#discours

bliter@diaspora-fr.org

#ONU, #GIEC, #COP : #HYPOCRISIE ET GRAND #SABOTAGE #CLIMATIQUE ! - ÉLUCID

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▶ Fabrice #NICOLINO est #journaliste d' #investigation. Il est le #crĂ©ateur du #mouvement « Nous voulons des coquelicots », et l' #auteur de « Le grand sabotage climatique, rĂ©vĂ©lations sur un systĂšme corrompu : ONU, #multinationale, #gouvernements » (Les liens qui libĂšrent) dans lequel il raconte une #histoire de la #pseudo-lutte contre le #rĂ©chauffement #climatique, bien diffĂ©rente du #rĂ©cit #officiel.

Dans cette #interview par #OlivierBerruyer pour #Élucid, #FabriceNicolino lĂšve le voile sur l' #hypocrisie des #institutions qui prĂ©tendent #agir pour #climat, mais qui en #rĂ©alitĂ© ne font qu'agiter de belles paroles, une #novlangue qui rassure sans jamais ne permettre de prendre le problĂšme Ă  la racine. Ce #systĂšme est en partie conduit par des individus #complices des grands #groupes #industriels #polluants. Aucun #changement ne pourra advenir tant que ceux qui sont au #pouvoir refuseront de remettre en cause l' ordre du monde.

Sommaire :
00:00:00 - Zapping
00:01:47 - Depuis quand sait-on ?
00:07:52 - Des #organisations #internationales inutiles
00:18:41 - L' #arnaque du " #développement #durable" et du #greenwashing
00:31:51 - La #vérité sur le #GIEC
00:43:52 - La #mascarade des #COP
00:48:48 - L' #histoire des #créateurs du #GIEC
01:02:17 - Le traitement #médiatique de la question #climatique
01:05:17 - #Géoingénierie et #technosolutionnisme
01:14:22 - Les #discours des #politiques
01:18:11 - Des pistes de #solutions ?
01:22:28 - Question finale

https://www.youtube.com/watch?v=lvcgbLceOMM
https://invidious.fdn.fr/watch?v=lvcgbLceOMM
#Ă©lucid #politique #Ă©conomie #Ă©cologie

tchicketchacke@pod.g3l.org
pillavoine@diasp.org

NOUVELLE INSTRUMENTALISATION DE LA LOI SÉPARATISME : UNE COMPAGNIE DE THÉÂTRE PRIVÉE DE SUBVENTION AU MOTIF DE SON ENGAGEMENT MILITANT

via Ligue des droits de l’Homme

La compagnie Arlette Moreau

La compagnie Arlette Moreau, qui rĂ©alise dans la rue des spectacles interactifs visant Ă  faire rĂ©flĂ©chir les spectateurs sur des problĂ©matiques contemporaines, s’est vu refuser une subvention par la Direction rĂ©gionale aux droits des femmes et Ă  l’égalitĂ© de Nouvelle-Aquitaine au motif que son rapport d’activitĂ© ferait Ă©tat « d’engagements militants non conformes au respect des lois de la RĂ©publique consignĂ© dans le contrat d’engagement rĂ©publicain (CER) ».

Cette dĂ©cision, qui porte une atteinte grave aux libertĂ©s d’association, d’expression et de crĂ©ation artistique, repose sur une interprĂ©tation erronĂ©e des obligations imposĂ©es par le contrat d’engagement rĂ©publicain aux associations et de la loi confortant les principes de la RĂ©publique. Cette interprĂ©tation est extrĂȘmement dangereuse en ce qu’elle permettrait aux collectivitĂ©s publiques de cesser de financer des associations au motif qu’elles tiendraient des discours ou mĂšneraient des actions militantes, contestataires ou simplement critiques.

En consĂ©quence, face Ă  cette nouvelle instrumentalisation politique de la loi « sĂ©paratisme » utilisĂ©e comme un outil de sanction face Ă  la contestation politique, la LDH (Ligue des droits de l’Homme), le Groupe d’information et de soutien des immigrĂ©s (Gisti), la Cimade, le Mouvement contre le racisme et pour l’amitiĂ© entre les peuples (Mrap), le Syndicat des avocats de France (Saf), le Droit au logement (Dal), le Collectif des associations citoyennes (Cac) et l’Union fĂ©dĂ©rale d’intervention des structures culturelles (UFISC) ont dĂ©posĂ© le 6 mars 2023 une intervention volontaire au soutien du recours engagĂ© par la compagnie Arlette Moreau.

Les attaques rĂ©pĂ©tĂ©es Ă  l’encontre du monde associatif mettent non seulement Ă  mal l’expression de la sociĂ©tĂ© civile mais sont Ă©galement trĂšs inquiĂ©tantes pour le fonctionnement de notre dĂ©mocratie.

Signataires : La Cimade, Collectif des associations citoyennes (Cac), Droit au logement (Dal), Groupe d’information et de soutien des immigrĂ©s (Gisti), LDH (Ligue des droits de l’Homme), Mouvement contre le racisme et pour l’amitiĂ© entre les peuples (Mrap), Syndicat des avocats de France (Saf), Union fĂ©dĂ©rale d’intervention des structures culturelles (Ufisc)

Paris, le 15 mars 2024

#Compagnie #Théùtre #Spectacle #SpectacleDeRue #NouvelleAquitaine #militant #art #République #CER #LDH #liberté #association #subvention #discours #actions #politique #loi #MRAP #Gisti #Cimade #Saf #DAL #CAC #UFISC #expression #démocratie

magdoz@diaspora.psyco.fr

LĂ©o Walter @LeoWalter04 Oct 12
https://nitter.hostux.net/LeoWalter04/status/1712593802093838444#m

Depuis ce matin, le #RN enchaine les débùcles dans sa niche parlementaire.

AprĂšs 3 textes retirĂ©s, nous revoilĂ  Ă  dĂ©battre sur leur PPL pour l’interdiction de l’écriture inclusive, maintenue malgrĂ© leur fiasco en commission.

Cette fois, je n’ai pas parlĂ© au fĂ©minin gĂ©nĂ©rique —

#Politique #France #Humour #Dérision #Discours #Inclusion #Inclusive #Féminin #Nation #FN #AssembléeNationale

bliter@diaspora-fr.org

Seul l'amour, sauvera l'humanité ! - #Jesuisterreau

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Mon #discours ne plaira pas aux #détracteurs, à ceux qui sont englués dans la noirceur de ce monde et qui ne parviennent pas à s'en sortir.
Mais mĂȘme Ă  ceux lĂ , je leur souhaite de trouver une main tendue qui puisse leur redonner de l' #espoir et foi en l' #humanitĂ© car il semblerait que ce soit juste ce petit truc qui nous manque pour que le monde puisse tourner rond...

https://www.youtube.com/watch?v=s6eHA3YH8iE
#bénévolat #chantierparticipatif #amour

d3@diaspora.psyco.fr

Mesdames, Messieurs, Jeunes Ă©lĂšves,

C’est une grande joie pour moi de me retrouver en ce lycĂ©e d’Albi et d’y reprendre un instant la parole. Grande joie nuancĂ©e d’un peu de mĂ©lancolie ; car lorsqu’on revient Ă  de longs intervalles, on mesure soudain ce que l’insensible fuite des jours a ĂŽtĂ© de nous pour le donner au passĂ©. Le temps nous avait dĂ©robĂ©s Ă  nous-mĂȘmes, parcelle Ă  parcelle, et tout Ă  coup c’est un gros bloc de notre vie que nous voyons loin de nous. La longue fourmiliĂšre des minutes emportant chacune un grain chemine silencieusement, et un beau soir le grenier est vide.

