#progrès

bliter@diaspora-fr.org

Comme toujours la #France aura son Bac avec mention en travaillant trois semaines - #Campagnol

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https://www.youtube.com/watch?v=aJbQrbnV19s


La France entretient clandestinement le feu de l' #humanisme et saura toujours le répandre

https://odysee.com/@campagnoltvl:2/salut2:b.
https://crowdbunker.com/channel/srBOV4Ke


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L' #Europe #humaniste, celle des seins nus sous les balcons, ne renoncera jamais à ce qu'elle est
La conférence de Marseille

#politique #technologie #idéologie #IA #ChatGPT #progrès #mondialisme #culture

tina@diaspora.psyco.fr

Tout détruire au nom du "progrès" : la réalité derrière le mythe.

Dans cette interview, François Jarrige revient sur la notion de progrès, omniprésente dans les discours politiques et médiatiques. Contrairement à ce qu'affirme l'adage, on peut arrêter le progrès ! La course incessante aux nouvelles technologies, loin d'apporter plus de confort à l'humanité, tend à détruire nos liens sociaux, et notre environnement.
Il serait donc temps de cesser de disqualifier ceux qui élèvent des contestations contre cette idéologie, et de réfléchir à bâtir un monde réellement conforme aux besoins du plus grand nombre.

Looongue vidéo (01:30) mais on peut l'écouter en plusieurs fois. C'est passionnant.

#société #progrès #humanité #technologies

bliter@diaspora-fr.org

TOUT DETRUIRE AU NOM DU « #PROGRÈS » : LA #RÉALITÉ DERRIÈRE LE #MYTHE - #FrançoisJarrige - #ÉLUCID

https://www.youtube.com/watch?v=i65icff3g8k

François #JARRIGE est #historien, #maître de #conférences en #histoire #contemporaine à l' #université de #Bourgogne. Il est entre autres l' #auteur de " #Technocritiques : Du #refus des #machines à la #contestation des #technosciences". Il #travaille sur histoire des #sociétés #industrielles et #interroge les #conflits, #débats et #controverses qui accompagnent les changements #techniques et l’ #industrialisation de l’ #Occident.

Dans cette #interview par #OlivierBerruyer pour #Élucid, François Jarrige revient sur la #notion de #progrès, omniprésente dans les #discours #politiques et #médiatiques. Contrairement à ce qu'affirme l' #adage, on peut arrêter le progrès ! Ou tout du moins le #questionner, et #observer que la course incessante aux #nouvelles #technologies, loin d'apporter plus de #confort à l' #humanité, tend à #détruire nos #liens #sociaux, et notre #environnement. Il serait donc temps de cesser de #disqualifier ceux qui élèvent des #contestations contre cette #idéologie, et de #réfléchir à #bâtir un #monde réellement conforme aux #besoins du plus grand nombre.

👉 L' #article d' #AnthonyGalluzzo sur le #Mythe de l' #entrepreneur : https://elucid.media/democratie/mythe-entrepreneur-legitime-capitalisme-elite-anthony-galluzzo/

dudababel@diaspora-fr.org

(je suis pas sûr d’avoir déjà poster ce texte ici, mais bon dans le doute …)


L’essentiel, c’est d’arrêter de croire de #Orwell ou #Huxley étaient des dystopies. Peut importe quel était l’empire mafieux qui invente la bombe atomique, il fallait de toute façon qu’elle soit lancée au nom du bonheur des humains, de la non-violence et de la paix dans le monde, au nom du #Progrès : il fallait que toute montée d’un cran dans le niveau de #violence soit compensée par une montée d’un cran dans la mystification, pour maintenir la supportabilité des masses dans un monde d’autant plus insupportable, pour que la course en avant dans l’horreur puisse continuer.

La nation la plus coupable n’est que la nation la plus avancée techniquement : les vertus et les vices des États ne sont que leur faiblesse ou leur force technique, seul paramètre de la variation dans l’intensité d’une violente dont elles partagent la substance. Si les #Japonais n’ont pas atomiser les #États-Unis , c’est seulement faute de moyens. Si les États-Unis ont lancé la bombe sur #Hiroshima , c’est seulement parce qu’ils l’ont inventés en premier. Il n’y a pas de Japonais, il n’y a pas d’Américains, il n’y a que les bombes, il n’y a que la guerre, ses enjeux et ses moyens de plus en plus perfectionnés. Le peuple qui les accepte n’est plus qu’un instrument et l’humain le rouage de la machine à faire le mal.

