#azov

salinger3@diaspora-fr.org

Dans une interview accordée au journal national Argumenti et Fakti, Nikolai Patrushev a souligné que «le nazisme doit être éradiqué à 100 %, sinon il refera surface dans quelques années sous une forme beaucoup plus laide»

Il fait référence aux propos du président Vladimir Poutine qui justifie l’invasion en Ukraine par une campagne de «dénazification». Patrushev, ancien chef des services d’espionnage, est considéré comme un membre belliciste du cercle restreint de Poutine.

Nikolai Patrushev, le chef du Conseil de sécurité de la Russie

Trop bien, on pensait qu’ils allaient s’arrêter après avoir liquidé le bataillon #azov .
Il y aurait donc encore des nazis qui se cachent ailleurs en Ukraine et dans le monde ?

#Poutine #ukraine #NikolaiPatrushev #Patrushev

salinger3@diaspora-fr.org

#BFMTV a-t-elle invité en plateau des Ukrainiennes néonazies mariées à des soldats du régiment #Azov?

Allez hop encore un mensonge de troll nazi pro poutine faisant croire que l'Ukraine est peuplé de #nazis

#fakenews

https://twitter.com/KatProkopenkoUa/status/1525242406223872001

Qu'ils sont lourdingues ! #booba and co

https://www.liberation.fr/checknews/bfm-tv-a-t-elle-invite-en-plateau-des-ukrainiennes-neonazies-mariees-a-des-soldats-du-regiment-azov-20220522_DXUL43HOTRDG5MPG5XB4FAATSM/

#ukraine #nazi

olladij@diaspora.permutationsofchaos.com

In the witchhunt for #fascism among fringe groups in #Ukraine and especially in the campaign to find #Nazis among the #Azov Regiment, commentators have overlooked the emergence of genuine state fascism in #Russia. This happened because Russian #propaganda abuses political illiteracy to justify its military intervention into Ukraine since 2014. Its goal is to plant the seeds of distrust in Ukraine as broadly as possible. It was this message that was bought all over the world when exposing Ukrainian fringe groups with no actual influence or public support. But in fact, it is Russia that embraced the main principles of fascism and incorporated them into its official #ideology.
In 77 years since the end of World #War II and the #Holocaust, matters of fascism are close enough since some survivors, perpetrators, and bystanders are still alive, but at the same time are far away enough to crystallize an amateur understanding of it as the ultimate evil with recognizable visible attributes.

https://euromaidanpress.com/2022/05/05/hunting-fascism-in-ukraine-you-overlooked-fascism-in-russia/ #italy #argentina #belarus #protasevich #humanrights #poland #history #donetsk

salinger3@diaspora-fr.org

Encore une Fake news sur la #crucifixion d'un prétendu militaire russe chrétien par une prétendue milice #azov ( chrétienne elle aussi mdr) #nazi

https://mythdetector.ge/en/disinformation-about-the-crucifixion-of-a-warrior-from-donbas-by-the-azov-battalion/

Cette vidéo est repartagée sans nuance et avec le même texte par des dizaines de sites et chaînes videos soit disant patriotes, nationalistes, d extrême droite, antivax et complotistes. Le parfait combo des trolls qui roulent en fait pour la propagande anti occidentale de Poutine, le champion de censure et du meurtre de ses opposants.

#propagande #fakenews #russie #poutine #ukraine #neonazi

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

#'GUERRE EN #UKRAINE

Qui sont les soldats du régiment Azov, accusés d’être les « #néonazis » de l’armée ukrainienne ?
Des photos des membres de ce groupe militaire sont très partagées dans le but de montrer que l’ #arméeukrainienne est « infestée de néonazis ». Ils sont pourtant peu représentatifs des forces armées du pays.

Par #RomainGeoffroy

C’est devenu un argument majeur des prorusses pour défendre la guerre en Ukraine : l’armée de #Kiev serait infestée de néonazis. Alors que le président russe, Vladimir #Poutine, a justifié son invasion par une volonté de « dénazification » de l’Ukraine, de nombreux internautes partagent ces dernières semaines des photos de soldats ukrainiens avec des symboles nazis : ceux du #régimentAzov. Ils affirment que, en soutenant l’Ukraine militairement, les pays occidentaux armeraient ainsi des ultranationalistes.