Mais qu’importe que le temps nous retire notre force peu Ă  peu, s’il l’utilise obscurĂ©ment pour des Ɠuvres vastes en qui survit quelque chose de nous ? Il y a vingt-deux ans, c’est moi qui prononçais ici le discours d’usage. Je me souviens (et peut-ĂȘtre quelqu’un de mes collĂšgues d’alors s’en souvient-il aussi) que j’avais choisi comme thĂšme : les jugements humains. Je demandais Ă  ceux qui m’écoutaient de juger les hommes avec bienveillance, c’est-Ă -dire avec Ă©quitĂ©, d’ĂȘtre attentifs, dans les consciences les plus mĂ©diocres et les existences les plus dĂ©nuĂ©es, aux traits de lumiĂšre, aux fugitives Ă©tincelles de beautĂ© morale par oĂč se rĂ©vĂšle la vocation de grandeur de la nature humaine. Je les priais d’interprĂ©ter avec indulgence le tĂątonnant effort de l’humanitĂ© incertaine.

Peut-ĂȘtre, dans les annĂ©es de lutte qui ont suivi, ai-je manquĂ© plus d’une fois envers des adversaires Ă  ces conseils de gĂ©nĂ©reuse Ă©quitĂ©. Ce qui me rassure un peu, c’est que j’imagine qu’on a dĂ» y manquer aussi parfois Ă  mon Ă©gard, et cela rĂ©tablit l’équilibre. Ce qui reste vrai, Ă  travers toutes nos misĂšres, Ă  travers toutes les injustices commises ou subies, c’est qu’il faut faire un large crĂ©dit Ă  la nature humaine ; c’est qu’on se condamne soi-mĂȘme Ă  ne pas comprendre l’humanitĂ©, si on n’a pas le sens de sa grandeur et le pressentiment de ses destinĂ©es incomparables.

Cette confiance n’est ni sotte, ni aveugle, ni frivole. Elle n’ignore pas les vices, les crimes, les erreurs, les prĂ©jugĂ©s, les Ă©goĂŻsmes de tout ordre, Ă©goĂŻsme des individus, Ă©goĂŻsme des castes, Ă©goĂŻsme des partis, Ă©goĂŻsme des classes, qui appesantissent la marche de l’homme, et absorbent souvent le cours du fleuve en un tourbillon trouble et sanglant. Elle sait que les forces bonnes, les forces de sagesse, de lumiĂšre, de justice, ne peuvent se passer du secours du temps, et que la nuit de la servitude et de l’ignorance n’est pas dissipĂ©e par une illumination soudaine et totale, mais attĂ©nuĂ©e seulement par une lente sĂ©rie d’aurores incertaines.

Oui, les hommes qui ont confiance en l’homme savent cela. Ils sont rĂ©signĂ©s d’avance Ă  ne voir qu’une rĂ©alisation incomplĂšte de leur vaste idĂ©al, qui lui-mĂȘme sera dĂ©passĂ© ; ou plutĂŽt ils se fĂ©licitent que toutes les possibilitĂ©s humaines ne se manifestent point dans les limites Ă©troites de leur vie. Ils sont pleins d’une sympathie dĂ©fĂ©rente et douloureuse pour ceux qui ayant Ă©tĂ© brutalisĂ©s par l’expĂ©rience immĂ©diate ont conçu des pensĂ©es amĂšres, pour ceux dont la vie a coĂŻncidĂ© avec des Ă©poques de servitude, d’abaissement et de rĂ©action, et qui, sous le noir nuage immobile, ont pu croire que le jour ne se lĂšverait plus. Mais eux-mĂȘmes se gardent bien d’inscrire dĂ©finitivement au passif de l’humanitĂ© qui dure les mĂ©comptes des gĂ©nĂ©rations qui passent. Et ils affirment, avec une certitude qui ne flĂ©chit pas, qu’il vaut la peine de penser et d’agir, que l’effort humain vers la clartĂ© et le droit n’est jamais perdu. L’histoire enseigne aux hommes la difficultĂ© des grandes tĂąches et la lenteur des accomplissements, mais elle justifie l’invincible espoir.

Dans notre France moderne, qu’est-ce donc que la RĂ©publique ? C’est un grand acte de confiance. Instituer la RĂ©publique, c’est proclamer que des millions d’hommes sauront tracer eux-mĂȘmes la rĂšgle commune de leur action ; qu’ils sauront concilier la libertĂ© et la loi, le mouvement et l’ordre ; qu’ils sauront se combattre sans se dĂ©chirer ; que leurs divisions n’iront pas jusqu’à une fureur chronique de guerre civile, et qu’ils ne chercheront jamais dans une dictature mĂȘme passagĂšre une trĂȘve funeste et un lĂąche repos. Instituer la RĂ©publique, c’est proclamer que les citoyens des grandes nations modernes, obligĂ©s de suffire par un travail constant aux nĂ©cessitĂ©s de la vie privĂ©e et domestique, auront cependant assez de temps et de libertĂ© d’esprit pour s’occuper de la chose commune. Et si cette RĂ©publique surgit dans un monde monarchique encore, c’est assurer qu’elle s’adaptera aux conditions compliquĂ©es de la vie internationale sans rien entreprendre sur l’évolution plus lente des peuples, mais sans rien abandonner de sa fiertĂ© juste et sans attĂ©nuer l’éclat de son principe.

Oui, la RĂ©publique est un grand acte de confiance et un grand acte d’audace. L’intervention en Ă©tait si audacieuse, si paradoxale, que mĂȘme les hommes hardis qui il y a cent dix ans, ont rĂ©volutionnĂ© le monde, en Ă©cartĂšrent d’abord l’idĂ©e. Les Constituants de 1789 et de 1791, mĂȘme les LĂ©gislateurs de 1972 croyaient que la monarchie traditionnelle Ă©tait l’enveloppe nĂ©cessaire de la sociĂ©tĂ© nouvelle. Ils ne renoncĂšrent Ă  cet abri que sous les coups rĂ©pĂ©tĂ©s de la trahison royale. Et quand enfin ils eurent dĂ©racinĂ© la royautĂ©, la RĂ©publique leur apparut moins comme un systĂšme prĂ©destinĂ© que comme le seul moyen de combler le vide laissĂ© par la monarchie. BientĂŽt cependant, et aprĂšs quelques heures d’étonnement et presque d’inquiĂ©tude, ils l’adoptĂšrent de toute leur pensĂ©e et de tout leur cƓur. Ils rĂ©sumĂšrent, ils confondirent en elle toute la RĂ©volution. Et ils ne cherchĂšrent point Ă  se donner le change. Ils ne cherchĂšrent point Ă  se rassurer par l’exemple des rĂ©publiques antiques ou des rĂ©publiques helvĂ©tiques et italiennes. Ils virent bien qu’ils crĂ©aient une Ɠuvre nouvelle, audacieuse et sans prĂ©cĂ©dent. Ce n’était point l’oligarchique libertĂ© des rĂ©publiques de la GrĂšce, morcelĂ©es, minuscules et appuyĂ©es sur le travail servile. Ce n’était point le privilĂšge superbe de la rĂ©publique romaine, haute citadelle d’oĂč une aristocratie conquĂ©rante dominait le monde, communiquant avec lui par une hiĂ©rarchie de droits incomplets et dĂ©croissants qui descendait jusqu’au nĂ©ant du droit, par un escalier aux marches toujours plus dĂ©gradĂ©es et plus sombres, qui se perdait enfin dans l’abjection de l’esclavage, limite obscure de la vie touchant Ă  la nuit souterraine. Ce n’était pas le patriciat marchand de Venise et de GĂȘnes. Non, c’était la RĂ©publique d’un grand peuple oĂč il n’y avait que des citoyens et oĂč tous les citoyens Ă©taient Ă©gaux. C’était la RĂ©publique de la dĂ©mocratie et du suffrage universel. C’était une nouveautĂ© magnifique et Ă©mouvante.

