#usine

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #travail #valeur #salaire #vertu #société #besoins #idéologie #pouvoir #politique #alimentaire #paysans #ouvrier #usine #plus-value #capital #exploitation #oligarques #survie #mywork #mytext

La valeur-travail,

Tout travail rémunéré par un salaire a de fait une certaine valeur évaluée selon des critères arbitraires et inégaux. Mais je ne suis pas sûre que la valeur-travail telle que prônée par nos dirigeants soit de la même veine. Il s’agit plutôt de mettre en exergue le travail comme valeur cardinale de notre société, celui qui participe sans rechigner a la « richesse du pays » : « Il n’y a pas de salut hors le travail ». Les pêcheurs à la ligne ne participent pas au grand bond économique. Loin de l’idéal de Marx : “De chacun selon ses capacités, à chacun selon ses besoins.” Cela se confirme dans les projets de modification des règles concernant entre autres l’indemnisation du chômage qui serait la plaie économique du budget national. Inutile d’être grand clerc pour comprendre vers où la balance penche. Nous sommes de plus en plus soumis à des dictats idéologiques indécents.

Le « travail » fait intrinsèquement partie de notre programme génétique depuis l’origine, voir Adam et Ève chassés du Paradis pour les croyants. Manger, se vêtir, s’abriter demandent une activité de chasseur-cueilleur bien connue au paléolithique. C’était il y a longtemps, mais l’homme qui a évolué morphologiquement, n’a pas changé ses besoins vitaux ni la nécessité de les satisfaire quotidiennement. Tout s’est complexifié avec la révolution industrielle. Nombre de paysans dont le travail était depuis la nuit des temps indispensable à notre survie (rappelez-vous le labourage et le pâturage qui étaient alors les deux mamelles de la France) sont devenus rétrogrades, un frein à l’évolution de la société. La guerre de 14/18 par son hécatombe a beaucoup contribué à changer définitivement ce monde agricole. Nombre de survivants ont dû rejoindre alors les usines à l’apogée du progrès technique, qui avaient besoin de beaucoup de main d’œuvre.

Nous nous sommes dont séparé de la relation travail/nourriture qui n’était pas encore qualifiée de travail-alimentaire, (« travail sans passion effectué uniquement pour l’argent » définition wiktionnaire). Car vous l’avez compris il y aujourd’hui au minimum deux définitions du travail, l’alimentaire et l’autre. J’espère que vous faites partie de la seconde. La force de travail louée et transformée en une quelconque marchandise et échangée contre un salaire pour satisfaire ses besoins élémentaires n’exclut pas l’extorsion du surtravail, une plus-value (Base productive qui crée de la valeur ajoutée) pour faire grossir et entretenir le capital et tous ceux qui l’exploite. Ce système ingénieux, il faut le reconnaître, a bénéficié d’un succès immédiat de part le monde.

Maintenir une main d’œuvre abondante et nécessiteuse au profit des investisseurs industriels a été très longtemps facilité par l’ignorance et la soumission d’une grande partie du peuple. Il y avait ceux qui frottaient le parterre et ceux qui comptaient les billets. Il y a ceux qui mouillent la chemise et ceux qui ont la valeur et le talent d’être bien nés. S’ enrichir par le travail est sans commune mesure pour les uns et pour les autres. C’est ça la valeur-travail. C’était dans l’ordre des choses. Cette « belle époque » est presque finie. Instruit par des années de lutte, le salarié réclame, exige, revendique, se révolte.

Comment contraindre et convaincre des milliers de citoyens libres à enrichir par leur travail une frange de plus en plus nombreuse d’avides oligarques qui monopolisent tous les pouvoirs politiques, économiques, culturels en les exploitant*. Cela relève d’un certain « talent », d’une certaine « valeur », il faut bien le reconnaître et c’est l’Histoire du monde. Mireille MOUTTE

  • Pensez qu’il ne faut pas décrocher du reste du monde. Charles Consigny
xrlavache@diaspora.psyco.fr

Feluy : TotalEnergies rejette des PFAS, des scientifiques pointent un risque possible pour la santé

https://www.rtbf.be/article/feluy-totalenergies-rejette-des-pfas-des-scientifiques-pointent-un-risque-possible-pour-la-sante-11283815