À qui la faute ? Au pilote de l’avion ? Il n’a pas lancé la bombe. Au bombardier ? C’est le pilote qui l’avait mené. Aux ouvriers ? Le travail était trop divisé et ils ignoraient qu’ils fabriquaient la bombe. Au général ? Il ne faisait qu’exécuter un ordre supérieur et justement ce jour-là, il était malade : c’est un sous-ordre qui … Au président Truman ? C’était Roosevelt qui avait mis les choses en marche, et il était bien obligé d’obéir aux volontés de l’État profond américain. L’État profond américain ? Il défend mécaniquement son intérêt objectif.
La chose s’est faite automatiquement. Qui peut-on qualifier de responsable ? Tous ceux qui n’ont pas voulu devenir responsables.

Si Turin à finit en Italie et pas en France, c’est (au regard de l’histoire de l'histoire franco-italienne et du positionnement des Alpes) seulement faute de moyens. Si Moscou ne prend pas Kiev et si Kiev ne prend pas Moscou, c’est seulement faute de moyens. Il n’y à pas d’Ukraine ni de Russie, il n’y à que l’État, ses mafias locales, leurs conflits d’intérêts économiques et historiques.
Il n’y à pas d’OTAN ni d’OCS, il y a le progrès de la crise du marché mondial, ses mafias mondiales et leurs conflits d’intérêts, son humanité-marchandise sous contrôle et ses boucheries finales automatiques.
Il n’y à pas de russes ni d’ukrainiens, pas de français ni d’italiens, pas d’américains ni d’iraniens, pas israéliens ni de palestiniens, il n’y à que la révolution et la contre-révolution.
Derrière toutes les mystifications guerrières il n’y à qu’une seule guerre, et c’est la guerre de classe contre l’État et le capitalisme, pour l’émancipation de l’humanité, dont chaque âme humaine est une bataille.

cgib@diaspora-fr.org

Quand l’argent remplace le cuivre | IPNS

Un peu partout sur le territoire, des milliers de câbles de fibre optique sont déployés et l’obligation de souscrire à un abonnement « fibre » plus onéreux pour pouvoir se connecter à Internet à la maison et utiliser un téléphone fixe est déjà une réalité pour dix millions de foyers en France… Cela deviendra progressivement le cas pour tous les autres dans les prochaines années.

#politique #technocritique #productivisme #rentabilité #téléphonie #ADSL #cuivre #fibre #Progrès #IPNS

part_of_you@diaspora.psyco.fr

Aldous Huxley, les Zuñis, les femmes et le progrès technologique
(par Nicolas #Casaux)
Extrait:

Dans "La Fin et les Moyens" un livre initialement paru en 1937, Aldous #Huxley affirme :

« Tel est le monde dans lequel nous nous trouvons — un monde qui, d’après le seul critère acceptable du #progrès, est manifestement en régression. Le changement technologique est rapide. Mais sans progrès dans la charité, le développement technologique est inutile. Il est même pire qu’inutile. Le progrès technologique n’a fait que nous fournir des moyens toujours plus efficaces pour régresser. »

Il observe par exemple (des décennies avant l'invention d’internet, du smartphone, de l'ordinateur, etc.) :

« Le progrès technologique a diminué les contacts physiques, appauvri les relations spirituelles entre les membres d’une communauté. »

Un peu plus loin, il remarque cependant que la volonté de pouvoir, qui gouverne la civilisation industrielle et se trouve à l'origine de bien des maux qui la caractérisent, n'est pas une tare inéluctable de toute société humaine :

« Il est possible d’organiser une société de sorte que même cette propension fondamentale que constitue la soif du pouvoir puisse avoir du mal à s’exprimer. Chez les Indiens zuñis, par exemple, les individus ne sont pas amenés à connaître cette tentation qui pousse les hommes de notre civilisation à travailler en vue d’acquérir de la célébrité, des richesses, une position sociale ou du pouvoir. Chez nous, le succès est toujours exalté. Parmi les Zuñis, il est tellement mal vu de rechercher la distinction personnelle que très peu aspirent à s’élever au-dessus des autres ; ceux qui essaient sont considérés comme de dangereux sorciers et punis en conséquence. Il n’y a pas d’Hitler, pas de Kreuger, pas de Napoléon et de Calvin. La soif de pouvoir ne trouve aucune occasion pour se manifester. Dans les communautés tranquilles et équilibrées des Zuñis et d’autres Indiens des Plaines, toutes les tentations de l’ambition personnelle — les débouchés politiques, financiers, militaires, religieux auxquels notre histoire nous a si douloureusement accoutumés — sont endiguées.