Les hommes de la RĂ©volution en avaient conscience. Et lorsque dans la fĂȘte du 10 aoĂ»t 1793, ils cĂ©lĂ©brĂšrent cette Constitution, qui pour la premiĂšre fois depuis l’origine de l’histoire organisait dans la souverainetĂ© nationale la souverainetĂ© de tous, lorsque artisans et ouvriers, forgerons, menuisiers, travailleurs des champs dĂ©filĂšrent dans le cortĂšge, mĂȘlĂ©s aux magistrats du peuple et ayant pour enseignes leurs outils, le prĂ©sident de la Convention put dire que c’était un jour qui ne ressemblait Ă  aucun autre jour, le plus beau jour depuis que le soleil Ă©tait suspendu dans l’immensitĂ© de l’espace ! Toutes les volontĂ©s se haussaient, pour ĂȘtre Ă  la mesure de cette nouveautĂ© hĂ©roĂŻque. C’est pour elle que ces hommes combattirent et moururent. C’est en son nom qu’ils refoulĂšrent les rois de l’Europe. C’est en son nom qu’ils se dĂ©cimĂšrent. Et ils concentrĂšrent en elle une vie si ardente et si terrible, ils produisirent par elle tant d’actes et tant de pensĂ©es qu’on put croire que cette RĂ©publique toute neuve, sans modĂšles comme sans traditions, avait acquis en quelques annĂ©es la force et la substance des siĂšcles.

Et pourtant que de vicissitudes et d’épreuves avant que cette RĂ©publique que les hommes de la RĂ©volution avaient crue impĂ©rissable soit fondĂ©e enfin sur notre sol ! Non seulement aprĂšs quelques annĂ©es d’orage elle est vaincue, mais il semble qu’elle s’efface Ă  jamais de l’histoire et de la mĂ©moire mĂȘme des hommes. Elle est bafouĂ©e, outragĂ©e ; plus que cela, elle est oubliĂ©e. Pendant un demi-siĂšcle, sauf quelques cƓurs profonds qui garderaient le souvenir et l’espĂ©rance, les hommes la renient ou mĂȘme l’ignorent. Les tenants de l’Ancien rĂ©gime ne parlent d’elle que pour en faire honte Ă  la RĂ©volution : “ VoilĂ  oĂč a conduit le dĂ©lire rĂ©volutionnaire ! ” Et parmi ceux qui font profession de dĂ©fendre le monde moderne, de continuer la tradition de la RĂ©volution, la plupart dĂ©savouent la RĂ©publique et la dĂ©mocratie. On dirait qu’ils ne se souviennent mĂȘme plus. Guizot s’écrie : “ Le suffrage universel n’aura jamais son jour ”. Comme s’il n’avait pas eu dĂ©jĂ  ses grands jours d’histoire, comme si la Convention n’était pas sortie de lui. Thiers, quand il raconte la RĂ©volution du10 aoĂ»t, nĂ©glige de dire qu’elle proclama le suffrage universel, comme si c’était lĂ  un accident sans importance et une bizarrerie d’un jour. RĂ©publique, suffrage universel, dĂ©mocratie, ce fut, Ă  en croire les sages, le songe fiĂ©vreux des hommes de la RĂ©volution. Leur Ɠuvre est restĂ©e, mais leur fiĂšvre est Ă©teinte et le monde moderne qu’ils ont fondĂ©, s’il est tenu de continuer leur Ɠuvre, n’est pas tenu de continuer leur dĂ©lire. Et la brusque rĂ©surrection de la RĂ©publique, reparaissant en 1848 pour s’évanouir en 1851, semblait en effet la brĂšve rechute dans un cauchemar bientĂŽt dissipĂ©.

Et voici maintenant que cette RĂ©publique, qui dĂ©passait de si haut l’expĂ©rience sĂ©culaire des hommes et le niveau commun de la pensĂ©e que, quand elle tomba, ses ruines mĂȘmes pĂ©rirent et son souvenir s’effrita, voici que cette RĂ©publique de dĂ©mocratie, de suffrage universel et d’universelle dignitĂ© humaine, qui n’avait pas eu de modĂšle et qui semblait destinĂ©e Ă  n’avoir pas de lendemain, est devenue la loi durable de la nation, la forme dĂ©finitive de la vie française, le type vers lequel Ă©voluent lentement toutes les dĂ©mocraties du monde.

Or, et c’est lĂ  surtout ce que je signale Ă  vos esprits, l’audace mĂȘme de la tentative a contribuĂ© au succĂšs. L’idĂ©e d’un grand peuple se gouvernant lui-mĂȘme Ă©tait si noble qu’aux heures de difficultĂ© et de crise elle s’offrait Ă  la conscience de la nation. Une premiĂšre fois en 1793 le peuple de France avait gravi cette cime, et il y avait goĂ»tĂ© un si haut orgueil, que toujours sous l’apparent oubli et l’apparente indiffĂ©rence, le besoin subsistait de retrouver cette Ă©motion extraordinaire. Ce qui faisait la force invincible de la RĂ©publique, c’est qu’elle n’apparaissait pas seulement de pĂ©riode en pĂ©riode, dans le dĂ©sastre ou le dĂ©sarroi des autres rĂ©gimes, comme l’expĂ©dient nĂ©cessaire et la solution forcĂ©e. Elle Ă©tait une consolation et une fiertĂ©. Elle seule avait assez de noblesse morale pour donner Ă  la nation la force d’oublier les mĂ©comptes et de dominer les dĂ©sastres. C’est pourquoi elle devait avoir le dernier mot. Nombreux sont les glissements et nombreuses les chutes sur les escarpements qui mĂšnent aux cimes ; mais les sommets ont une force attirante. La RĂ©publique a vaincu parce qu’elle est dans la direction des hauteurs, et que l’homme ne peut s’élever sans monter vers elle. La loi de la pesanteur n’agit pas souverainement sur les sociĂ©tĂ©s humaines, et ce n’est pas dans les lieux bas qu’elles trouvent leur Ă©quilibre. Ceux qui, depuis un siĂšcle, ont mis trĂšs haut leur idĂ©al ont Ă©tĂ© justifiĂ©s par l’histoire.