Quelles sont les origines de ce régiment Azov qui se bat aujourd’hui contre l’invasion russe dans plusieurs villes du pays ? Quels sont ses liens avec le reste des forces armées ukrainiennes ? Les soldats qui le composent doivent-ils tous êtres étiquetés « néonazis » ?

A l’origine, un bataillon de volontaires néonazis pour combattre les #prorusses du Donbass
Quand la guerre éclate dans le #Donbass en avril 2014, l’armée ukrainienne est désorganisée et le gouvernement craint de perdre le contrôle de ce territoire au profit de la #Russie, comme ce fut le cas le mois précédent en Crimée. Pour contrer les séparatistes prorusses, le gouvernement autorise des bataillons de volontaires indépendants de l’armée à combattre. Plusieurs formations armées d’ #extrêmedroite apparaissent.

Parmi elles, on trouve le « Corps noir », qui prendra rapidement le nom de « bataillon Azov » en référence à la mer qui borde la #Crimée et le sud-est de l’Ukraine. Il s’agit d’une unité d’une centaine de volontaires aux idées nationalistes et néonazies, dont certains sont « issus du hooliganisme et du paramilitaire », explique #AdrienNonjon, chercheur à l’Institut national des langues et civilisations orientales ( #Inalco), spécialiste de l’extrême droite et du nationalisme ukrainien.

Originaire de #Kharkiv, le fondateur du bataillon, #AndreïBiletski, dirige alors le parti xénophobe, antisémite et raciste Assemblée sociale-nationale (SNA). Azov va utiliser la même symbolique inspirée du nazisme que celle du #SNA. Son emblème, un #wolfsangel (« crochet de loup ») inversé, rappelle beaucoup l’emblème de la 2e division allemande SS « Das Reich ». Autre symbole du mysticisme nazi, un « soleil noir » représentant un svastika arrondi à plusieurs rayons est aussi incorporé un temps sur le logo du bataillon.

Sur Internet, les références assumées au #IIIeReich par certains membres du groupe sont documentées. Des photos sont régulièrement partagées par des militants prorusses souhaitant décrédibiliser l’armée ukrainienne, comme celle – remontant au moins à 2017 – où un homme pose, Kalachnikov au bras, devant plusieurs drapeaux, dont un d’Azov et un nazi aux couleurs ukrainiennes. Une autre, remontant au moins à 2015 selon Libération, montre un groupe d’hommes en pantalon treillis autour d’un portrait d’Adolf Hitler, dont l’un est vêtu d’un tee-shirt Azov.

En juin 2014, les hommes du bataillon Azov participent au combat qui permet aux forces ukrainiennes de reprendre le contrôle de #Marioupol, la grande ville portuaire de l’oblast de Donetsk, dans l’est du pays. Cette victoire contre les séparatistes prorusses appuyés par Moscou forge d’eux une image héroïque aux yeux de la population ukrainienne.

Un régiment de la garde nationale depuis novembre 2014
L’accord de Minsk I, en septembre 2014, prévoit notamment de « procéder au retrait du territoire ukrainien des formations armées et du matériel militaire illicites, ainsi que des combattants irréguliers et des mercenaires ».

Les bataillons ont alors le choix entre rejoindre la garde nationale ukrainienne ou se dissoudre. En novembre 2014, le bataillon #Azov devient officiellement un régiment de la garde nationale, sous la tutelle du ministère de l’intérieur ukrainien.

« Cela leur a permis de se légitimer, de recruter plus largement et d’obtenir des armes modernes. C’est devenu une unité d’élite de la garde nationale », retrace Adrien Nonjon. Des #Ukrainiens sont séduits, des combattants étrangers (des Géorgiens, des Russes, des Biélorusses et même quelques Français) viennent grossir les rangs d’un #régiment qui passe d’une centaine de soldats à sa création à près de 2 500 à la fin de 2017, selon une enquête du magazine allemand Spiegel. Ses #soldats sont réputés durs, et certains crimes de guerre dans le Donbass (tortures, viols) leur ont été attribués en 2016 par des rapports des Nations unies ainsi que d’ @AmnestyInternational et #HumanRightsWatch.