Le schéma social des #Indiens des Plaines ne peut pas être reproduit par la #société industrielle moderne. Il ne serait d’ailleurs pas désirable que nous prenions ces sociétés indiennes pour modèle. Parce que la victoire des Indiens des Plaines sur la soif de pouvoir a un cout élevé. Les Indiens des Plaines ne recherchent pas le pouvoir et la richesse, comme nous, mais ils croulent sous le poids de la tradition. Ils sont attachés à tout ce qui est vieux et terrifiés par tout ce qui est nouveau ou inconnu. Ils perdent beaucoup de temps et d’énergie à exécuter des rites magiques et à répéter d’interminables formules. Dans le langage de la théologie, nous pourrions dire que les péchés mortels qui nous accablent sont l’orgueil, l’avarice et la malice. Leur péché mortel est la paresse — par-dessus tout la paresse mentale, ou la stupidité, contre laquelle les moralistes bouddhistes avertissaient tant leurs disciples. Le problème auquel nous sommes confrontés est le suivant : pouvons-nous combiner les mérites de notre culture à ceux des sociétés des Indiens des Plaines ? Pouvons-nous créer une nouvelle société dont les défauts de ces deux modèles, les Indiens des Plaines et la civilisation industrielle, seraient absents ? Est-il possible pour nous d’acquérir les admirables habitudes de non-attachement à la richesse et au succès personnel tout en préservant notre acuité intellectuelle, notre intérêt pour la science, notre capacité à promouvoir un progrès technologique et un changement social rapide ? Impossible de répondre à ces questions. Seules l’expérience et l’expérimentation délibérée pourront nous dire si notre problème peut être résolu. »

En réalité, la réponse était déjà claire en son temps. Non. Non, la #technologie, le développement technoscientifique, produit du système capitaliste, de la société de masse, industrielle et de ses hiérarchies structurelles, de son hyperdivision du #travail, de la concentration du savoir, de l’avoir et du pouvoir, est incompatible avec l’équilibre (l’égalité) et la tranquillité. En outre, en prêtant des caractéristiques douteuses aux Zuñis (clichés des #sauvages terriblement superstitieux, terrifiés par l’inconnu, indolents, pas bien intelligents), Huxley fait montre d’un racisme évident. Mais surtout, la question qu’il pose est absurde. Tout au plus témoigne-t-elle du fait qu’à l’instar de la plupart des civilisés, Aldous Huxley était envoûté par le Dieu #Technoscience, adepte, lui aussi, du culte du « progrès technologique ».

Par ailleurs, concernant les Zuñis, peuple autrefois prospère du sud-ouest des États-Unis, qui occupait la partie centrale et septentrionale de l’actuel Arizona et du Nouveau-Mexique — un territoire aride ou semi-aride — où il vivait, depuis au moins l’an 700 apr. J.-C., d’agriculture, de chasse, de pêche et d’élevage[1], l’anthropologue états-unienne spécialiste des sociétés amérindiennes Nancy Bonvillain note[2] :

« Les familles zuñis étaient apparentées par les #femmes — les filles mariées restaient dans le foyer dans lequel elles étaient nées, mais les fils mariés quittaient généralement la maison et s’installaient dans le foyer de leur épouse. Un foyer zuñi traditionnel comprenait une famille élargie composée d’un couple, de leurs filles, des maris et des enfants de leurs filles, et de leurs fils non mariés. Cette structure sociale avait pour effet d’amoindrir l’autorité des hommes dans le foyer ; par conséquent, la personne qui organisait traditionnellement les activités des résidents — et s’assurait que tous les travaux nécessaires étaient effectués — dans un foyer zuñi était la femme la plus âgée. Elle était également la personne à consulter pour obtenir des conseils sur les problèmes ou les décisions importantes.

En plus de la famille élargie, le système social des Zuñis comprenait des groupes de parents appelés lignages. Un lignage est constitué de personnes liées par une descendance directe d’un ancêtre ou d’un aîné connu. Les lignages zuñis étaient matrilinéaires, ou basés sur le principe de la succession par les femmes. La femme survivante la plus âgée d’une lignée était généralement considérée comme le chef de cette lignée et jouait un rôle actif dans la vie de ses membres en prodiguant des conseils, en réglant les conflits et en organisant les activités du groupe. En outre, la femme-chef protégeait certains objets sacrés qui étaient considérés comme la propriété de son lignage ; ces objets étaient généralement conservés dans un paquet placé sur un autel érigé dans une pièce spéciale de la maison.

[…] Ces lignées étaient combinées en de plus grandes unités de parenté appelées clans. Un clan est un regroupement de personnes qui s’estiment liées à un ancêtre commun. Un membre de plus d’une douzaine de clans zuñis n’était pas toujours en mesure d’établir son lien de parenté spécifique avec tous les autres membres, mais les membres du clan se considéraient tous comme les descendants d’un personnage spécifique d’un passé lointain. À l’instar des autres groupes de parenté zuñis, les clans zuñis étaient matrilinéaires, et les enfants zuñis appartenaient automatiquement au clan de leur mère.