Et ceux-lĂ  aussi seront justifiĂ©s qui le placent plus haut encore. Car le prolĂ©tariat dans son ensemble commence Ă  affirmer que ce n’est pas seulement dans les relations politiques des hommes, c’est aussi dans leurs relations Ă©conomiques et sociales qu’il faut faire entrer la libertĂ© vraie, l’égalitĂ©, la justice. Ce n’est pas seulement la citĂ©, c’est l’atelier, c’est le travail, c’est la production, c’est la propriĂ©tĂ© qu’il veut organiser selon le type rĂ©publicain. À un systĂšme qui divise et qui opprime, il entend substituer une vaste coopĂ©ration sociale oĂč tous les travailleurs de tout ordre, travailleurs de la main et travailleurs du cerveau, sous la direction de chefs librement Ă©lus par eux, administreront la production enfin organisĂ©e.

Messieurs, je n’oublie pas que j’ai seul la parole ici et que ce privilĂšge m’impose beaucoup de rĂ©serve. Je n’en abuserai point pour dresser dans cette fĂȘte une idĂ©e autour de laquelle se livrent et se livreront encore d’ñpres combats. Mais comment m’était-il possible de parler devant cette jeunesse qui est l’avenir, sans laisser Ă©chapper ma pensĂ©e d’avenir ? Je vous aurais offensĂ©s par trop de prudence ; car quel que soit votre sentiment sur le fond des choses, vous ĂȘtes tous des esprits trop libres pour me faire grief d’avoir affirmĂ© ici cette haute espĂ©rance socialiste qui est la lumiĂšre de ma vie.

Je veux seulement dire deux choses, parce quelles touchent non au fond du problĂšme, mais Ă  la mĂ©thode de l’esprit et Ă  la conduite de la pensĂ©e. D’abord, envers une idĂ©e audacieuse qui doit Ă©branler tant d’intĂ©rĂȘts et tant d’habitudes et qui prĂ©tend renouveler le fond mĂȘme de la vie, vous avez le droit d’ĂȘtre exigeants. Vous avez le droit de lui demander de faire ses preuves, c’est-Ă -dire d’établir avec prĂ©cision comment elle se rattache Ă  toute l’évolution politique et sociale, et comment elle peut s’y insĂ©rer. Vous avez le droit de lui demander par quelle sĂ©rie de formes juridiques et Ă©conomiques elle assurera le passage de l’ordre existant Ă  l’ordre nouveau. Vous avez le droit d’exiger d’elle que les premiĂšres applications qui en peuvent ĂȘtre faites ajoutent Ă  la vitalitĂ© Ă©conomique et morale de la nation. Et il faut qu’elle prouve, en se montrant capable de dĂ©fendre ce qu’il y a dĂ©jĂ  de noble et de bon dans le patrimoine humain, qu’elle ne vient pas le gaspiller, mais l’agrandir. Elle aurait bien peu de foi en elle-mĂȘme si elle n’acceptait pas ces conditions.

En revanche, vous, vous lui devez de l’étudier d’un esprit libre, qui ne se laisse troubler par aucun intĂ©rĂȘt de classe. Vous lui devez de ne pas lui opposer ces railleries frivoles, ces affolements aveugles ou prĂ©mĂ©ditĂ©s et ce parti pris de nĂ©gation ironique ou brutale que si souvent, depuis un siĂšcle mĂȘme, les sages opposĂšrent Ă  la RĂ©publique, maintenant acceptĂ©e de tous, au moins en sa forme. Et si vous ĂȘtes tentĂ©s de dire encore qu’il ne faut pas s’attarder Ă  examiner ou Ă  discuter des songes, regardez en un de vos faubourgs ? Que de railleries, que de prophĂ©ties sinistres sur l’Ɠuvre qui est lĂ  ! Que de lugubres pronostics opposĂ©s aux ouvriers qui prĂ©tendaient se diriger eux-mĂȘmes, essayer dans une grande industrie la forme de la propriĂ©tĂ© collective et la vertu de la libre discipline ! L’Ɠuvre a durĂ© pourtant ; elle a grandi : elle permet d’entrevoir ce que peut donner la coopĂ©ration collectiviste. Humble bourgeon Ă  coup sĂ»r, mais qui atteste le travail de la sĂšve, la lente montĂ©e des idĂ©es nouvelles, la puissance de transformation de la vie. Rien n’est plus menteur que le vieil adage pessimiste et rĂ©actionnaire de l’EcclĂ©siaste dĂ©sabusĂ© : “ Il n’y rien de nouveau sous le soleil ”. Le soleil lui-mĂȘme a Ă©tĂ© jadis une nouveautĂ©, et la terre fut une nouveautĂ©, et l’homme fut une nouveautĂ©. L’histoire humaine n’est qu’un effort incessant d’invention, et la perpĂ©tuelle Ă©volution est une perpĂ©tuelle crĂ©ation.

C’est donc d’un esprit libre aussi que vous accueillerez cette autre grande nouveautĂ© qui s’annonce par des symptĂŽmes multipliĂ©s : la paix durable entre les nations, la paix dĂ©finitive. Il ne s’agit point de dĂ©shonorer la guerre dans le passĂ©. Elle a Ă©tĂ© une partie de la grande action humaine, et l’homme l’a ennoblie par la pensĂ©e et le courage, par l’hĂ©roĂŻsme exaltĂ©, par le magnanime mĂ©pris de la mort. Elle a Ă©tĂ© sans doute et longtemps, dans le chaos de l’humanitĂ© dĂ©sordonnĂ©e et saturĂ©e d’instincts brutaux, le seul moyen de rĂ©soudre les conflits ; elle a Ă©tĂ© aussi la dure force qui, en mettant aux prises les tribus, les peuples, les races, a mĂȘlĂ© les Ă©lĂ©ment humains et prĂ©parĂ© les groupements vastes. Mais un jour vient, et tout nous signifie qu’il est proche, oĂč l’humanitĂ© est assez organisĂ©e, assez maĂźtresse d’elle-mĂȘme pour pouvoir rĂ©soudre, par la raison, la nĂ©gociation et le droit, les conflits de ses groupements et de ses forces. Et la guerre, dĂ©testable et grande tant qu’elle est nĂ©cessaire, est atroce et scĂ©lĂ©rate quand elle commence Ă  paraĂźtre inutile.

Je ne vous propose pas un rĂȘve idyllique et vain. Trop longtemps les idĂ©es de paix et d’unitĂ© humaines n’ont Ă©tĂ© qu’une haute clartĂ© illusoire qui Ă©clairait ironiquement les tueries continuĂ©es. Vous souvenez-vous de l’admirable tableau que vous a laissĂ© Virgile de la chute de Troie ? C’est la nuit : la citĂ© surprise est envahie par le fer et le feu, par le meurtre, l’incendie et le dĂ©sespoir. Le palais de Priam est forcĂ© et les portes abattues laissent apparaĂźtre la longue suite des appartements et des galeries. De chambre en chambre, les torches et les glaives poursuivent les vaincus ; enfants, femmes, vieillards se rĂ©fugient en vain auprĂšs de l’autel domestique que le laurier sacrĂ© ne protĂšge pas contre la mort et contre l’outrage ; le sang coule Ă  flots, et toutes les bouches crient de terreur, de douleur, d’insulte et de haine. Mais par dessus la demeure bouleversĂ©e et hurlante, les cours intĂ©rieures, les toits effondrĂ©s laissent apercevoir le grand ciel serein et paisible et toute la clameur humaine de violence et d’agonie monte vers les Ă©toiles d’or : Ferit aurea sidera clamor.

