique et rendre compte aux électeurs des résultats et des difficultés rencontrées. « Il ne faut pas désespérer Billancourt » disait Sartre mais il ne faut pas non plus lui mentir. Le peuple de gauche est capable de comprendre la nécessité de dépasser les clivages pour réussir. Les voix de gauche devront inévitablement être prises en compte. Alimenter le ressentiment et la colère par le mépris affiché des conservateurs de toutes obédiences n’effacera pas le bien-fondé de notre combat.

Pourra-t’on compter sur l’engagement de la société civile et des syndicats pour faire pression et imposer une réponse à l’urgence sociale ? L’état de syndicalisation le permettra-t’il ? C’est le point de bascule. Avancer sans se disperser et avoir confiance dans la pertinence de son combat.
Mireille MOUTTE

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #élection #majorité #démocratie #NFP #conservateurs #oligarchie #politique #social

Concert,
Modem-Horizon-Renaissance-LR voilà un quatuor qui n’aura pas trop de mal à jouer de concert sous la houlette d’un Macron Maestro. La gauche en solo et le RN en sourdine. C’est « bien sûr » leur rêve de « l’Arc Républicain ». Il faut malgré les dénis des chœurs effarouchés, bien voir qu’une symphonie des pouvoirs au centre est toujours à leur portée.
C’est vrai le NFP a le plus de sièges. Mais le « centre mathématique » a la majorité à l’assemblée, et c’est elle qui malgré les inévitables claps sera amenée à coup sûr à mener la danse. C’est un fait. Les alliances font toujours le jeu des conservateurs. Attention au jeu de dupe des manipulations et des impasses qui profiterait à une oligarchie toujours en embuscade.
Comment se retrouver dans cette cacophonie et s’imposer pour faire jouer sa partition ? Travailler ensemble sans rodomontade pour trouver point par point une possible cohésion polyphonique et rendre compte aux électeurs des résultats et des difficultés rencontrées. « Il ne faut pas désespérer Billancourt » disait Sartre mais il ne faut pas non plus lui mentir. Le peuple de gauche est capable de comprendre la nécessité de dépasser les clivages pour réussir. Les voix de gauche devront inévitablement être prises en compte malgré le mépris affiché des conservateurs de toutes obédiences pour le bien-fondé de leur combat.
Pourra-t’on compter sur l’engagement de la société civile et des syndicats pour faire pression et imposer une réponse à l’urgence sociale ? L’état de syndicalisation le permettra-t’il ? C’est le point de bascule. Avancer sans se disperser et avoir confiance dans la pertinence de son combat.
Mireille MOUTTE

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #élection #politique #vote #immobilisme #société #expérimenter #idéologie #conservateurs #progressiste #changement

Jour 0, d’une nouvelle bipartition politique ?
La mémoire ? La culture ? La curiosité ? Des qualités qui manquent à nombre de mes contemporains, et même à la majorité des votants de mon village. Si j’étais diplomate, je les traiterais de brebis égarées, mais je ne suis pas diplomate. Je préfère les considérer comme de dangereux égoïstes qui ne voient pas plus loin que le bout de leur nez et croient qu’il existe des solutions miraculeuses à leurs problèmes. Leur naïveté politique ne les rend pas moins inconséquents. Je n’ai aucune envie de les brosser dans le sens du poil.

Je n’ai jamais aimé la démocratie élective, et je l’aime encore moins aujourd’hui. Je continue de croire que voter n’a aucune pertinence, la preuve : le vote a souvent mené au pouvoir des assassins et des psychopathes, toujours des ambitieux. Mais je vote désormais, parce que comme ma génération a été incapable de dépasser le vote, il ne nous reste plus que ça, et les mots avant les armes, pour faire barrage à l’ignominie.

Attendre de personnages providentiels des solutions à des problèmes déjà mal posés revient à prier des divinités mystérieuses, aux pouvoirs incertains, et à leur faire confiance parce qu’elles brillent de mille discours charmeurs. La plupart des électeurs accordent moins d’importance à leur bulletin qu’à un billet de banque. Ils le donnent avec une confiance déroutante au premier venu, sans réellement réfléchir, avec une générosité qui d’habitude leur fait défaut. Ils jouent avec le bulletin parce qu’il ne leur coûte pas, oubliant que le coût a été payé par les générations passées. Ils le dilapident non sans perversion, oubliant que pour commencer ils se font mal à eux-mêmes.

Ils votent pour les extrêmes, mais paradoxalement à cause d’une normalité intellectuelle confondante, cette normalité qui implique l’immobilisme, et fait que la société a du mal à se mouvoir dans un monde lui-même en bouleversement constant. Ils accusent leur propre immobilisme de tous leurs maux, et plutôt que se remettre en route, ils invoquent des solutions dépassées pour affronter des problèmes nouveaux, ce qui ne peut qu’entraîner des désastres.

L’immobilisme est un mal politique. Le mal politique, parce que ce qui était bon hier ne peut plus l’être aujourd’hui. Regardez donc, tout change autour de nous : le climat, les technologies, l’économie, l’agriculture, le commerce… Vous voudriez rester tranquillement perché sur votre île et regarder le fleuve couler autour ? Vous pouvez toujours rêver, pendant que le fleuve ronge les berges de l’île avant de la balayer.

Le changement ne se refuse pas, il s’embrasse au contraire, ce à quoi répugne même les politiciens les plus modérés, pour résultat d’imiter leurs plus honnis adversaires, et de ne faire que les renforcer. Quand on a peur du changement, on a la peur et le changement, et des changements souvent moins agréables que si on les avait accompagnés, voire anticipés.