[…] En plus de leur rôle dans la détermination des mariages appropriés, les clans remplissaient plusieurs autres fonctions dans la société zuñi. Chaque clan contrôlait certaines zones de terres agricoles sur le territoire zuñi. Les femmes les plus âgées d’un clan, qui étaient les chefs de clan, distribuaient les terres aux lignées et aux foyers de leur groupe. Les femmes d’un même foyer disposaient de parcelles de terres agricoles et pouvaient en hériter, mais ces parcelles n’étaient pas de véritables propriétés privées appartenant à des individus. La terre était plutôt considérée comme une ressource contrôlée, en dernier ressort, par le clan dans son ensemble, et les membres du clan avaient le droit d’utiliser la terre en fonction de leurs besoins. Si les femmes d’un foyer héritaient des terres agricoles, c’étaient les hommes qui effectuaient les travaux agricoles. Un homme travaillait sur la terre de sa mère jusqu’à ce qu’il se marie, après quoi il s’installait dans le foyer de sa femme et travaillait sur la terre de sa famille.

Comme les parents zuñis vivaient et travaillaient ensemble et partageaient la nourriture et les autres biens, les membres de la famille avaient tendance à être profondément loyaux et émotionnellement proches les uns des autres. Les liens entre parents et fils et entre sœurs et frères restaient également forts, même lorsqu’un homme quittait le foyer après le mariage. On s’attendait à ce que les hommes retournent fréquemment dans leur foyer d’origine pour aider à célébrer les fêtes familiales et donner un coup de main à leurs proches.

[…] Les Zuñis formaient des liens avec des non-parents par le biais du mariage. Les couples mariés devaient agir comme des partenaires, coopérer dans leur travail et aider à soutenir leurs familles respectives. Le mariage était considéré comme une activité très personnelle, et la conduite au sein d’un mariage n’était pas réglementée par une quelconque loi (même si elle pouvait alimenter des ragots). La plupart des mariages fonctionnaient, mais si un couple ne s’entendait pas bien, les conjoints étaient entièrement libres de divorcer (la femme gardait toutefois ses enfants). Si l’homme choisissait de divorcer, il quittait simplement le foyer de sa femme et retournait chez sa mère. Si la femme voulait mettre fin au mariage, elle plaçait les biens de son mari à l’extérieur de la maison afin que l’homme les récupère et s’en aille.

Mais lorsque le mariage était heureux, les liens qu’il établissait s’étendaient au-delà du couple pour inclure les deux ensembles de parents, et les enfants nés du couple pouvaient dépendre des membres de leur propre foyer et de la famille de leur père (ou, si leurs parents divorçaient, de la famille de leur beau-père) pour leur soutien. Chez les Zuñis, l’éducation des enfants n’était pas seulement la responsabilité des parents, mais de toute la famille. »

Les villages zuñis comprenaient aussi des conseils de prêtres, composés d’hommes, qui nommaient à leur tête un « pewkin », choisi pour « sa générosité » et pour le respect que tous et toutes les Zuñis du village lui témoignaient. Toujours en ce qui concerne la vie sociale des Zuñis, Nancy Bonvillain note que « les Zuñis réprouvaient fortement les individus vantards, querelleurs, peu coopératifs ou avares ». Elle rapporte les propos de Ruth Bunzel, une anthropologue ayant séjourné chez les Zuñis de 1928 à 1933 :

« Dans toutes les relations sociales, que ce soit au sein du groupe familial ou à l’extérieur, les traits de personnalité les plus honorés sont une conduite agréable, un tempérament coopératif et un cœur généreux. Celui qui a soif de pouvoir, qui veut être, comme ils le disent avec mépris, “un chef du peuple”, ne fait l’objet que de reproches. »

En fin de compte, explique Nancy Bonvillain :

« Grâce à un système de gouvernement unique, à une exploitation judicieuse des ressources qui les entouraient et à un système social qui mettait l’accent sur le soutien mutuel et la coopération, les Zuñis avaient créé une société fonctionnant sans heurts et offrant à la plupart des individus une vie paisible et pleine de sens. »

Nancy Bonvillain cite d’ailleurs un officier espagnol, Francisco Vasquez de Coronado qui, en 1540, consigna, à propos des Zuñis, qu’ils avaient « de très bonnes maisons », qu’ils paraissaient « très intelligents », qu’ils étaient « bien bâtis » et « accueillants », que leur nourriture était « abondante » et qu’ils faisaient « les meilleures tortillas » qu’il avait jamais mangées.

Somme toute, sans être idyllique, la situation des Zuñis semblait plutôt désirable. Aldous Huxley se trompait. Le « progrès technologique » (le développement des technologies industrielles et des hautes technologies) est inéluctablement synonyme de désastres sociaux et écologiques. Et puis, tout de même, les meilleures tortillas, c’est déjà pas mal."