De nombreux volontaires s’engagent dans le régiment Azov sans pour autant être militants d’extrême droite. « [Le] rejoindre (…) n’était qu’un moyen de se battre pour leur pays de la façon qu’ils jugeaient la plus efficace, écrivait, en 2016, #ViatcheslavLikhatchev, historien et expert en sciences politiques, dans une note de l’Institut français des relations internationales. Cependant, toutes les nouvelles recrues étaient endoctrinées aux idées d’extrême droite, souvent xénophobes. »

Pour #MichaelColborne, chercheur et journaliste pour le site d’enquête #Bellingcat et auteur d’un livre publié en 2022 (en anglais) sur « le mouvement Azov », seule une minorité des soldats du régiment sont aujourd’hui portés par des idées d’extrême droite ou néonazies. En 2015, un porte-parole de la brigade, #AndriyDiachenko, affirmait au site du quotidien américain USA Today que « seuls 10 % à 20 % des membres du groupe [étaient] #nazis ».

Cette minorité constitue le noyau du régiment et continue ses provocations à la #haineraciale, comme récemment lorsque des soldats se sont filmés enduisant de graisse de porc leurs balles destinées aux militaires tchétchènes musulmans qui aident la Russie.

Malgré cela, « ce n’est pas une milice qui peut faire tout ce qu’elle veut, rappelle Michael Colborne. Elle n’est pas indépendante et doit répondre aux ordres de l’Etat ukrainien ». Comme le souligne Adrien Nonjon, « l’objet de leur intégration au sein de la garde nationale a été justement d’empêcher que ces bataillons se retournent contre l’Etat ».

Un parti d’extrême droite fondé avec des vétérans du régiment Azov
Le fondateur du régiment, le suprémaciste blanc Andreï Biletski, tente d’exploiter la popularité d’Azov sur le terrain politique. Aux élections législatives de 2014, il décroche un siège de député.

En 2016, il fonde le parti d’extrême droite Corps national avec des vétérans du régiment. « C’est un mouvement national révolutionnaire d’extrême droite prônant une troisième voie, estimant que l’Ukraine ne doit se ranger ni du côté de l’Eurasie, ni [du côté] de l’Occident, décrit Adrien Nonjon. Il met en avant un nationalisme soldatique selon lequel la guerre est le meilleur moyen pour que la nation parachève sa solidification. »

Dans son article de 2016, l’historien ukrainien Viatcheslav Likhatchev écrivait : « Azov est l’exemple le plus éclatant de la légalisation, voire de l’héroïsation, de l’ultranationalisme dans le discours public ukrainien. »

Des vétérans du régiment Azov participent au premier congrès du parti d’extrême droite Corps national, à Kiev, le 14 octobre 2016.
Des vétérans du régiment Azov participent au premier congrès du parti d’extrême droite Corps national, à Kiev, le 14 octobre 2016. GENYA SAVILOV / AFP
En 2017, des proches de Corps national et des vétérans du régiment Azov ont également créé une « milice nationale », qui veut « lutter contre la criminalité de rue, le trafic de drogue et l’alcoolisme public, selon un article du Guardian.

Une extrême droite quasi inexistante aux élections
Mais tous ces efforts pour transformer la popularité d’un régiment en bulletins de vote semblent avoir échoué. Lors des législatives de 2019, Andreï Biletski perd son mandat de député. L’alliance entre les partis ultranationalistes Svoboda, Secteur droit et Corps national n’obtient que 2 % des voix.

« Azov a grandi trop vite pour se constituer une base solide, estime Adrien Nonjon. Le milieu nationaliste ukrainien est extrêmement divisé et Corps national n’a pas su adapter son programme aux problèmes des Ukrainiens. Du fait de la menace russe, on peut aussi considérer que tous les partis ukrainiens sont aujourd’hui nationalistes, pour la défense de leur nation. »

Lire aussi Guerre en Ukraine : parcourez les infox et les fausses images qui circulent depuis le début de l’offensive russe
Bien que la galaxie constituée autour d’Azov ait connu un échec dans les urnes, Michael Colborne souligne que des ultranationalistes comme Andreï Biletski ont réussi à s’intégrer et à être normalisés dans le paysage politique ukrainien. De par sa grande liberté de parole et sa capacité à multiplier ses branches (militaire, politique…), Azov a également bénéficié d’une forte popularité au sein des mouvements d’ultradroite occidentaux. Des néonazis américains, norvégiens et même français se sont ainsi rendus en Ukraine pour rencontrer ses membres.