« Accepter de changer » devrait être le seul programme politique digne d’intérêt. Revenir à la vieille opposition progressistes contre conservateurs, bien que le mot « progressiste » ne vaille pas un clou. Il laisse croire qu’il y a toujours un progrès, alors que la seule chose sûre, c’est la subsistance d’un changement face auquel nous devons sans cesse nous adapter. Contre les « immobilistes » pourraient se lever les réformateurs, les entrepreneurs, les pionniers, les curieux, les amoureux, les informés, les fluides… J’ai du mal à trouver le mot pour les résumer, pour nous résumer. Expérimentateurs ! Oui, c’est mieux. Les immobilistes, sûrs de savoir ce qui est bon pour eux et le monde, face aux expérimentateurs, qui doutent, mais toujours prêts à essayer de nouvelles solutions pour s’adapter aux changements. Plutôt que débarquer au pouvoir avec une valise de mesurettes, ils inventeraient des myriades de solutions ad hoc.

Les vieux clivages, et leur jeu de chaises musicales nous font tourner en rond depuis trop longtemps, tentant de faire croire à un mouvement qui se limite à une minuscule orbite autour d’un point infime. Vu de loin, il ne se passe rien, absolument rien. Tout est bloqué, et chaque tentative de réorientation soulève les immobilistes, de plus en plus effrayés, prêts à tout pour enrayer le système, jusqu’à ramener en son cœur les immobilistes les plus extrêmes.

Pourtant, face à l’accélération du monde, il y a urgence à rassembler les expérimentateurs, à en faire une force réelle et non plus seulement fantasmagorique. Leur seul programme : expérimenter. Quand quelque chose marche mal, essayer d’autres choses, les comparer, les mettre en concurrence, choisir les meilleures, exactement comme les médecins le font avec les nouveaux traitements. Jusque là, les politiciens ont mis sur le marché des médicaments qui n’ont jamais été testés, ou qui au contraire ont déjà démontré leur inefficacité, voire leur malignité.

L’expérimentation est une idéologie, bien sûr, impossible de faire de la politique, ou même de la penser, sans idéologie, mais elle repose sur la seule volonté d’aller de l’avant, en préservant la justice sociale, en faisant en sorte que les lendemains ne soient pas pires, en rêvant de rendre quelques coins du monde harmonieux.

J’ai commencé à écrire ce texte dans mon journal, pour dire mon état d’esprit après l’élection la plus dévastatrice que j’ai vécue, et anticiper la prochaine qui risque d’être plus inquiétante encore. Mon texte s’est allongé, je pourrais presque en faire un traité politique, et je me suis dit autant le partager tout de suite, bien que je répugne à surfer sur la vague des mauvaises nouvelles. Mais peut-être qu’il y a urgence cette fois, alors que le climat déraille et que la guerre fait rage aux frontières de l’Europe. Nous avons besoin d’un changement radical. J’ai toutefois peur que les immobilistes aient le vent en poupe. Ils sont la plus mauvaise réaction à ce qui nous arrive. Ils sont une maladie auto-immune. Thierry Crouzet

Billet posté sur tcrouzet.com le 10/06/24

xrlavache@diaspora.psyco.fr
magdoz@diaspora.psyco.fr

Tiens... Ronald #Reagan déjà, utilisait ce slogan #MAGA Make America Great Again...
Comme #Trump ... Les #Conservateurs... faudrait envisager de changer de disquette, tout doucement, non ?
La fête est finie.
À 4min16 : https://invidious.fdn.fr/watch?v=JOQ2bj54-e0&t=4m16s
Et bien sûr, avec les promesses de la #richesse qui va ruisseler vers le #peuple... La vaseline, c'était en plus, par contre.

Heureusement pour les Con-servateurs, il reste des gens qui :

qui font l'office
De lécheurs assidus des #riches orifices.
Ils sont toujours contents,
Toujours prêts à blanchir l'affront des inconstants.
Les vieux faiseurs de messes
Les ont accoutumés à vivre de promesses.
Rien ne peut les changer,
Ils sont toujours pour ceux qui leur en font manger.

#Politique #Pathétique....

laitue@sysad.org
ariadne2022@diaspora-fr.org

Les "non-nés", une cause pratique à défendre pour les #conservateurs

« Les "non-nés" constituent un groupe de personnes commode à défendre. Ils ne vous demandent jamais rien ; ils n'ont pas de problèmes moraux, contrairement aux personnes incarcérées, aux toxicomanes ou aux pauvres ; ils n'éprouvent pas de ressentiment à l'égard de votre condescendance et ne se plaignent pas que vous n'êtes pas politiquement correct ; contrairement aux veuves, ils ne vous demandent pas de remettre en question le #patriarcat ; contrairement aux orphelins, ils n'ont pas besoin d'argent, d'éducation ou de soins ; contrairement aux étrangers, ils n'apportent pas tout le bagage racial, culturel et religieux que vous détestez ; ils vous permettent de vous sentir bien dans votre peau, sans avoir à faire le moindre effort pour créer ou entretenir des relations ; et lorsqu'ils sont nés, vous pouvez les oublier, car ils cessent d'être à naître. Vous pouvez aimer les enfants à naître et les défendre sans avoir à remettre en question votre propre richesse, votre pouvoir ou vos privilèges, sans avoir à repenser les structures sociales, à vous excuser ou à devoir des réparations à qui que ce soit.

En bref, ce sont les personnes parfaites à aimer si vous voulez prétendre aimer Jésus, mais que vous n'aimez pas les gens qui respirent. Les prisonniers ? Les immigrés ? Les malades ? Les pauvres ? Les veuves ? Les orphelins ? Tous les groupes qui sont spécifiquement mentionnés dans la Bible ? Ils sont tous jetés sous le bus pour les enfants à naître. »

Le pasteur méthodiste David Barnhart

#avortement #droitdesfemmes #conservatisme