#dgr #société #science #capitalisme
Tout l’article : https://www.partage-le.com/2022/02/06/aldous-huxley-les-zunis-les-femmes-et-le-progres-technologique-par-nicolas-casaux/

bliter@diaspora-fr.org

COMMENT LES RÉSEAUX SOCIAUX ONT DETRUIT LA DÉMOCRATIE - #ÉLUCID

▶ Fabrice EPELBOIN est un #spécialiste des #médias #sociaux, #entrepreneur et #enseignant. Depuis des années, il alerte sur les effets de l' #astroturfing : la #manipulation de l' #opinion #publique via les #outils #numériques.

Dans ce #contexte de #crises sociale et #politique majeures, #FabriceEpelboin a livré sur ÉLUCID son #analyse des #enjeux en cours : du #Metaverse #Zuckerberg à la #surveillance de masse des #populations, comment l' #hégémonie du #numérique a complètement bouleversé notre rapport au monde, et asséné le coup fatal à nos #démocraties...

SOMMAIRE :

0:00 - 9:42 : La #démocratie face à la #polarisation de l’ #opinion
9:42 - 19:57 : L' #astroturfing dans la #campagne de #Trump
19:57 - 28:14 : Le #génie des #trolls #russes
28:14 - 34:37 : #Affaire #Pegasus
34:37 - 41:32 : Le #hacking #cognitif par #Trump et #Poutine
41:32 - 46:17 : La #lutte contre la #haine sur #Internet
46:17 - 1:00:06 : Les #chasseurs de #complotistes
1:00:06 - 1:07:13 : Le #flop de la #révélation des #interceptions obligatoires #légales
1:07:13 - 1:13:13 : Rien à cacher, et demain ?
1:13:13 : Le #progrès #technique et l’ #abandon du #progrès #social

https://www.youtube.com/watch?v=c-MQPOoM6-E
#facebook #numérique #Élucid #gafam #politique #RéseauxSociaux

fiel@diaspora-fr.org

#Election2022 #Présidentièlle #JLM2022 #LFI #UnionPopulaire …. #Anarchiste #Abstention ou ?

Bonjour toutes et tous

ce post doit vous questionner ?
sachez que je me suis questionné un bon moment, avant de me lancer, et faire ce post
post qui risque d'en surprendre, choquer, aimer, critiquer .....

et vous aviez l’habitude ( pour ceux me connaissant) qu’avant chaque election je publiais beaucoup en faveur de l’ #Abstention mais ,,,
mais j’ai décidé hier que je voterais pour #JLM !
avec en particulier cette image

Et, non seulement je voterais #JLMélenchon mais je ferais même un peu plus ; en m’engageant dans un groupe Local #LFI ( ce qui est fait depuis aujourd’hui ) pour aider aux maximum, et faire tout mon possible pour éviter a la #Droite ou a l’extrème droite ( #Macon #Pecresse #Lepen #Zemmour) de garder ou prendre le pouvoir,

donc je veux faire barrage du mieux que je pourrais pour que le Fascisme ne passe pas : #NoPassaran
et pense que le seul #vote-Utile ( #voteUtile) a gauche soit la Méluche ;)

voila maintenant je sais que je vais être critiquer certainement par mes #compagnons de #lutte que je n’est jamais « trompé » depuis mon engagement avec eux,
mais comme dirait l'autre : "il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis (en plus pour un engagement de 6 mois donc provisoire )

mais j’éstime et craint au plus au point, (pour nous tous,tes) qu’a cette prochaine Election l’extrème droite a des chance de passer avec Zemmour ou Lepen surtout si ils finissent par s’allier, et je pense que si ça leur est permis d'être dans cette situation ? ils le feront !
Donc vu que je n’ai pas envie de #Fascisme dans mon pays , je fais tout ça, éspérant pas me tromper, mais je ne me sent pas capable aujourd’hui de ne rien faire et de me le reprocher le reste de ma vie aux cas ou ces fous folle dangereux.ses acèdent au pouvoir !

Par contre (pour ceux me cannaissant) je pense que certains vont ëtre agréablement surpris @paco @Anne Art @Louise Michel @nadlorio @tina

mais de toute façon je me fout de ce qu’on pense, je fait tout ça pour les raisons exposés plus haut ou ci dessous

Je rappel par exemple, qu’en [février #1936 en #Espagne :](»février 1936, les partis de gauche, unis par un pacte d'alliance qui promet la libération de tous les syndicalistes emprisonnés, sont soutenus par la CNT. (Confédération Nationale des Travailleur : #Anarcho-Syndicaliste) Le Front populaire remporte les élections, les prisons ouvrent leurs portes. »*) et surtout les « réactionnaire » perdent …… (oui je sais que le front populaire trahira quelque mois par la suite ces soutiens et que cela n’empéchera pas la guerre civile, mais que la plus belle des Révolution sociale et libertaire commença aussi ) mais bon nous somme ni en espagne ni en 36 et je veillerais a ce que JLM si élue ne trahira pas sont propre projet, je serrais en soutien si ils avance mais « son pire ennemi » en cas de trahison )