#feluy #totalenergies #total #pfas #santé #contamination #bruxelles #wallonie #prélèvements #eaux #sols #œufs #prises-de-sang #environnement #eau #téflon #vêtements #emballages #cancers #système-hormonal #système-immunitaire #pathologies #parc-industriel #totalenergies-petrochemicals #usine #europe #le-monde #forever-pollution-project #analyse #polymères #prélèvement #hotspot #eau-potable #directive-européenne #pfoa #pfos #pfhxs #pfna #nature #3m #zwijndrecht #flandre #restriction #interdiction #agriculteur #cultures #vaches #pêcheurs #poissons #polluants #chaîne-alimentaire #bovins #êtres-vivants #médecine #rivière #mer-du-nord #belgique #communication #pvdf-hfp #aliments #toxique #polymère #traitement-des-eaux #sels-minéraux #dépôt-pétrolier #merlon #responsabilité-environnementale #pollution #commission-européenne #denrées-alimentaires #marché-européen #règlement-européen #chemviron #kuraray #charbon-actif #ruisseau #air #gaz #charbon #économie-circulaire #pfhxa #anvers #pfbs #cimenterie #obourg #analyses-de-sang #test-sanguin #toxicologie #antiadhésif #vêtements-de-pluie #emballage-alimentaire #polluants-éternels #surcontamination #population #bébé #grossesse #tristesse #révolte

mimoutte@diaspora.psyco.fr

#news #cinéma #film #idéologie #militant #travail #usine #lutte #révolution #établi #ateliers

L’établi un film de Mathias Gokalp avec Swann Arlaud,

Très beau film, magnifiques acteurs….mais comment dire ?…. La philosophie révolutionnaire que présente le film me semble dater d’une autre civilisation. Pour avoir participé dans les années 68 à cette utopie d’intellectuels au contact direct d’ouvriers pour, sinon prôner, du moins accompagner la révolte qui ne serait tarder pour préparer la révolution. Je connaissais par avance le résultat, je ne suis donc pas déçue, plutôt désolée par tant de naïveté, voire d’inconséquence. Le temps est passé les analyses ont fait leur œuvre. L’élément primordial du problème dans le film est qu’il faut une injustice flagrante de l’entreprise pour voir s’indigner les salariés. Donc l’incurie de l’entreprise est partie première pour allumer la mèche de la révolte. L’intellectuel est là pour éclairer la prise de conscience. C’est mal parti, car elle sait très bien, elle (l’entreprise), où frapper pour diviser des ouvriers englués dans une existence bloquée de toute part. Les intellectuels à la manœuvre ne sont pas eux réellement impactés par les conséquences de la révolte, si ce n’est moralement. L’honnêteté, la bonne volonté, l’intégrité, la sincérité ne font malheureusement pas, à elles seules, de bons révolutionnaires. De plus il y a de moins en moins d’ouvriers et plus du tout d’intellectuels pour déchiffrer ce monde. Cette révolution n’est pas pour demain. Mais, malgré ses défauts, elle reste indispensable pour prendre conscience des processus mécaniques en présence.

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

#Automobile : il lance la "2 CV" du 21e siècle, une voiture électrique low tech et très économe en énergie

Écrit par #CendrineAlbo

C'est une pépite née à Bordeaux en Gironde. La Gazelle est fabriquée à partir de matériau composite dans des micro-usines, en un rien de temps. Très légère, elle consomme presque deux fois moins que ses concurrentes. Son concepteur veut lancer un nouveau modèle industriel.

Gaël Lavaud est-il un visionnaire ? Cela fait des années qu'il réfléchit à changer les méthodes de fabrication dans l' #industrie automobile. Il est aujourd'hui tout près du but.

Une auto artisanale
Ancien de la prestigieuse école Centrale de Lyon, ex de la direction du développement du groupe Renault, il est persuadé que l'avenir sera au #lowtech à l'exact opposé de la high-tech.

Soit une technologie basée sur la simplicité, la #durabilité, fabriquée localement et de façon plutôt artisanale qu'industrielle.

#GaëlLavaud a mis 8 ans à mettre au point sa Gazelle, après avoir levé 8 millions d'euros et fabriqué 4 prototypes

A l'inverse des giga usines qui concentrent la production à un endroit puis exportent dans le monde entier, on veut au contraire répartir des #micro-ateliers d'assemblage aux quatre coins du monde et créer des emplois là où ils vont être utilisés.

Micro usines
Ce lundi matin, il nous accueille dans la toute première " #usine " qu'il a conçue, installée dans les locaux de l'incubateur de startups Bordeaux Technowest à Blanquefort, dans la métropole bordelaise.