Un régiment qui représente moins de 2 % des forces armées ukrainiennes
Difficile de dire précisément combien de personnes compte actuellement le régiment Azov. Michael Colborne estimait ce chiffre à 2 000 avant la guerre avec la Russie. Adrien Nonjon avance plutôt un chiffre situé entre 3 000 et 5 000 membres (avec les réservistes).

Le conflit en cours rend l’évaluation beaucoup plus difficile en raison des recrutements massifs auprès de la population. De plus, « l’Etat ukrainien et le régiment entretiennent délibérément le flou sur les effectifs exacts car il s’agit d’une information militaire hautement stratégique », rappelle le chercheur de l’Inalco.

Selon l’International Institute for Strategic Studies, l’Ukraine comptait au total, au début de cette année, 196 000 soldats et 60 000 membres de la garde nationale. Le régiment ne représenterait donc pas plus de 2 % des forces armées du pays.

#Décodeurs #LeMonde

my_pal_jm@diasp.org

#Journaliste #français : il nous est #interdit de parler des #atrocités #nazies en #Ukraine

Французский журналист: нам запрещено говорить о зверствах нацистов на Украине

Une vidéo du meurtre brutal de soldats #russes par des nazis ukrainiens apparue sur Internet le 5 avril a choqué les internautes.

Selon la chaîne Rybar #Telegram, non seulement le lieu du crime, mais aussi l'identité des punisseurs ont été établis après enquète.

Selon la chaîne, la vidéo du #massacre a été filmée sur la route de #Dmitrovka à #Zabuchi près de #Kiev. Initialement, la vidéo était plus longue et une partie de celle-ci - des images avec du matériel de la colonne détruite - a été publiée par le portail ukrainien UNIAN sous le titre "La #Légion #géorgienne continue d'aider les Ukrainiens à nettoyer la région de Kiev des libérateurs".

La deuxième partie du plan par un opérateur inconnu est apparue plus tard. Mais il y a la même colonne. Et la même armée ukrainienne.

"Le #meurtre brutal de #soldats #russes, qui ont été #ligotés puis #égorgés, a été l'œuvre des bataillons nationaux de Kiev", écrit la chaîne #Readovka .

L'un est un représentant de la Légion géorgienne, qui combat en Ukraine depuis plus de huit ans, l'autre est un Ukrainien de Kiev.
Le crime était planifié à l'avance

Selon le correspondant militaire Alexander Kots , les Russes tués "à la caméra" ne sont pas morts à la suite de la bataille :

"Bandage blanc sur la manche, mains liées derrière le dos. Exactement comme sur les images de #Bucha, écriture similaire. Ils ne sont pas morts par balles. Sous chacun des parachutistes, il y a une grande mare de sang écarlate. Cela ne se produit pas après une blessure par balle", - il a partagé ses pensées, ajoutant que, très probablement, nos combattants ont été pris en embuscade et "la bête sous la forme ukrainienne les utilise à certaines de ses fins".

Le fait du crime a été prouvé, les suspects ont été identifiés. Où est la réaction de la communauté mondiale ?

Malgré le fait que le massacre de soldats russes soit un fait établi et que son authenticité, contrairement aux tirs de la ville de Bucha qui ont fait le tour des médias mondiaux, et ne fasse l'objet d'aucun doute, le collectif occidental pour une raison quelconque n'est pas indigné et n'exige pas que quiconque soit tenu pour responsable.

De plus, le représentant du secrétaire général de l' #ONU, Stéphane #Dujarric , a qualifié l'enregistrement de "rapport de violations des droits de l'homme", l'un des nombreux qui "devrait faire l'objet d'une enquête".

Comment? Pourquoi la communauté mondiale est-elle silencieuse ? Vrai. Ru ces questions ont été répondues par le journaliste français Dmitry de #Koshko .

Selon lui, la vidéo de Bucha est apparue comme un plan d'une guerre de l'information "comme au Kosovo, à Rakchi, au marché de Sarajevo, en Syrie avec des casques blancs et au Koweït avec une maternité".

"C'est une méthode courante de guerre de l'information. Les médias occidentaux n'autorisent rien d'autre. Vous pouvez montrer autant de vidéos russes que vous voulez, autant de terribles tortures que vous voulez, ce que font tous ces #Azov* et autres #nazis, mais cela ne sera pas montré. Nous (les journalistes occidentaux - Note . ndlr ) sommes interdits. Personne ne peut parler dans nos médias avec une opinion alternative. Une seule opinion est autorisée ici. Tout est à sens unique. La censure est sévère. Même sur YouTube et la censure de Twitter. Nous avons une chaîne Twitter "Stop à la russophobie". Il y a des articles en français, anglais, parfois un peu en russe. Nous avons déjà été bannis pour plusieurs articles. Et nous avons été prévenus qu'ils seraient carrément coupés."