Car même si aujourd’hui en france rien n’est pareille, (pas de front populaire, anarcho-syndicalisme très faible voir Groupusculaire malheureusement et syndicaliste réformateure en berne ce qui n’est pas plus mal, vu ce que ça a donné : naissance des mouvement comme #nuitdebout les #giletsjaune, les « cortège de tête … )

il y a quand même qu’elle parallèles : surtout avec le risque que le #Fascisme prenne le pouvoir :(

et, ça je ne le veut pas, car certains d’entre nous serront en réèl danger je ne le veux pas, ni pour moi,ni pour tout mes compagnons de lutte, mes amis, famille et, tout ce que je ne connais pas, mais qui lutte pour le #progrès !

Il y a aussi #Malatesta avec son gradualisme-Révolutionnaire (avec qui je vous bassine souvent ^ ) qui m’a aider a prendre cette décision, (même si je sais, que l’LFI n’a rien de révolutionnaire je sais ….),

et j’ai pris bien sur cette décision en toute #Autonomie par rapport aux organisation #anarchiste #CNT #UCL #FA #CGA …. qui eux proneron tjrs l’abstention et je ne leurs en veux pas ;)

et moi cette engagement ne m'empèchera pas jde continuer toujours sur le chemin de l’Anarchisme comme « hier, aujourd’hui, demain » :)

#NoPassaran !!!

angeliqueandthehord@joindiaspora.com

MON VOISIN

Quand je faisais un progrès, tout le monde applaudissait et j'étais très fière. Mon dernier progrès, c'était de pouvoir monter les escaliers toute seule, sans qu'on me portât. J'arrivais à monter un étage en entier. C'était dur !
Ce jour-là, revenant de commissions avec Maman, je montais les escaliers marche par marche et Maman, à ma droite, me tenait la main. Je commençais à fatiguer mais quand je vis Nicolas sur le palier du premier, je mis toute mon énergie à lui montrer fièrement ce dont j'étais capable.
Lui aussi avait l'air très fier. Il était debout sur ses deux pieds et tenait sa maman d'une seule main. De son autre main, la droite, il tenait un anneau en plastique de couleur vive, qu'il s'amusait à porter à la bouche. Nicolas, c'était mon voisin, un bébé aux boucles blondes de six mois plus jeune que moi. C'était la première fois que je le voyais debout.
Nous étions face à face. La maman de Nicolas, du haut des escaliers, engagea la conversation avec Maman et les deux dames se parlèrent, tandis que Maman et moi finissions de gravir les marches. Nicolas me regarda faire d'un air pensif.
Lorsqu'enfin j'enjambai la dernière marche et me retrouvai triomphalement sur le palier, devant Nicolas, il retira son anneau en plastique de sa bouche et me le tendit en disant :
« Ma sœur. »
Touchée par le compliment, je pris son jouet dans ma main et il le lâcha.
« Non, ce n'est pas ta sœur »
rectifia sa maman.
Évidemment que je n'étais pas sa sœur. Tout le monde le savait mais peu importe, j'avais bien compris ce qu'il avait voulu dire avec son maigre vocabulaire.
Enfin, quand je dis peu importe, ce ne fut visiblement pas le point de vue de Nicolas, qui regarda sa mère d'un air mécontent, vexé d'être pris pour un idiot. Et pour montrer qu'il savait ce qu'il disait et pourquoi il le disait, il répéta avec aplomb :
« Ma sœur. »
Cela n'eut pas l'effet escompté car sa mère lui redit :
« Non, ce n'est pas ta sœur. »
Les joues de Nicolas devinrent toutes rouges, il trépigna et en tomba sur les fesses. Sa maman me reprit l'anneau des mains d'un geste délicat, comme si elle craignait que je voulusse le garder. Je le rendis de bonne grâce. Ce jouet était à Nicolas. Il n'avait pas eu l'intention de me le donner vraiment, juste l'utiliser pour véhiculer sa pensée. D'ailleurs, Nicolas, qui s'était vite remis debout pour montrer comme il était grand, regarda d'un bon œil la main de sa mère récupérer l'anneau.
La maman de Nicolas poursuivit bien tranquillement sa conversation avec Maman.
Nicolas, la regardant, insista :
« Ma sœur. »
Aussitôt, sa maman s'interrompit et lui dit gentiment :
« Non, ce n'est pas ta sœur. »
Cette fois, Nicolas se mit à bouillir. Il savait se mettre debout, il savait dire ma sœur et, malgré toutes ces prouesses qui le faisaient se sentir grand, il n'arrivait pas à se faire comprendre ! Eh oui, il en faut de la patience quand on est bébé et qu'on n'a pas les moyens d'exprimer sa pensée. Je connaissais bien ça. Apprendre à parler, c'est très long. Apparemment, Nicolas en manquait, de patience. Il n'en n'était qu'à prononcer ses premiers mots et il aurait voulu pouvoir tout dire avec.
Aussi, il se concentra aussi fort qu'il put, regroupa toutes ses connaissances linguistiques, y mit toute la force de l'émotion et cria donc :
« Ma sœur ! »
Sa maman qui, de toute évidence, ne comprenait pas la métaphore, voulait se faire un scrupuleux devoir de détromper son fils et répéta, toujours aussi calmement :
« Non, ce n'est pas ta sœur. »
Cette fois, ça y était : Nicolas fit une colère.
Moi, ça m'arrivait de faire des colères mais c'était la première fois que je voyais ce que ça donnait de l'extérieur. Moi, là, je n'étais pas en colère, je n'avais pas de raison de l'être. Je me sentais calme, très calme et je voyais devant moi un autre bébé que moi-même faire une colère. Tout ça pour avoir voulu me témoigner de la sympathie. Pauvre Nicolas !
Et Nicolas répétait toujours les mêmes mots depuis le début : « ma sœur » ; et sa maman répétait toujours les mêmes mots depuis le début : « non, ce n'est pas ta sœur » ; et la mère et l'enfant croyaient, chacun de son côté, que les mots qu'ils employaient allaient finir par véhiculer le message qu'ils se refusaient à véhiculer depuis le début ; et la mère ne se rendait pas compte que c'était elle qui ne comprenait pas ce que son enfant essayait de lui dire ; et, chaque fois qu'elle le contredisait, la colère de Nicolas montait d'un cran.
J'aurais voulu lui dire que moi, j'avais compris mais comment le dire ? Il ne s'occupait plus de moi et j'aurais eu du mal à me faire entendre au milieu de ses cris. Si seulement j'avais pu lui souffler le mot ami… je l'avais sur le bout de la langue… je ne savais pas précisément, je ne voulais pas déclencher une nouvelle polémique. Je ne possédais pas beaucoup plus de vocabulaire que lui.