Quatre containers sont accolés, aucune grosse machine, nul robot à l'intérieur...

Voilà la "micro usine" conçue par Gaël Lavaud. De simples containers et quelques outils suffisent à assembler sa voiture.

"C'est vraiment ultra basique avec trois containers dédiés à l'assemblage et un au fond pour le stockage des pièces détachées. Vous avez un concept dans la logique du low tech où on va rendre l'assemblage et la maintenance des véhicules le plus simple possible ".

Avec une caisse à outils et un peu d'air comprimé on peut monter des voitures !

En effet. Le chassis de la Gazelle est monté en une heure, tel un lego. Et pour cause : il n'y a que 10 éléments à assembler contre environ 300 pour une voiture classique.

Le secret ? C'est le matériau utilisé. Pas d'acier, pas d'équipement coûteux.

"C'est une technologie de châssis entièrement en matériau composite. Avec une fibre de verre associée à d'autres matériaux peu chers qui permettent un comportement mécanique extraordinaire en termes d'absorption d'énergie et de rigidité" explique Gaël Lavaud qui a obtenu la note maximum au crash test.

Sa technologie est brevetée et jalousement gardée secrète.

Ultra légère, hyper économe
Outre l'assemblage facile, le matériau composite permet d'alléger considérablement la voiture.

"Elle fait à peu près 900 kg, on pourrait encore baisser à 800 " assure le concepteur girondin. Alors qu'une citadine classique pèse au minimum 1,2 tonnes.

"La légèreté, c'est de la consommation en moins puisque les trois-quarts de la consommation d'un véhicule, c'est son poids. En allégeant comme on l'a fait, on réduit à peu près de 40% la consommation".

La gazelle est vouée aux trajets du quotidien, en ville ou en zone rurale. Elle ne dépasse pas les 100 km/h pour 180 km d'autonomie.

"Et puis, un des coûts importants du véhicule électrique, c'est sa batterie. Là, en réduisant la batterie on obtient la même autonomie que les autres. C'est grâce à ça qu'on arrive à avoir un véhicule compétitif en prix. Il va sortir autour de 20 000 euros".

La batterie permet d'effectuer 180 kilomètres. Elle se recharge en 4 heures sur une prise électrique classique. "C'est une #voiture qui ne dépasse pas les 100 km/h. L'idée, c'est d'avoir vraiment un #véhicule simple et efficace pour tous les trajets du quotidien, c'est un peu la 2 CV du 21e siècle" explique Gaël.

Equiper collectivités et entreprises
Son premier objectif est d'équiper les collectivités et les entreprises qui devront obligatoirement convertir leurs flottes de #véhicules au tout électrique d'ici quelques années.

Mais rapidement, ce sont ces micro usines qu'il veut commercialiser. Les vendre, vendre les pièces détachées et de la formation auprès de concessionnaires ou autres.

"Ils assureront l'assemblage en plus de la vente et de la maintenance. Ca leur coûtera très peu en investissement de départ. Une micro usine, c'est environ 250 000 euros".

#GaëlLavaud a ainsi pour ambition de créer de l'activité dans tous les endroits du territoire.

L'intérêt des #micro-usines est qu'elles permettent de développer une activité économique avec très peu d'investissement là où il n'y a rien. Elles sont adaptées pour créer de l'emploi dans nos campagnes et dans des pays émergents qui n'ont pas de constructeurs.

Gaël Lavaud
France 3 Aquitaine

Avant de voir rouler les "Gazelle", il reste à franchir une étape importante : l'obtention de l'homologation officielle. Elle est prévue à l'automne 2022.

#solutionisme #écologie #voitureindividuelle

fiel@diaspora-fr.org

Nantes Révoltée

Actualités en direct, infos sur les luttes environnementales et sociales à Nantes et dans le monde

SAUVONS LIFFRÉ, TERRE MENACÉE PAR L’EXPLOITATION INDUSTRIELLE

📣 Ce week-end du 4 et 5 juin plusieurs événements sont organisés contre l’implantation d’une #USINE GÉANTE à la périphérie de #Rennes.

👉 Une usine #Bridor pour PRODUIRE QUOI ?
Des viennoiseries #industrielles et surgelées produites exclusivement POUR L’ #EXPORT.