De mĂȘme, depuis vingt siĂšcles et de pĂ©riode en pĂ©riode, toutes les fois qu’une Ă©toile d’unitĂ© et de paix s’est levĂ©e sur les hommes, la terre dĂ©chirĂ©e et sombre a rĂ©pondu par des clameurs de guerre.

C’était d’abord l’astre impĂ©rieux de la Rome conquĂ©rante qui croyait avoir absorbĂ© tous les conflits dans le rayonnement universel de sa force. L’empire s’effondre sous le choc des barbares, et un effroyable tumulte rĂ©pond Ă  la prĂ©tention superbe de la paix romaine. Puis ce fut l’étoile chrĂ©tienne qui enveloppa la terre d’une lueur de tendresse et d’une promesse de paix. Mais attĂ©nuĂ©e et douce aux horizons galilĂ©ens, elle se leva dominatrice et Ăąpre sur l’Europe fĂ©odale. La prĂ©tention de la papautĂ© Ă  apaiser le monde sous sa loi et au nom de l’unitĂ© catholique ne fit qu’ajouter aux troubles et aux conflits de l’humanitĂ© misĂ©rable. Les convulsions et les meurtres du Moyen Âge, les chocs sanglants des nations modernes, furent la dĂ©risoire rĂ©plique Ă  la grande promesse de paix chrĂ©tienne. La RĂ©volution Ă  son tour lĂšve un haut signal de paix universelle par l’universelle libertĂ©. Et voilĂ  que de la lutte mĂȘme de la RĂ©volution contre les forces du vieux monde, se dĂ©veloppent des guerres formidables.

Quoi donc ? La paix nous fuira-t-elle toujours ? Et la clameur des hommes, toujours forcenĂ©s et toujours déçus, continuera-t-elle Ă  monter vers les Ă©toiles d’or, des capitales modernes incendiĂ©es par les obus, comme de l’antique palais de Priam incendiĂ© par les torches ? Non ! Non ! Et malgrĂ© les conseils de prudence que nous donnent ces grandioses dĂ©ceptions, j’ose dire, avec des millions d’hommes, que maintenant la grande paix humaine est possible, et si nous le voulons, elle est prochaine. Des forces neuves y travaillent : la dĂ©mocratie, la science mĂ©thodique, l’universel prolĂ©tariat solidaire. La guerre devient plus difficile, parce qu’avec les gouvernements libres des dĂ©mocraties modernes, elle devient Ă  la fois le pĂ©ril de tous par le service universel, le crime de tous par le suffrage universel. La guerre devient plus difficile parce que la science enveloppe tous les peuples dans un rĂ©seau multipliĂ©, dans un tissu plus serrĂ© tous les jours de relations, d’échanges, de conventions ; et si le premier effet des dĂ©couvertes qui abolissent les distances est parfois d’aggraver les froissements, elles crĂ©ent Ă  la longue une solidaritĂ©, une familiaritĂ© humaine qui font de la guerre un attentat monstrueux et une sorte de suicide collectif.

Enfin, le commun idĂ©al qui exalte et unit les prolĂ©taires de tous les pays les rend plus rĂ©fractaires tous les jours Ă  l’ivresse guerriĂšre, aux haines et aux rivalitĂ©s de nations et de races. Oui, comme l’histoire a donnĂ© le dernier mot Ă  la RĂ©publique si souvent bafouĂ©e et piĂ©tinĂ©e, elle donnera le dernier mot Ă  la paix, si souvent raillĂ©e par les hommes et les choses, si souvent piĂ©tinĂ©e par la fureur des Ă©vĂ©nements et des passions. Je ne vous dis pas : c’est une certitude toute faite. Il n’y a pas de certitude toute faite en histoire. Je sais combien sont nombreux encore aux jointures des nations les points malades d’oĂč peut naĂźtre soudain une passagĂšre inflammation gĂ©nĂ©rale. Mais je sais aussi qu’il y a vers la paix des tendances si fortes, si profondes, si essentielles, qu’il dĂ©pend de vous, par une volontĂ© consciente, dĂ©libĂ©rĂ©e, infatigable, de systĂ©matiser ces tendances et de rĂ©aliser enfin le paradoxe de la grande paix humaine, comme vos pĂšres ont rĂ©alisĂ© le paradoxe de la grande libertĂ© rĂ©publicaine. ƒuvre difficile, mais non plus Ɠuvre impossible. Apaisement des prĂ©jugĂ©s et des haines, alliances et fĂ©dĂ©rations toujours plus vastes, conventions internationales d’ordre Ă©conomique et social, arbitrage international et dĂ©sarmement simultanĂ©, union des hommes dans le travail et dans la lumiĂšre : ce sera, jeunes gens, le plus haut effort et la plus haute gloire de la gĂ©nĂ©ration qui se lĂšve.

Non, je ne vous propose pas un rĂȘve dĂ©cevant ; je ne vous propose pas non plus un rĂȘve affaiblissant. Que nul de vous ne croit que dans la pĂ©riode encore difficile et incertaine qui prĂ©cĂ©dera l’accord dĂ©finitif des nations, nous voulons remettre au hasard de nos espĂ©rances la moindre parcelle de la sĂ©curitĂ©, de la dignitĂ©, de la fiertĂ© de la France. Contre toute menace et toute humiliation, il faudrait la dĂ©fendre : elle est deux fois sacrĂ©e pour nous, parce qu’elle est la France, et parce qu’elle est humaine

MĂȘme l’accord des nations dans la paix dĂ©finitive n’effacera pas les patries, qui garderont leur profonde originalitĂ© historique, leur fonction propre dans l’Ɠuvre commune de l’humanitĂ© rĂ©conciliĂ©e. Et si nous ne voulons pas attendre, pour fermer le livre de la guerre, que la force ait redressĂ© toutes les iniquitĂ©s commises par la force, si nous ne concevons pas les rĂ©parations comme des revanches, nous savons bien que l’Europe, pĂ©nĂ©trĂ©e enfin de la vertu de la dĂ©mocratie et de l’esprit de paix, saura trouver les formules de conciliation qui libĂ©reront tous les vaincus des servitudes et des douleurs qui s’attachent Ă  la conquĂȘte. Mais d’abord, mais avant tout, il faut rompre le cercle de fatalitĂ©, le cercle de fer, le cercle de haine oĂč les revendications mĂȘme justes provoquent des reprĂ©sailles qui se flattent de l’ĂȘtre, oĂč la guerre tourne aprĂšs la guerre en un mouvement sans issue et sans fin, oĂč le droit et la violence, sous la mĂȘme livrĂ©e sanglante, ne se discernent presque plus l’un de l’autre, et oĂč l’humanitĂ© dĂ©chirĂ©e pleure de la victoire de la justice presque autant que de sa dĂ©faite.