SEX AND DESTROY un nouveau son rock ?
2ème partie : LA PRINCESSE DANS LE DONJON
Chapitre 12 : C'est mes potes
section 14 sur 20


#bébé #progrès #voisin #mot #compréhension

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #écriture #article #société #destruction #terre #Hommes #perspectives #économie #croissance #progrès #exploitation #mywork #mytext

Qu’est-ce qui est le plus grave, le plus urgent, le plus inquiétant, le plus, plus, plus …..Les pollutions atmosphériques et terrestres ? Les pillages et l’exploitation sans réserve des ressources naturelles, forêts, eau, terre, des matières premières, des Hommes ? Les milliers de morts des guerres impérialistes, colonialistes, hégémoniques et/ou suprémacistes ? La faim qui sévit toujours dans le monde malgré les richesses amassées ? Les déchets imputrescibles accumulés par nos sociétés productivistes ? Le capitalisme mondial qui tel moloch dévore la planète et ses habitants ? ….. le coronavirus ?…. La liste est malheureusement non exhaustive. J’ai le tournis devant un tel déferlement de destruction, de désastre et de saccage qu’il nous faudrait éradiquer pour le bien être des «futures générations» à qui nous laisserons, avec la «fameuse dette », une planète dévastée et invivable. Il faut en permanence résister aux chants des sirènes pour ne pas tomber de Charybde en Scylla. Éviter les pièges d’un « progrès »  à tout prix jumelé à l’exigence d’une croissance économique infinie qui nous enlisent. Arrêter la prépondérance de la finance sur la vie. Freiner notre addiction excessive à la technologie. Résister aux provocations incessantes du pouvoir pour nous distraire de l’essentiel. Notre société n’est plus basée sur les bienfaits d’une communauté d’intérêts, de solidarité, de partage, de protection des plus faibles, d’échanges de savoir-faire, de connaissances, d’informations pour le bien-être et l’épanouissement de tous. (Il faut croire à l’histoire ancienne), mais une mise en compétition et une concurrence acharnées de tous les individus de la naissance à la mort, avec en primauté l’intérêt personnel sur celui du groupe. Nous ne courrons pas à la catastrophe nous y sommes.