🙈 Et alors quel est LE PROBLÈME ?
CE PROJET INDUSTRIEL C’EST :

➡️ 21 hectares de destruction de #bocages et de #zones-humides. L’essentiel de ces hectares seront imperméabilisés.

➡️ une consommation de 200 000 mètres cubes d’ #eau par an (l’équivalent d’une ville de plus de 5000 habitants) alors que le département est placé en état de vigilance sécheresse jusqu’à l’automne…

➡️ la rotation de 160 #camions par jour, le projet ne comprenant pas de voie ferrée.
La production est destinée pour plus de 70% à l’exportation internationale !

C’est donc un projet #hors-sol et désastreux pour l’ #écologie, à contre-courant des engagements nécessaires pour limiter notre consommation et réduire nos émissions de #CO2. Construit en bordure de deux forêts ce projet menace également la #biodiversité locale.

⛔ Symbole fort : le vice-président de la communauté de #Liffré en charge de l’ #environnement a #démissionné après avoir dénoncé l’impact #écologique et l’absence de #débat #démocratique sur cette implantation.

👉 L’enquête publique a révélé que sur les 260 observations, 88% étaient défavorables au projet !
Malgré l’opposition, l’implantation de l’usine du #multi-milliardaire #Le-Duff – soutenu par les #notables locaux – est toujours prévu. Les travaux devraient débuter en fin d’année.

“Pourtant, quelles contributions ou services ces nouveaux emplois sont-ils censés apporter à la qualité de vie des habitant.es de Liffré ? Existe-t-il une demande #locale et combien de #profils correspondent à ce type d’ #emplois ? La #précarité, l’ #intérim et les petits salaires permettront-ils aux futurs salarié.es de vivre et d’accéder à la propriété locale ? En travaillant nuit et jour en sur une chaîne de production à température de 4° pendant combien d’années ? Ou bien ne s’agit-il que de dépanner les #étudiants rennais à boucler leurs fins de mois comme l’écrivent les partisans du projet […] Avec celles et ceux qui soutiennent un changement de cap, rassemblons-nous les 4 et 5 juin sur le site du projet pour dire non à la #mal-bouffe, aux petits boulots sans avenir, aux #multinationales qui saccagent nos territoires et nos vies… non au projet d’implantation d’une usine Bridor à Liffré !
Il n’y aura pas d’emploi sur une planète morte.” (Communiqué du week-end de lutte)

🌍 Au programme de ce week-end à Liffré des débats, une marche jusqu’au site menacé, des animations et des rencontres…etc

📣 Plus d’infos sur ce week-end : https://facebook.com/events/s/weekend-de-rencontres-contre-b/1174317133393906/

[Liffré se situe à moins de 25km de Rennes, sur la route de Fougères.]

magdoz@diaspora.psyco.fr

Dossier tabou - La face noire des #Énergies vertes

https://yewtu.be/watch?v=uBezqoPGWEU

(le lien par youtube ne fonctionne pas mais celui par invidious yewtube oui, pour l'instant)

Les #éoliennes et les #panneaux solaires sont implantés dans les #campagnes et soulèvent toujours plus d’oppositions. Ces énergies vertes sont devenues un thème majeur de la campagne présidentielle.

Le journaliste s’est rendu au large de #Saint-Brieuc (Côtes-d’Armor) avec des militants de #SeaShepherd, où 62 éoliennes doivent être installés au détriment de la #faune et des fonds marins. Il est ensuite parti en #Chine, dans la région de Leshan, où les conditions d’extraction de la #silice, la matière première indispensable pour produire les panneaux solaires, sont inhumaines. Il est allé enfin au #Ghana, qui réceptionne les premiers #déchets issus des énergies #renouvelables, dans d’immenses #décharges à ciel ouvert.

Autant dire que la #décroissance et la #sobriété ne sont pas au programme de l'écologie à la sauce #EELV #LREM. Le #capitalisme oui et #ToujoursPlus.
#Greenwashing #Énergie #Électricité #Éolien #Solaire #EnR #Renouvelable #France #SégolèneRoyale #Pompili #Politique #Écologie #ONG #Nucléaire #Déforestation #Landes #Pollution #Destruction #Habitat #Dauphins #Marsouins #Phoque #OffShore #Usine #Bretagne #Iberdrola #Voltalia #Corruption #Poubelle #TransitionÉnergétique