  • bataillon nationaliste interdit en Russie

https://www.pravda.ru/world/1696551-ubiistvo_rossiiskikh_soldat/

#guerre #ukraine #russie #DroitsDelhomme #GuerreDelinformation
#politique #société #dictature #fascisme #censure #manipulation #démocratie #oligarchie #questionner #comprendre #agir
#revolution #MondeDAprès #résistance #complot #complotisme #capitalisme #escroquerie #corruption #terrorisme #exclus

mishal@diasp.org

General CAPTURED in Mariupol with AZOV Nazis!

L' #otan n'ira pas faire la #guerre en #ukraine sauf pour les armes, le financement, les militaires et le personnel politique et médiatique

General CAPTURED in Mariupol with #AZOV Nazis!

Numerous reports are now circulating claiming that United States Army Major General Roger L. Cloutier has been CAPTURED by Russian forces in or around Mariupol, Ukraine where, the reports claim, he was helping the AZOV Battalion which is Ukraine's official NAZI unit.

fa@venera.social

30/03: exército russo deixa #Bucha e prefeito da cidade grava vídeo sem citar nenhum morto
31/03: neonazistas #Azov entram na cidade
1/04: nada
2/04: vídeos de corpos mortos
"Culpa dos russos que saíram 4 dias antes." - Fonte: Azov, que amarram gente em poste " -
RT Thiago Brasil - #Guerra #Ucrânia -

heric@diaspora-fr.org

Qui sont les soldats du régiment Azov, accusés d’être les « néonazis » de l’armée ukrainienne ?

Des photos des membres de ce groupe militaire sont très partagées dans le but de montrer que l’armée ukrainienne est « infestée de néonazis ». Ils sont pourtant peu représentatifs des forces armées du pays.

A l’origine, un bataillon de volontaires néonazis pour combattre les prorusses du Donbass

Quand la guerre éclate dans le Donbass en avril 2014, l’armée ukrainienne est désorganisée et le gouvernement craint de perdre le contrôle de ce territoire au profit de la Russie, comme ce fut le cas le mois précédent en Crimée. Pour contrer les séparatistes prorusses, le gouvernement autorise des bataillons de volontaires indépendants de l’armée à combattre. Plusieurs formations armées d’extrême droite apparaissent.

En juin 2014, les hommes du bataillon Azov participent au combat qui permet aux forces ukrainiennes de reprendre le contrôle de Marioupol, la grande ville portuaire de l’oblast de Donetsk, dans l’est du pays. Cette victoire contre les séparatistes prorusses appuyés par Moscou forge d’eux une image héroïque aux yeux de la population ukrainienne.

Un régiment de la garde nationale depuis novembre 2014

L’accord de Minsk I, en septembre 2014, prévoit notamment de « procéder au retrait du territoire ukrainien des formations armées et du matériel militaire illicites, ainsi que des combattants irréguliers et des mercenaires ». Les bataillons ont alors le choix entre rejoindre la garde nationale ukrainienne ou se dissoudre. En novembre 2014, le bataillon Azov devient officiellement un régiment de la garde nationale, sous la tutelle du ministère de l’intérieur ukrainien.

Un parti d’extrême droite fondé avec des vétérans du régiment Azov

Le fondateur du régiment, le suprémaciste blanc Andreï Biletski, tente d’exploiter la popularité d’Azov sur le terrain politique. Aux élections législatives de 2014, il décroche un siège de député.

En 2016, il fonde le parti d’extrême droite Corps national avec des vétérans du régiment Azov.