Surtout, qu’on ne nous accuse point d’abaisser et d’énerver les courages. L’humanitĂ© est maudite, si pour faire preuve de courage elle est condamnĂ©e Ă  tuer Ă©ternellement. Le courage, aujourd’hui, ce n’est pas de maintenir sur le monde la sombre nuĂ©e de la Guerre, nuĂ©e terrible, mais dormante, dont on peut toujours se flatter qu’elle Ă©clatera sur d’autres. Le courage, ce n’est pas de laisser aux mains de la force la solution des conflits que la raison peut rĂ©soudre ; car le courage est l’exaltation de l’homme, et ceci en est l’abdication. Le courage pour vous tous, courage de toutes les heures, c’est de supporter sans flĂ©chir les Ă©preuves de tout ordre, physiques et morales, que prodigue la vie. Le courage, c’est de ne pas livrer sa volontĂ© au hasard des impressions et des forces ; c’est de garder dans les lassitudes inĂ©vitables l’habitude du travail et de l’action. Le courage dans le dĂ©sordre infini de la vie qui nous sollicite de toutes parts, c’est de choisir un mĂ©tier et de le bien faire, quel qu’il soit ; c’est de ne pas se rebuter du dĂ©tail minutieux ou monotone ; c’est de devenir, autant que l’on peut, un technicien accompli ; c’est d’accepter et de comprendre cette loi de la spĂ©cialisation du travail qui est la condition de l’action utile, et cependant de mĂ©nager Ă  son regard, Ă  son esprit, quelques Ă©chappĂ©es vers le vaste monde et des perspectives plus Ă©tendues. Le courage, c’est d’ĂȘtre tout ensemble, et quel que soit le mĂ©tier, un praticien et un philosophe. Le courage, c’est de comprendre sa propre vie, de la prĂ©ciser, de l’approfondir, de l’établir et de la coordonner cependant Ă  la vie gĂ©nĂ©rale. Le courage, c’est de surveiller exactement sa machine Ă  filer ou Ă  tisser, pour qu’aucun fil ne se casse, et de prĂ©parer cependant un ordre social plus vaste et plus fraternel oĂč la machine sera la servante commune des travailleurs libĂ©rĂ©s. Le courage, c’est d’accepter les conditions nouvelles que la vie fait Ă  la science et Ă  l’art, d’accueillir, d’explorer la complexitĂ© presque infinie des faits et des dĂ©tails, et cependant d’éclairer cette rĂ©alitĂ© Ă©norme et confuse par des idĂ©es gĂ©nĂ©rales, de l’organiser et de la soulever par la beautĂ© sacrĂ©e des formes et des rythmes. Le courage, c’est de dominer ses propres fautes, d’en souffrir mais de n’en pas ĂȘtre accablĂ© et de continuer son chemin. Le courage, c’est d’aimer la vie et de regarder la mort d’un regard tranquille ; c’est d’aller Ă  l’idĂ©al et de comprendre le rĂ©el ; c’est d’agir et de se donner aux grandes causes sans savoir quelle rĂ©compense rĂ©serve Ă  notre effort l’univers profond, ni s’il lui rĂ©serve une rĂ©compense. Le courage, c’est de chercher la vĂ©ritĂ© et de la dire ; c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe, et de ne pas faire Ă©cho, de notre Ăąme, de notre bouche et de nos mains aux applaudissements imbĂ©ciles et aux huĂ©es fanatiques.

Ah ! vraiment, comme notre conception de la vie est pauvre, comme notre science de vivre est courte, si nous croyons que, la guerre abolie, les occasions manqueront aux hommes d’exercer et d’éprouver leur courage, et qu’il faut prolonger les roulements de tambour qui dans les lycĂ©es du premier Empire faisaient sauter les cƓurs ! Ils sonnaient alors un son hĂ©roĂŻque ; dans notre vingtiĂšme siĂšcle, ils sonneraient creux. Et vous, jeunes gens, vous voulez que votre vie soit vivante, sincĂšre et pleine. C’est pourquoi je vous ai dit, comme Ă  des hommes, quelques-unes des choses que je portais en moi.

Discours à la jeunesse, Jean JaurÚs, Lycée d'Albi, 30 juillet 1903

#JaurÚs #discours #socialisme #république #démocratie #internationalisme #histoire

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Redonnons la #parole aux #Français - #Union #Populaire #Républicaine

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La #Constitution fixe le fonctionnement de la #RĂ©publique et permet aux #Français de s’épanouir dans une #nation leur assurant #libertĂ© et #Ă©galitĂ©. Ce #texte #fondamental doit ĂȘtre considĂ©rĂ© comme ce que nous, #citoyens, avons de plus #sacrĂ©.

Entre autres choses primordiales, dans son Titre premier intitulĂ© DE LA #SOUVERAINETÉ, la Constitution de la V RĂ©publique Ă©nonce les grandes lignes qui garantissent Ă  la #France d’ĂȘtre une #dĂ©mocratie :


Extraits :

Article 2
Le principe de la RĂ©publique est : #gouvernement du #peuple, par le peuple et pour le peuple.
Article 3
La #souveraineté #nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants et par la voie du #référendum.
Aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice.
Article 4.
La #loi garantit les #expressions pluralistes des opinions et la participation équitable des partis et groupements #politiques à la vie démocratique de la #Nation.


Lors de la #rĂ©union #publique qu’il a tenue le 28 juillet Ă  Bellerive-sur-Allier, #FrançoisAsselineau s’est attachĂ© Ă  dĂ©monter point par point les Ă©vĂ©nements qui ont conduit Ă  priver les #Français du droit Ă  la parole et Ă  la maĂźtrise de leur destin.

Ce #discours doit absolument ĂȘtre entendu et diffusĂ©.
Il est destiné à réveiller les Français, anesthésiés par des décennies de #propagande.
Parce que la France ne respecte plus aucun de ces 4 principes, simples, clairement rédigés, faciles à comprendre, notre pays n'est plus une véritable démocratie.

1 - il n'y a plus de "gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple".
La quasi totalitĂ© des dĂ©cisions de l’exĂ©cutif ne font que satisfaire aux exigences de l’ #Union #europĂ©enne, de l’ #Otan, des #États-Unis, ou combler les appĂ©tits des #oligarques ou des fonds de #pension #internationaux.

2 - La souveraineté nationale n'appartient plus au peuple, qui ne l'exerce plus par ses représentants ni par la voie du référendum.
Les #élections sont faussées par des #campagnes #électorales raccourcies et complÚtement biaisées par des différences inouïes de temps de #parole et de temps d'antenne, et par des partis-pris #médiatiques éhontés.
Le dernier #rĂ©fĂ©rendum de portĂ©e nationale date de 2005, avec le rĂ©sultat que l’on sait.

3 - Désormais, une section du peuple et un seul individu se sont attribué sans vergogne l'exercice de la souveraineté.
Le comportement autocratique et sans aucun #contre-pouvoir de #Macron est inconcevable dans toute autre démocratie.