lucifer@pluspora.com

Comment aujourd'hui peut-on encore apporter de l'intérêt, du crédit, de la confiance en ces gens qui nous gouverne ? Comment peut-on aujourd'hui croire qu'ils veulent ou qu'ils vont sauver la planète ? Ils soutiennent des industries polluantes et destructrices quand ils ne sont pas eux même actionnaire, ou partie prenante de ces sociétés-là, on peut le voir aujourd'hui avec les laboratoires, beaucoup de politique vont recevoir ou vont chercher leur enveloppe pour ensuite vomir leur certitude sur un virus qu'ils ont laissé fabriquer en Chine et qu'ils espèrent tous contrôler pour notre bien commun forcément puisqu'ils ont trouvé le remède. On nous culpabilise tous les jours sur la santé, l'environnement pour qu'on trie nos déchets, qu'on ne jete rien à terre et dans les rivières et quand on se retourne et qu'on se rend compte qu'une industrie chimique, pétrolière ou autres déversent sa merde dans les rivières, dans les océans, on ne peut pas croire que l'on va vers le mieux, quand des industries alimentaires puisent des quantités exubérantes d'eau dans les nappes phréatiques pour vous fabriquer du coca-cola, du Pepsi et autres liqueurs empoisonnées du même acabit, financés et soutenu par les gouvernements quelques soient sa couleur politiques (aujourd'hui on sait qui gouverne), on ne peut pas croire que leur réunion va changer quoi que ce soit, c'est surtout une grande orgies entre gens du même monde... Ils s'amusent même avec le climat car ce sont eux qui font la pluie et le beau temps, l'épandage atmosphérique est une réalité, on fabrique du nuage pour forcer le ciel à pleurer des larmes de pollution, parce que le changement climatique n'est pas accéléré par nos voitures ou nos déchets (même si ça y participe un peu) mais par ces multinationales polluantes à qui on donne des passes droites... C'est pour cette raison que de nos jours les prévisions peuvent être exacte et vérifier, bon de temps à autres, ils se loupent mais c'est devenu, plus de précision météo que des prévisions. Mais on continu à courir dans le sens inverse, à regarder du mauvais côté, à ce tiré une balle dans le pied ou pour finir sur les metaphors à couper la branche sur laquelle nous sommes perché... Et comme le disait le grand Fantômas " c'est peut-être demain le grand feu d'artifice, le bouquet final ! Un spectacle enfin digne de l'univers ! Inutile de retenir vos places vous serez tous aux 1ères loges ! Mortel puisqu'il te faut mourir, tu mourras en beauté !" (C'était la note humoristique du jour !)😅


#fr #pollution #cope #cope26 #multinationale #pétrole #destruction #usine #gouvernement #roi #ministère #transition #Ecologiste #Ecologiste...

pafzedog@diaspora-fr.org

7 minutes-comité d’usine - Ép. 1/3 - Cycle Stefano Massini

https://www.franceculture.fr/emissions/fictions-theatre-et-cie/cycle-stefano-massini-13-7-minutes-comite-dusine-suivie-de-point-dinterrogation

Dix femmes attendent la porte-parole qui négocie leur avenir avec les repreneurs de l’usine dans laquelle elles travaillent. À son retour, elles devront voter au nom des deux cents employées qu’elles représentent. S’engage alors un thriller social qui ouvre une double réflexion sur la valeur marchande du travail et la prise de conscience des mécanismes de domination. Car si la proposition faite par la nouvelle direction semble honorable, elle impose à ces femmes un choix crucial : tous les emplois seront sauvés à condition d’accepter de réduire de sept minutes leurs pauses quotidiennes. À l’euphorie de la bonne nouvelle succède un échange où chacune prend parti selon sa personnalité, ses années dévouées à la marque, ses nécessités personnelles et son souci du collectif.

#usine #travail #LutteDesClasses #féminisme #cravate #social #domination #théâtre

legeneralmidi@diaspora.psyco.fr

https://www.lemonde.fr/international/article/2021/07/09/au-bangladesh-plus-de-cinquante-morts-dans-le-gigantesque-incendie-d-une-usine_6087715_3210.html

#RanaPlaza II, le retour !

Au Bangladesh, plus de cinquante morts dans le gigantesque incendie d’une usine

Le #feu s’est très vite propagé dans le bâtiment situé près de la capitale de ce pays de l’Asie du Sud, régulièrement frappé par des incendies en raison du manque de respect des #normesdesécurité.
#LeMonde #AFP et #AP

Les #flammes ne sont pas encore contenues et le décompte des morts ne cesse d’enfler. Vendredi 9 juillet, les autorités du Bangladesh ont annoncé qu’au moins 52 personnes sont mortes et une trentaine d’autres blessées dans un gigantesque #incendie, qui a ravagé une #usine près de Dacca, la capitale du pays.