Une extrême droite quasi inexistante aux élections

Mais tous ces efforts pour transformer la popularité d’un régiment en bulletins de vote semblent avoir échoué. Lors des élections législatives de 2019, Andreï Biletski perd son mandat de député. L’alliance entre les partis ultranationalistes Svoboda, Secteur droit et Corps national n’obtient que 2 % des voix.

https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2022/03/23/qui-sont-les-soldats-du-regiment-azov-accuses-d-etre-les-neonazis-de-l-armee-ukrainienne_6118771_4355770.html

#fr #ukraine #guerre #azov

fiel@diaspora-fr.org

#Nantes-Révoltée

Actualités en direct, infos sur les luttes environnementales et sociales à Nantes et dans le monde

🔴 GUERRE DE L’INFORMATION ET MINISTÈRE DE LA VÉRITÉ

➡️ #Facebook et #Instagram l’annoncent officiellement ce 11 mars : il est autorisé d’appeler au #meurtre de soldats russes sur leurs réseaux. «À la suite de l’invasion #russe de l’ #Ukraine, nous avons temporairement autorisé des formes d’expression politique qui violeraient normalement nos règles» a déclaré tranquillement un porte-parole de Meta, le nouveau nom du groupe Facebook. Pourtant, la plateforme #censure régulièrement des images «violentes», des vidéos de #répression, ou encore des poitrines dénudées. Facebook autorise aussi la glorification, sous condition, d’un groupe #nazi. Les «éloges» du «régiment #Azov», un groupe paramilitaire ukrainien ouvertement #néonazi, seront autorisés. Une «petite exception» selon le porte-parole de Meta qui sera permise si ces «éloges» sont «strictement dans le contexte de la défense de l’Ukraine, ou dans son rôle au sein de la Garde nationale ukrainienne». Il y a donc les mauvais et les bons nazis.

➡️ Le 2 mars dernier, la chaîne #RT, financée par des fonds russes, était interdite dans toute l’ #Europe, sur décision de la Commission Européenne. Sans vote, sans débat, sans possibilité de contestation, et en un temps record. C’est la #guerre, tout est permis. Pour les syndicats de journalistes, cette mesure n’était pas fondée juridiquement et constituait un précédent «inquiétant». La Commission Européenne, évoque une mesure d’exception car la chaîne RT menacerait «directement et gravement l’ordre et la #sécurité #publics de l’ #Union». Inquiétant. Demain, beaucoup de #médias pourraient être accusés de «menacer l’ordre public». Du reste, RT était dans le collimateur des autorités française car la chaîne a couvert les mobilisations sociales, notamment les #Gilets-Jaunes, avec un angle moins pro-policier et pro-gouvernemental que les médias classiques.

➡️ En mai 2019, alors que le mouvement des Gilets Jaunes crépitait encore, #Mark-Zuckerberg était invité par #Macron afin «d’élaborer avec le géant américain une stratégie de régulation d’ #Internet». Il était notamment question de lutter contre «les contenus haineux». Dans la foulée, la députée #LREM Laetitia Avia annonçait une loi pour supprimer sous 24 heures les «contenus haineux» et punir les «acteurs numériques qui refusent de collaborer avec la #justice française». Ces dernières années, de très nombreux articles contestant la #police, dénonçant le #gouvernement ou appelant à des actions politiques ont été #censurés par Facebook. Des contributeurs ont même été poursuivis. Facebook a également restreint l’audience de nombreuses pages engagées, comme Cerveaux Non Disponibles, Nantes Révoltée, Lille Insurgée… (mots de ma part : qu'elle honneur cette censure)

Derrière le conflit ukrainien ou la gestion du COVID, une guerre de l’information. Les plate-formes #capitalistes et les pouvoir en place veulent imposer une seule «vérité» : la leur. Les médias classiques sont déjà inféodés au puissants. À présent, les médias sociaux sont aussi davantage sous contrôle. Leurs propriétaires peuvent autoriser des appels aux meurtre tout en interdisant de simples publications contestataires, selon leur volonté, selon les circonstances #sociales ou #géopolitiques.

#NantesRevoltee #censure #propagande #....

pguillot@diaspora-fr.org

Poutine dit vouloir "dénazifier" l'Ukraine mais bombarde à côté d'un mémorial juif

Même si de nouveaux pourparlers sont annoncés, les combats continuent en Ukraine. Et hier on a vu une frappe russe sur la zone d’un mémorial juif à Kiev. Un acte qui renvoie un miroir très troublant aux propos de Poutine sur la « dénazification » de l’Ukraine.

Entrer une description pour l'image ici

Puisque le dictateur russe se pique de donner des leçons d’Histoire, alors faisons un peu d’Histoire.