4 - La loi ne garantit plus les expressions pluralistes des opinions ni la participation équitable des partis et groupements politiques à la vie démocratique de la Nation.
Ce principe est absolument bafouĂ©, l’ #UPR est un parti qui n’a pas le droit de citĂ© dans les #mĂ©dias.
Parce qu’il dĂ©nonce inlassablement les effets dĂ©lĂ©tĂšres pour la France de notre appartenance Ă  l’ #UnionEuropĂ©enne, Ă  l’ #euro, Ă  l’OTAN et de notre asservissement aux États-Unis, François Asselineau est le responsable #politique qu’il faut cacher. Parce qu’il dit la vĂ©ritĂ© et dĂ©nonce les causes racines du mal français, il est bĂąillonnĂ©.
Le contact direct avec les Français reste le seul moyen qu’il a de s’exprimer, comme à Bellerive-sur-Allier, devant une assistance importante et attentive.
Diffusez cette #vidĂ©o, reprenez la parole, aux prochaines Ă©lections europĂ©ennes votez pour la liste conduite par François #Asselineau, c’est la seule façon de vous faire entendre et d'arrĂȘter la destruction en cours de la France.

https://www.youtube.com/watch?v=Dj5LkVzcpy8
#politique #conf #conférence

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#RÉTROGAMING #NEWS #103 : LA DERNIÈRE...?! - #Recalbox

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https://www.youtube.com/watch?v=Y6hIH1SXNvc

LES HOTS NEWS DE LA SEMAINE :

00:00:00 Introduction
00:00:51 Recalbox #RGB #JAMMA: LES NEWS !
https://swll.to/20Lr8Z
00:05:44 #Émeutes : #Macron pointe (encore) les #jeuxvidĂ©o...
https://swll.to/ZnFF8
00:08:07 Le code source des Dragon 32 et 64, retrouvé
https://swll.to/3lE0SE
00:11:00 Des fuites de #documents sur la #bataille #Sega avec #Sony
https://swll.to/5ftA8I
00:15:18 Myst Dev s'associe Ă  la #Video #Game #History #Foundation
https://swll.to/8eWWdj
00:17:41 #Capcom #Legend révÚle l' #artwork de la pochette de final Fight
https://swll.to/o0XO4
00:19:30 Le couvercle du #GameCube recĂšle un secret
https://swll.to/FjSP519
00:30:38 Toutes les plaque #Nintendo GameCube
https://swll.to/5xSHn
00:22:31 La #caméra #GameBoy miniaturisée
https://swll.to/UzjdN0
00:23:38 La Game Boys la plus célÚbres prend sa retraite
https://swll.to/rgsQN
00:25:16 Le "Sun Fade" ruine votre collection ?
https://swll.to/BBWrW
00:28:12 Un nouveau #Sonic sur #GX4000 et l' #Amstrad Plus
https://swll.to/S2kmJ5
00:30:24 Le #documentaire définitif de #Shenmue en ligne
https://swll.to/vIeqdMu
00:31:49 Un #mod #HDMI pour #PlayStation 2
https://swll.to/NiZt12
00:32:54 Le #remaster de Red Dead Redemption
https://swll.to/D0mPJ

LES DOSSIERS DE LA SEMAINE :

00:35:01 Les #discours de #SatoruIwata en qualité incroyable
https://swll.to/fL406y5
00:36:47 Des séquences inédites de Nintendo Space World 2000
https://swll.to/fkmyG
00:37:48 Making of d'Aliens: Infestation
https://swll.to/Xwposm
00:38:40 #Homebrew Summer #Showcase 2023
https://swll.to/CpkqCn
00:40:19 Un nouveau #document "Day Of The Tentacle" sort
https://swll.to/qEJGg
00:41:36 Les meilleurs jeux Light Gun de tous les temps
https://swll.to/lm8qr0O
00:43:05 Nos pépites rétro à découvrir
https://swll.to/uOwkwnq

LES PREVIEWS :

00:44:33 Double Dragon Gaiden: Rise of the Dragons
https://swll.to/wMAxqcw
00:47:10 Arcadian Atlas
https://swll.to/DarOC80
00:49:20 Tactic Legends
https://swll.to/V4ha5
00:51:49 Air Twister
https://swll.to/4OXbT
00:53:35 Yohane the Parhelion: BLAZE in the DEEPBLUE
https://swll.to/1UsJFYP
00:56:08 Quantum: Recharged
https://swll.to/K2XZM
00:57:21 Haunted House
https://swll.to/DLhHZ
00:59:09 Spacebot interactive
https://swll.to/okK53

LES SORTIES DE LA SEMAINE :

01:00:37 Retro Lazer 17
https://swll.to/8MkZjUE
01:02:17 Nolife Story Legacy
https://swll.to/uVzMldo
01:03:47 El Viento & Sol-Deace
https://swll.to/lfrbhd
01:06:17 Des jeux d'inspiration rétro à la vente d'été Steam
https://swll.to/rjE8m6b
01:10:00 The Fallen Crown — Kickstarter
https://swll.to/AsDZw
01:12:09 Soulvars
https://swll.to/H6a7kBL
01:13:30 Raging Bytes
https://swll.to/PWCKgsm
01:15:50 Akai Katana Shin
https://swll.to/w75Az
01:17:58 Ghost Trick: Phantom Detective
https://swll.to/4JXzZz
01:19:41 Ray'Z Arcade Chronology
https://swll.to/IizFZL
01:21:48 Biomech Hell
https://swll.to/Fgf72
01:23:54 Reverie: Sweet As Edition
https://swll.to/IRKtC4s
01:25:40 Plushie Bomber
https://swll.to/oX3T3SP

LES HOMEBREWS / FANGAMES DE LA SEMAINE :

01:27:39 #Castlevania #AGA - pour le #Commodore #Amiga
https://swll.to/Yde0q
01:29:34 Doomed Castle
https://swll.to/B8suph
01:31:04 #Rastan pour #Amiga500
https://swll.to/8MkDDW
01:33:08 Jouez Ă  vos jeux Windows sur Commodore 64 !
https://swll.to/Vj8McMv
01:35:39 GothicVania
https://swll.to/Ndy4N
01:37:37 Final Fantasy VI et Final Fantasy Tactics dans un mod
https://swll.to/NnKJGYf
01:38:24 La légende de #Zelda portée sur #SNES
https://swll.to/rD70xhp
01:40:37 Les fans traduisent Dungeon Crawler Madou Monogatari 1
https://swll.to/ngOta
01:42:05 Un nouveau mod #Doom 64
https://swll.to/KdXfR

L’ACTU LOL/WTF DE LA SEMAINE :

01:44:36 Myst sur Atari 2600
https://swll.to/xj7P5
01:47:01 Un Lego Game Boy personnalisé
https://swll.to/Mj9DWC
01:48:20 Un coffre de Zelda pour cartouches Switch
https://swll.to/vK8e3R
01:49:18 Un mini jeu Sonic en Lego
https://swll.to/fGFJW