La police et des témoins ont rapporté que le feu avait débuté jeudi 8 juillet vers 17 heures (13 heures, heure française) à l’usine d’Hashem Foods, qui fabriquait notamment des bonbons, des nouilles et des jus de fruits. De nombreux ouvriers ont dû sauter par les fenêtres pour échapper au #brasier.

On ignore encore vendredi le nombre total de personnes qui se trouvaient dans le bâtiment de six étages situé à #Rupganj, une ville #industrielle proche de Dacca. Des familles étaient en attente de nouvelles de leurs proches près de l’édifice, qui était toujours la proie des flammes.

La police avait initialement annoncé que trois personnes avaient péri. Mais ce bilan a continué de s’alourdir vendredi après-midi, quand les pompiers ont pu atteindre les étages les plus élevés : les secouristes ont alors trouvé des cadavres dans l’édifice.

Produits chimiques hautement inflammables
Les corps brûlés ont été emportés vers des morgues par des ambulances, sous le regard horrifié et les cris des témoins. La police a dû disperser par la force des centaines de personnes qui bloquaient des rues adjacentes. Au moins trente personnes ont été blessées, dont certaines s’étaient jetées par les fenêtres des étages les plus élevés du fait de la progression rapide des flammes, a déclaré l’inspecteur de police Sheikh Kabirul Islam.

Les pompiers ont secouru vingt-cinq personnes sur le toit de l’édifice. « Une fois que le feu sera contenu, nous lancerons une opération de recherche de survivants à l’intérieur », a déclaré Debashish Bardhan, porte-parole des #pompiers. Dinu Moni Sharma, le chef des pompiers de Dacca, a expliqué que le #feu s’était rapidement propagé du fait de la présence de produits chimiques hautement inflammables et de plastiques dans l’usine.

Mohammad Saiful, un ouvrier qui a échappé aux #flammes, a affirmé que le bâtiment renfermait des dizaines de #travailleurs. « Au troisième étage, les portes d’accès aux escaliers étaient fermées. Des collègues disent qu’il y avait quarante-huit personnes à l’intérieur. Je ne sais pas ce qui leur est arrivé », a-t-il dit. Mamun, un autre ouvrier, a raconté qu’il a couru se mettre à l’abri sur le toit avec treize autres personnes après que le #feu a éclaté au rez-de-chaussée et rempli l’édifice d’une épaisse fumée noire. « Les pompiers nous ont fait descendre avec une corde », a-t-il raconté.

Au lendemain matin de l’incendie de l’usine d’ #HashemFoods, vendredi 9 juillet, les flammes n’étaient toujours pas contenues.

Le traumatisme du Rana Plaza
Les incendies et effondrements de bâtiments sont fréquents au #Bangladesh, pays pauvre de l’Asie du Sud, en raison du non-respect de mesures et normes de sécurité. En février 2019, au moins soixante-dix personnes étaient mortes dans un gigantesque incendie qui avait ravagé des immeubles d’habitation de #Dacca, où étaient entreposés illégalement des #produitschimiques.

En avril 2013, l’atelier de #confection textile Rana Plaza s’était effondré comme un château de cartes, tuant au moins 1 138 ouvriers. Après ce #drame qui avait soulevé un émoi planétaire, les autorités avaient imposé des règles de #sécurité plus strictes dans l’ #industrie textile, très importante dans le pays. Si ces #manufactures se sont largement conformées aux nouvelles règles, de nombreux autres secteurs d’activité respectent très peu les #normes de sécurité.

princegourmand@diasp.org

Joseph Ponthus est mort.
Et ça me rend triste comme s'il avait été haché à la machine.

«On entend qu'il n'y a plus de classe ouvrière. C'est plutôt qu'il n'y a plus de conscience de classe ouvrière. Le capitalisme a triomphé. Il a segmenté les hommes et le constat s'applique jusqu'à l'intitulé de leur poste. On ne dit plus ouvrier, mais opérateur de production; on ne dit plus chaîne, mais ligne… Cette euphémisation des termes dit quelque chose.»

"À la ligne - Feuillets d'Usine"
#ouvrier #usine #agroalimentaire