Le mémorial de Babi Yar est situé au Nord-Ouest du centre-ville de Kiev. C’est un parc verdoyant et arboré plein de bouleaux, ces arbres très répandus dans la région. Un silence respectueux y règne à l’habitude.

Les 29 et 30 septembre 1941, en 48h, 33771 juifs y ont été assassinés par les nazis. Tués par balles. Puis jetés dans une fosse commune.

Dans les mois qui ont suivi, et jusqu’en 1943, 150.000 personnes y ont été tuées. Beaucoup de juifs, et aussi des roms, des handicapés, des militants pro-soviétiques.

Babi Yar, c’est sans doute la plus grande fosse commune d’Europe, pendant la Seconde Guerre Mondiale.

https://www.franceinter.fr/emissions/le-monde-d-apres/le-monde-d-apres-de-jean-marc-four-du-mercredi-02-mars-2022

#azov #ukraine #poutine #russie

salinger3@diaspora-fr.org
faab64@friendica.hubup.pro

Haaretz: Plot twist: Rights groups demand Israel stop arming neo-Nazis in Ukraine

Image/Photo

Source: https://www.haaretz.com/israel-news/rights-groups-demand-israel-stop-arming-neo-nazis-in-the-ukraine-1.6248727

Human rights activists petition the court to cease Israeli arms exports to Ukraine since some of these weapons reach neo-Nazi elements in Ukraine’s security forces

A group of more than 40 human rights activists have filed a petition with the High Court of Justice, demanding the cessation of Israeli arms exports to Ukraine.

They argue that these weapons serve forces that openly espouse a neo-Nazi ideology and cite evidence that the right-wing #Azov militia, whose members are part of Ukraine’s armed forces, and are supported by the country’s ministry of internal affairs, is using these weapons.

An earlier appeal to the Defense Ministry was met with no response.

The ministry’s considerations in granting export licenses for armaments are not disclosed to the public, but it appears that the appearance of Israeli #weapons in the hands of avowed neo-Nazis should be a consideration used in opposing the granting of such a license.

Nevertheless, this is not the first time in which the defense establishment is arming forces that embrace a national socialist ideology.

In the past, Israel has armed anti-Semitic regimes, such as the generals’ regime in #Argentina, which murdered thousands of Jews in camps while its soldiers stood in watchtowers guarding the abducted prisoners with their Uzi submachine guns.

According to a freedom of information petition to Israel's defense ministry from last January, Israel also armed #Bolivia's military regimes, knowing that #Nazi war criminal Klaus Barbie was part of the regime. Legal documents used to convict the head of the junta also showed that Barbie's death squads used Israeli Uzis.

In the case of Ukraine forces using Israeli weapons are openly stating their support for racist and anti-Semitic ideas, in various publications.

The Azov militia was established in Ukraine following the Russian invasion of the Crimean peninsula in 2014. The militia’s emblems are well-known national socialist ones. Its members use the Nazi salute and carry swastikas and SS insignias.

Moreover, some of them openly admit they have neo-Nazi sentiments and that they are Holocaust deniers. One militia member said in an interview that he was fighting Russia since #Putin was a Jew. An Azov sergeant said that he was a national socialist, although he was not in favor of genocide, and as long as minorities in Ukraine did not demand special rights he would have no problem with them.

З делегацією Кнесету Держави Ізраїль, зокрема Головою комітету Кнесету Ізраїлю з внутрішньої політики та віце-спикером -, у теплій та дружній обстановці домовились про плідну співпрацю у сфері безпеки.
Про детали - ни слова!) pic.twitter.com/Ohtm5Htldl

— Arsen Avakov (@AvakovArsen) December 8, 2017

Image/Photo

Tweet by Ukrainian militia leader meeting with Israelis

The militia’s founder, Andriy Biletsky, who is now a member of Ukraine’s parliament, formerly headed a neo-Nazi group called Patriot of Ukraine, now defunct. Its members comprise the founding core of Azov.

“Our nation’s historic mission at this critical juncture is to lead the final march of the white race towards its survival” Biletsky has said. “This is a march against sub-humans who are led by the Semite race.” According to reports by human rights groups militia members are suspected of war crimes, #torture and sexual violence.

In tandem with the rising power of Azov, which has more than 3,000 members, there is a rise in anti-Semitic incidents and attacks against Ukraine’s minorities. Neo-Nazi groups have attacked Jews and Jewish memorial sites across Ukraine, as well as #journalists, #Roma and members of the #LGBT community.