D’un côté les bataillons de « citoyens » lambdas, avec leur seule force de travail à disposition, que l’on peut exploiter à satiété, épuiser, sacrifier ad nauseam, de l’autre côté les donneurs d’ordre, les premiers de cordée, les financiers, les Grands Patrons, les vendeurs de canons, les capitaines d’industries, les capitalistes qui tuent, pillent et saccagent le bien commun pour leur profit immédiat et nous rendent complices de leurs atrocités par lâcheté, aliénation, persuasion et assimilation bon gré, mal gré de leurs valeurs essentielles : l’argent roi et la consommation à outrance, sans l’embarras des préoccupations environnementales. On peut appeler cette confrontation comme l’on veut. On peut déplorer cette sempiternelle opposition. On peut vouloir la nier où s’en accommoder, mais c’est un fait avéré de notre l’histoire, avec aujourd’hui en point de non-retour, notre survie sur la terre. Il nous restera comme dernière ressource, le recyclage des bouteilles en plastique et pour les plus fortunés, la migration sur Mars…..

Nature/Hommes, nous sommes irrémédiablement mêlés dans le tambour de la centrifugeuse et le bouton d’arrêt semble hors de portée. Nous assistons Impuissants bien que révoltés à la transformation de notre monde en une bouillie informe, un fatras dévitalisé, en décomposition, insalubre. Mireille MOUTTE
Psaume 139:17
«… Que tes pensées, ô Dieu, me semblent impénétrables! Que le nombre en est grand…. » la Sainte Bible

anarchiste@framasphere.org

#Covid #pandémie #virus #capitalisme #progrès #technologie
#écologie #environnement #écocide #déforestation #biodiversité #planète
#anarchisme #anticapitalisme

★ LE PRIX EXORBITANT DE LA DÉMESURE...

" L’arrogance, l’autosatisfaction, l’optimisme béat et la loi du profit ont conduit à considérer prématurément les maladies infectieuses comme appartenant au passé (des moyens spécifiques ont été supprimés), à ignorer les multiples avertissements émis, notamment depuis le milieu des années 2000 – et même bien avant – par des dizaines de scientifiques à plusieurs occasions (SARS, Zika, grippe aviaire H1N1, Nipah…), à découpler la santé des humains de celle de l’environnement. Or une vision globale, une approche transdisciplinaire, une perception écologique de l’émergence des maladies permettent d’entrevoir la complexité des relations, des interactions entre les agents pathogènes, leurs hôtes et l’environnement, et donc la difficulté à prévoir cette émergence (...) "

▶▶ https://www.socialisme-libertaire.fr/2021/07/le-prix-exorbitant-de-la-demesure.html

pigrosol@framasphere.org

Je pense que notre action, pour être salvatrice, utile et apporter de l’originalité, doit être posée plus en amont des préoccupations #populaires : il s’agit de remettre en question tout le #système avec toute son idéologie; afin qu’il puisse être remplacer complètement et disparaître.

L’idéologie du système, c’est ce que les #industriels et autres #opposants ont intégrés à notre #culture au fur et à mesure; et ça remonte loin, notamment avec les 4 mythes perceptions du #paradigme dominant actuel, à savoir : “seule la matière compte”, “la survie du plus fort”, c’est génétique", “l’évolution est aléatoire”.

Leurs idéologies a des retombées dans nos vies de manière plus concrète, plus tactile par exemple par l’usage du “frigo” qui est spécialement adapté pour l’alimentation industrielle; il a débarqué dans nos foyers par l’effet de l’#industrialisation, c’est devenu une #norme au court des années 80, alors qu’avant les gens se nourrissaient autrement, conservaient autrement. (l’attrait pernicieux du fameux #progrès censés apporter le bonheur ^^ …)

Finalement, ce que nous considérons comme normal, notre #culture, est entièrement teinté au grès des industriels et autres #lobbyistes pro religieux ou pas.

Cette “culture industrielle” constitue l’univers des possibles du #citoyen populaire ; c’est pourquoi beaucoup de citoyens n’envisage pas une société sans une #autorité supérieure (au souverain qu’il est censé être); on lui a appris a croire, a justifier, rationnellement (sur des infos qu’il n’a jamais pris la peine de remettre en question) des visions de la réalité erronées afin qu’il se maintient lui même dans une situation demandant une autorité. ou “comment l’homme libre choisit d’être esclave” : la #servitude volontaire.

Donc l’idée globale de mon projet c’est finalement d’amener une élévation du niveau des débats des classes populaires, tout en proposant une vision holistique et empirique viable, un programme à appliquer et une #transition pour passer du système actuel à la nouvelle #société #démocratique.

Cela peut sembler radical, c’est que je veux vraiment prendre le problème à la racine, juste histoire que vers 2200 nos petits petits enfants n’aient pas eux aussi à faire une “révolution” parce que l’on aura encore permis à une autorité étatique de spoiler le pouvoir souverain du citoyen; il est temps que le citoyen joue son rôle, se responsabilise; sinon on fait juste de relancer la machine pour x années.

#peuplesouverain #neolution #pigroSol