#retrocomputer #retrogaming

frenchhope@diaspora-fr.org

Cogito ergo sum sur Twitter : "🔮 Aucun ministre ou dĂ©putĂ© feignant l’indignation, suite au discours de Ken Loach, #PalmedOr 2016 : « LES PRATIQUES NÉOLIBÉRALES ONT ENTRAÎNÉ DANS LA MISÈRE DES MILLIONS DE PERSONNES, AVEC UNE PETITE MINORITÉ QUI S’ENRICHIT DE MANIÈRE HONTEUSE » #FestivaldeCannes # JustineTriet https://t.co/hvh8OWbDyq" / Twitter

#politique #cannes #fastivaldecannes #culture #cinéma #justinetriet #kenloach #palmedor #discours

bliter@diaspora-fr.org

Non, nous ne manquons pas d' #eau #potable ! | #IdrissAberkane

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Le #monde #consomme un peu moins de 60% du volume de l' #Amazone en eau #douce, chaque annĂ©e. A l'heure oĂč le #malthusianisme forcenĂ©, veut confisquer toutes nos #libertĂ©s, limiter drastiquement les #naissances, nous #confiner dans ces atroces " #villes de 15 minutes", il Ă©tait devenu absolument vital de #contredire ce #discours #apocalyptique par un peu de #science exacte. Non, nous ne manquons pas d' #eau-potable. Certes, sa #rĂ©partition dans le monde n'est pas bonne, mais une chose qui peut se rĂ©partir facilement de l'Alaska Ă  l'Afrique et du Lac BaĂŻkal Ă  la Terre de Feu, c'est l' #intelligence et la #connaissance.

Si la Macronie a vanté le #projet #apocalyptique d'un nouveau #rationnement de l'eau douce (dans une #France qui n'a jamais manqué d'eau, ni pour sa #population ni pour son #agriculture ni pour son #industrie) nous devons rappeler que des #projets existent qui pourraient générer le débit de plusieurs grands #fleuves par an, et que non, définitivement, nous ne manquons pas d'eau douce, nous ne manquons que de #bon-sens.

https://www.youtube.com/watch?v=gJHlnAnyylo
#eau #géopolitique #politique

bliter@diaspora-fr.org

📖 Le #Discours de la #MĂ©thode : Pourquoi #Descartes Gifle les #ZĂ©tĂ©ticiens ? La page 99 de Gontran H #21 - #GontranH

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Chapitrage :
00:19 Introduction (voyage chez Descartes)
04:26 Descartes, sa vie, son #Ɠuvre
05:03 Cogito ergo sum (je pense donc je suis)
07:03 Certains Zets me cassent les machins (part 1)
10:38 Différence entre Zététique et #Esprit #Critique
11:44 Certains Zets me cassent les machins (part 2)
15:08 Le discours de la #méthode et la #science
17:40 ParenthĂšse pour les concomplotistes
19:42 1e étape de la méthode : le doute méthodique
22:27 2e étape de la méthode : l' #analyse
25:00 3e étape de la méthode : la #synthÚse
27:01 4e étape de la méthode : la vérification
29:00 #Résumé énervé de la méthode
29:56 Comment reconnaßtre un vrai #zététicien ?
31:00 Le #livre du discours de la méthode : à lire d' #urgence !
32:15 Quant à la #zététique...
33:06 Conclusion et appel

https://www.youtube.com/watch?v=TDDB0YpF3FI

bliter@diaspora-fr.org

Qui attaque la #France ? Le #discours-choc d' #Asselineau Ă  l'occasion des 16 ans de l' #UPR

Le 25 mars 2007, Ă  l'occasion du cinquantiĂšme #anniversaire du #TraitĂ© de Rome, #FrançoisAsselineau crĂ©e l’UPR. 16 ans plus tard, le 25 mars 2023, prĂšs de 600 personnes se sont succĂ©dĂ© tout au long des 14 heures de "Portes ouvertes" du siĂšge de l' #UnionPopulaireRĂ©publicaine.

https://www.youtube.com/watch?v=sDGwYAbY1Yo
#discours #politique #économie #géopolitique #guerre #UE #Europe #média #retraite

diggers@diaspora-fr.org
tina@diaspora.psyco.fr

Carcassonne. 6000, 6500...
Changement de parcours ; exit le centre ville, cap sur la sortie ouest autoroute et la zone industrielle. No problemo.
Pas d'incidents. Seul bĂ©mol, en fin de manif un feu de palettes oĂč quelqu'un a balancĂ© un pneu. Gros nuage noir... :/

#retraites #réformes #49-3 #discours #manifs

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Un #artiste sur le grill - #BistroLibertés avec #YvanLeBolloch - #TVL

#EricMorillot lance un #défi à l'artiste "engagé" Yvan #LeBolloch : affronter les #sociétaires de #Bistro #Libertés.

Deux #thĂšmes trĂšs conflictuels sont au programme :
- Les #grÚves contre la #réforme des #retraites ?
- La #recomposition du champ #politique avec un #discours sur les #retraites à l’unisson du #RN et de #LFI.

Les rĂ©cents coups de gueule d'Yvan Le Bolloc'h Ă  la #tĂ©lĂ©vision ont marquĂ© les esprits. Il a jouĂ© dans 10 piĂšces de #thĂ©Ăątres et dix #films. La liste de ses prestations Ă  la tĂ©lĂ©vision est impressionnante : on retiendra surtout " #CamĂ©raCafĂ©". Il collabore avec #ThierryArdisson, #LaurentRuquier et #BrunoSolo. Il est le #guitariste talentueux du #groupe de #musique #gitane qu’il a fondĂ©.

https://www.youtube.com/watch?v=tdfZVGQbP1g

bliter@diaspora-fr.org

TOUT DETRUIRE AU NOM DU « #PROGRÈS » : LA #RÉALITÉ DERRIÈRE LE #MYTHE - #FrançoisJarrige - #ÉLUCID

https://www.youtube.com/watch?v=i65icff3g8k

François #JARRIGE est #historien, #maĂźtre de #confĂ©rences en #histoire #contemporaine Ă  l' #universitĂ© de #Bourgogne. Il est entre autres l' #auteur de " #Technocritiques : Du #refus des #machines Ă  la #contestation des #technosciences". Il #travaille sur histoire des #sociĂ©tĂ©s #industrielles et #interroge les #conflits, #dĂ©bats et #controverses qui accompagnent les changements #techniques et l’ #industrialisation de l’ #Occident.

Dans cette #interview par #OlivierBerruyer pour #Élucid, François Jarrige revient sur la #notion de #progrĂšs, omniprĂ©sente dans les #discours #politiques et #mĂ©diatiques. Contrairement Ă  ce qu'affirme l' #adage, on peut arrĂȘter le progrĂšs ! Ou tout du moins le #questionner, et #observer que la course incessante aux #nouvelles #technologies, loin d'apporter plus de #confort Ă  l' #humanitĂ©, tend Ă  #dĂ©truire nos #liens #sociaux, et notre #environnement. Il serait donc temps de cesser de #disqualifier ceux qui Ă©lĂšvent des #contestations contre cette #idĂ©ologie, et de #rĂ©flĂ©chir Ă  #bĂątir un #monde rĂ©ellement conforme aux #besoins du plus grand nombre.

👉 L' #article d' #AnthonyGalluzzo sur le #Mythe de l' #entrepreneur : https://elucid.media/democratie/mythe-entrepreneur-legitime-capitalisme-elite-anthony-galluzzo/