One member of parliament declared, in response to a question about the country’s “Jewish problem”, that “in the government there is non-Ukrainian blood this must be addressed.” Last May right-wing groups marched through #Odessa, their leaders claiming that the city belongs to Ukrainians, not Jews, and that they would get rid of the latter.

All this is happening as the Ukrainian administration is trying to deny the country’s role in the Holocaust, just as is happening in #Poland (now with the support of the #Netanyahu government).

These attempts include rewriting the history of World War II and the glorification of Ukraine’s soldiers, using legislation and various publications, as well as concocting stories about Jews who were allies of national Ukrainian forces during the war, whereas in fact Jews had to hide their identity.

In 2015, the Holocaust Museum in #Washington denounced Ukrainian legislation which was intended to prevent criticism of collaboration with the Nazis.

The Simon Wiesenthal Center and the World Jewish Congress condemned the decision to name central boulevards in Kiev after Nazi collaborators. If that weren’t enough, last April there was a march honoring Ukrainian Waffen SS units which massacred thousands of Jews during World War II. In June, Ukraine’s chief military prosecutor Anatoli Matios said in an interview that Jews want “to drown Slavs in blood.”

Since the spring of 2015 members of the Azov militia have been part of the regular security forces in Ukraine, a part of the National Guard which is under the country’s ministry of internal affairs. The militia encourages members and supporters to enlist in the army. However, the militia maintains itself as a separate organization.

In December of 2016 Ukraine’s internal affairs minister Arsen Avakov, considered Azov’s patron and a candidate for prime minister, met a Knesset delegation headed by MK David Amsalem, on an official visit to Ukraine.

Avakov has also met Arye Dery, the minister of interior. Avakov appointed Vadym Troyan, a senior Azov commander, as the head of Kiev’s police force. Another militia founder was given a different senior police post. These ties were formed when Avakov was a regional governor, cooperating with the neo-Nazi forces of the Patriot of Ukraine, the forerunner of Azov.

Last January the U.S. Congress prohibited any support for the Ukrainian militia. Since Israel’s defense ministry does not divulge any information on arms exports, particularly not to Ukraine, for fear of Russian wrath, it’s difficult to assess the extent of the ties with Kiev, but these are certainly in place.

The petition, submitted by attorney Itay Mack, contains abundant evidence showing the arming of the Ukrainian regime and its Azov forces.

Thus, for example, Ukrainian soldiers have been seen carrying Israeli-made Tavor rifles in military parades in Kiev. In February 2016 it was revealed that Elbit Systems will be part of a group investing in Ukraine’s defense establishment.

In April 2016 the chief of Ukraine’s air force met a representative of an Israeli defense company to discuss the upgrading of communications systems in that country’s warplanes and helicopters. The Ukrainian company “Fort” got Israel’s approval for making Tavor, Negev and Galil rifles.

In the city of Dnepropetrovsk in eastern Ukraine there is a military training school. Its website indicates that training there is provided former IDF officers and that its instructors were trained by Israelis.

The website has a photo of shooting practice with a Tavor rifle. It notes that the school trains units of the National Guard, whose members include Azov militiamen.

In May 2017 Ukraine’s Prime Minister Volodymyr Groysman visited Israel and met with Defense Minister Avigdor Lieberman to discuss the arming of Ukraine’s military forces.

In December of that year a man claiming to be a former #IDF officer was interviewed by Ukrainian media, saying that he had taken part in battles in eastern Ukraine, where he was instructing soldiers. The Azov website also shows militia members using Tavor rifles.

All of this is unambiguous proof that Israel is exporting weapons to Ukraine, knowing that they reach right-wing militias, some members of which are avowed neo-Nazis who enjoy the support of the authorities.

The ministry of defense, as is its wont, refuses to address this issue, responding only in generalities without detailing the considerations underlying its decisions approving arms exports. It seems that in this case the public deserves a more detailed response, as do Ukrainian Jews the Israeli government supposedly claims to protect.

Even if these weapons are currently directed at Russians, one should take into account the reasonable possibility that in the future they will be used to achieve other goals, perhaps aimed at minority groups in the country. It will then be too late to halt the collaboration of the Israeli establishment with the murder of Jews and others. This will be one more chapter in the dismal history of using Israeli firearms in acts such as these.

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